samedi 29 décembre 2012

scandale sexuel en chine impliquant un politicien. Les images ici...




Un politicien du parti communiste chinois, Lei Zhengfu, a dû démissionner suite à la divulgation sur Internet d'une sextape qui a fait le tour des réseaux sociaux en Chine. Dans la vidéo, l'homme est accompagné de sa maîtresse de 18 ans.

La Chine est en train de vivre un des plus gros scandales sexuel de son histoire. En effet, si les scandales sexuels impliquant des politiciens tels que Bill Clinton sont presque devenus monnaie courante, ici il s'agit pour la première fois d'une sextape. Le journaliste chinois Zhu Ruifeng a en effet eu en sa possession un enregistrement d'un membre du parti communiste chinois, un certain Lei Zhengfu, en plein ébat avec une jeune fille de 18 ans. Il semblerait que la jeune fille ait été envoyée par un promoteur immobilier, qui savait que Lei Zhengfu cèderait à la tentation du sexe plus que de l'argent, et qui avait donc planifié de faire chanter le politicien avec cette cassette, afin d'obtenir quelques juteux contrats municipaux.





La vidéo du scandale dure 36 secondes durant lesquelles on aperçoit clairement le visage du politicien, qui s'est vainement défendu en déclarant qu'il s'agissait d'un fake. C'est la jeune fille qui a filmé les ébats grâce à une caméra qu'elle avait préalablement dissimulé dans son sac. Après avoir fait le tour des réseaux sociaux en Chine, Lei Zhengfu a du démissionner de son poste de secrétaire général du district de Beibei.


D'autres vidéos ?

Les scandales sexuels s'accumulent dans l'Empire du Milieu où il semblerait que le sexe soit devenu un moyen plus efficace que l'argent en matière de corruption. D'après nos confrères du Los Angeles Times, ce scandale serait lié à une autre affaire, celle de Bo Xilai, ancien secrétaire du parti communiste de Chongqing dont la femme a été accusée d'avoir empoisonné la femme d'un homme d'affaire anglais. Bo Xilai aurait été mis au courant de l'existence de cette vidéo il y a quelques années et aurait envoyé la jeune fille 30 jours en prison tandis que le promoteur immobilier, lui, y est resté un an. Tout cela dans le but évident d'étouffer l'affaire.

Le journaliste Zu Ruifeng explique que la vidéo aurait été mise en ligne par un ancien agent de police qui n'aurait pas apprécié toutes ces magouilles. L'homme aurait en sa possession d'autres sex tape de politiciens, qu'il a affirmé vouloir publier aussitôt que leur authenticité serait prouvée.

Onze morts dans le naufrage d`une pirogue sur un lac en Côte d`Ivoire

Catastrophe:
SAKASSOU (Côte d`Ivoire) - Onze personnes sont mortes et une est portée disparue dans le naufrage d`une pirogue sur un lac du centre de la Côte d`Ivoire, a-t-on appris vendredi auprès de témoins et des autorités locales.

L`accident a eu lieu mercredi sur le lac de Kossou, près du village côtier
de Dangakora, dans la région de Sakassou (environ 400 km au nord d`Abidjan), a
indiqué à l`AFP le piroguier.

Sur les 24 passagers qui avaient embarqué à bord de sa pirogue, "onze corps
ont été repêchés et enterrés au village, et un passager est porté disparu",
a-t-il rapporté. Les 12 autres passagers ont survécu, en plus du piroguier.

"A 300 mètres de la rive, notre embarcation a cogné un morceau de bois, la
pirogue s`est percée et elle a chaviré", a-t-il expliqué.



Côte d’Ivoire : MACA, quand les visites deviennent payantes

Côte d’Ivoire : MACA, quand les visites deviennent payantes

Les parents des détenus, sont souvent l’objet de racket de la part des éléments des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) et des gardes pénitenciers en fonction à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan, (MACA) ce jeudi aux heures de visites.

En rendant visite à un détenu de la Maca, il faut être muni d’un ticket délivré la veille au Parquet d’Abidjan. Des parents ignorent cela encore. Les jours de visites étant fixés les mardis et Jeudis, c’est donc les lundis et mercredis que le Parquet délivre gratuitement les fameux tickets. Les visiteurs munis de ces tickets sont acceptés à l'intérieur de la prison. Ce qui n’en ont pas, au lieu d'être refoulés par les agents commis à la surveillance de la MACA paient une somme d'argent dont l'issue reste pour l'heure indéterminée.

« Je n’ai pas de ticket. J'étais obligée de payer la somme de 2000 FCFA, » a expliqué une vielle dame, venue rendre visite à son fils incarcéré depuis huit mois environs.

Au moment où nous nous entretenons avec cette bonne dame, à moins d’un mètre de nous, un autre visiteur, certainement un habitué des lieux négociait avec un élément des FRCI pour entrer dans la prison alors qu'il n’était pas muni du sésame qui l'ouvrait les portes de la prison.

«J’ai payé 500 FCFA au garde pour qu’il m’intègre dans le rang,» a déclaré ce visiteur, quelques minutes plus tard, quand nous l'avons approché. Notre interlocuteur qui semblait s'apitoyer pour notre
cas puisque nous ne détenions pas de ticket alors que nous avions rendez-vous avec un détenu va nous conduire vers l'agent qui lui a rendu service. "Mon frère veut voir son parent, il n'a pas de ticket. Il ne savait pas qu'on entrait ici avec des tickets," a indiqué notre guide. "Il va payer la somme de 2000 FCFA. Tu sais que je dois rendre compte à mes collègues," a martelé l'homme en uniforme que nous confondions au départ avec un garde pénitencier alors qu'il 'était un élément des FRCI.

Après avoir payé les 2000 FCFA sans discuter, l'agent nous informe que nous devions laisser nos portables et autres objets de valeurs chez d'autres éléments assis à quelques mètres de l'entrée de la MACA sous un arbre.

Là-bas le service est également payant. Vous devez débourser la somme de 100 FCFA une fois la visite terminée avant de récupérer votre objet. Une quinzaine de portables étaient ce jeudi exposés sur une table comme s'ils étaient à vendre.

Ces transactions, il faut le souligner se font parfois aux yeux et au su de tout le monde. Cependant, tous ceux qui paient de l’argent avant d’avoir accès à la MACA ou en consignant leur objets précieux ne reçoivent aucun reçu de paiement des FRCI ni des gardes pénitenciers. Alors où va donc l’argent collecté? Nous comprenions tout de suite que toutes les sommes collectées ne aux éléments des FRCI et des gardes pénitenciers, au lieu d'être reversées dans les caisses de l'Etat. Du coup nous donnions raison à celui avec qui nous avons payé les 2000 FCFA puisqu'il avait promis rendre compte à ses collègues.

Nous apprenions enfin que ces pratiques ne datent pas d'aujourd'hui et qu'elles ont lieu dans la plus part des administrations publiques ivoiriennes. Même pour une déclaration de naissance dans une mairie, il faut payer de l'argent. Ainsi va la vie.

Rappelé dans son pays : un diplomate refuse de quitter la Côte d’Ivoire

Rappelé dans son pays : un diplomate refuse de quitter la Côte d’Ivoire

Rappelé dans son pays : un diplomate refuse de quitter la Côte d’Ivoire

L’Ambassadeur d’Italie en Côte d’Ivoire, Izzo Giancarlo a exprimé son admiration pour le travail que le chef de l’Etat effectue à la tête du pays et a révélé qu’il compte rester encore un peu plus longtemps en Côte d’Ivoire (après sa mission officielle) avec son épouse, ceci pour démontrer tout son attachement à ce pays.
Le diplomate italien a fait cette déclaration au sortir d’audience avec le président de la République, Alassane Ouattara, à qui il est venu faire ses adieux au terme de sa mission qui s’achève le 31 décembre 2012. Izzo Giancarlo a ajouté que cette rencontre lui a permis de parler avec le Président Alassane Ouattara du futur des relations ivoiro-italiennes. Dans ce cadre, il a été évoqué la récente visite du président de la République à Rome, en Italie, auprès du Pape Benoît XVI. A en croire Giancarlo, le Chef de l’Etat a promis de retourner en Italie, cette fois, pour une visite officielle.

Attaques en Côte d'Ivoire : des arrestations et beaucoup de questions


Le procureur militaire Ange Kessy Kouamé a confirmé, ce vendredi 28 décembre, plusieurs arrestations dans le cadre de l'enquête sur les attaques des positions et des camps des forces de sécurité en Côte d'Ivoire. Mais toutes les zones d'ombres ne sont pas levées pour le moment.Après l'attaque du camp militaire d'Akouédo, à Abidjan, les soldats patrouillent dans la capitale économique ivoirienne, le 6 août 2012.

Il y a eu finalement beaucoup d’interpellations, le 23 décembre, après une tentative déjouée de quelques infiltrés de s’emparer de l’armement lourd du camp de gendarmerie d'Agban, en plein cœur d’Abidjan. « Aujourd’hui, détaille le procureur du tribunal militaire Ange Kessy Kouamé, nous avons arrêté six gendarmes. Un premier gendarme a été arrêté après l’attaque d’Aboville, et également cinq gendarmes à Agban, sur les 42 personnes qui sont pour le moment arrêtées. Pour l’attaque d’Agbaou et de Yopougon, nous n’avons pas encore d’arrestations fermes. L’enquête est en cours pour déterminer d'où sont parties les personnes, d’où ils viennent, d’où ils partent. »
Noé, sur la frontière ghanéenne en septembre, Abidjan, depuis cinq mois, Agboville, Bonoua... toutes les attaques ont visé des positions militaires mais jusqu’ici elles n’ont pas été revendiquées. « Ces assauts ne sont pas revendiqués. Ce sont nos enquêtes qui nous permettront de déterminer les responsabilités », assure le procureur Kouamé.
Quel est l’objectif de ces attaques ? D’où viennent les assaillants ? Où partaient-ils après avoir mené un assaut ? Qui les finance ? Comment sont-ils armés ? Le parquet militaire espère avoir la réponse à toutes ces questions.
L’attaque du camp de gendarmeries de Toits-Rouges à Yopougon le 21 décembre dernier avait impressionné les autorités. L’assaut avait été mené avec des lance-roquettes et des lance-flammes.


mercredi 26 décembre 2012

Afrique du Sud: la police ouvre le feu et tue des mineurs



 
L’Afrique du Sud est sous le choc après le massacre de Marikana où la police sud-africaine a ouvert le feu sur des employés en grève. Ces derniers protestaient, depuis le 10 août dernier, pour obtenir des hausses de salaire, ainsi que de meilleures conditions de vie et de travail.
La police a tué au moins 34 mineurs qui manifestaient pour demander des augmentations de salaire. Suite à ces violences, le président sud-africain a écourté son séjour à Maputo pour se rendre sur les lieux. Jacob Zuma devait assister, dans la capitale mozambicaine, au sommet de la SADC, la Communauté de développement de l’Afrique australe.
Il faut dire l’opération policière est l’une des plus sanglantes depuis la fin de l’apartheid en 1994.
La police scientifique sud africaine, elle, a débuté ses investigations sur les circonstances de la tragédie. Prés du lieu du drame, dans des misérables baraquements, vivent les familles des grévistes. Consternées, elles, chantent des chants de l’époque de la lutte contre l’apartheid.
Mais, comment expliquer que, dans un pays démocratique comme l’Afrique du Sud, la police ouvre le feu sur des manifestants ? Achille M’Bembé tente de répondre à cette question. Il est professeur d’histoire et de sciences politiques à l’Université de Witvatersrand de Johannesburg.
Par ailleurs, Paul-Simon Handy, directeur de recherche à l’Institut d’Etudes de Sécurité de Pretoria en Afrique du Sud, analyse la tension qui prévaut dans le pays.
Au boulot les mineurs
A Marikana, près de Johannesburg, la compagnie minière Lonmin a lancé un ultimatum aux grévistes. Elle menace de les licencier s’ils ne reprennent le travail. Scott Matone, journaliste au quotidien le Times à Johannesburg, assure que des 4000 grevistes, très peu ont repris le travail aujourd’hui. Et selon Véronique Tadjo, écrivaine ivoirienne et enseignante à l’université de Witwatersrand à Johannesburg, la situation est encore plus délétère :
«Tout le monde est encore plus choqué et on se demande dans quel monde ils vivent pour faire une menace pareille après une telle tuerie. Tout ce qu’ils ont pu dire, c’est : si vous ne reprenez pas le travail vous allez être licenciés. C’est absolument extraordinaire et je pense que ça, ça va augmenter le traumatisme. »
Le massacre de Marikana a été une opportunité pour Julius Malema, l’ancien président des jeunes de l’ANC, le Congrès national africain, au pouvoir. Samedi dernier, il s’est rendu sur le lieu du massacre pour encourager les grévistes à poursuivre leur lutte. Il a également accusé l’ANC d’être responsable de la pauvreté qui sévit en Afrique du Sud. Mais Paul-Simon Handy, directeur de recherche à l’Institut d’Etudes de Sécurité de Pretoria, l’ANC fait de son mieux pour s’occuper de la population :
« Le gouvernement de l’ANC s’est trouvé confronté à une tâche qu’il était assez difficile d’accomplir sans qu’il n’y ait de la casse, de changer les conditions de vie de tout l’ensemble de la population sud-africaine pauvre. L’ANC aura besoin de beaucoup plus de temps pour le faire. Je pense que le travail accompli depuis 1994 est plutôt remarquable. Le bilan de l’ANC n’est pas mal du tout. Ce qui est dommage, c’est le voir le népotisme et la corruption grandir dans un mouvement dont le leadership ne semble plus en mesure de trouver des idées nouvelles pour le devenir de ce pays. »
Concernant les blessés et autres personnes décédées, la direction du groupe minier Lonmin a promis de payer les frais des enterrements et les frais médicaux des blessés. La liste des morts, des blessés, et des personnes arrêtées a été rendue publique, mais beaucoup peinent toujours à retrouver leur parents. Jacob Zuma, le président sud-africain a annoncé une semaine de deuil national.




Des Algériens humiliés et expulsés d’Allemagne


 
L’ambassadrice d’Allemagne en Algérie a été convoquée après l’expulsion de ressortissants algériens de l’aéroport de Francfort.
L’Algérie vient de réagir et de protester officiellement contre les maltraitances et les procédures vexatoires contre des ressortissants algériens à l’aéroport international de Francfort, en Allemagne.
Les cas de refoulement et de comportements inhumains contre des algériens transitant par cette infrastructure aéroportuaire, en dépit du fait qu’ils étaient détenteurs de visa Schengen, ne pouvaient dès lors plus être tolérés.
Hier samedi, la nouvelle ambassadrice d’Allemagne à Alger a été convoquée au ministère des Affaires étrangères pour entendre les protestations officielles de l’Algérie contre ces pratiques vexatoires. Selon le porte parole du MAE, M. Amar Belani, elle a été reçue par le ministre Mourad Medelci lui-même, suite aux «mesures vexatoires prises à l’encontre de certains ressortissants algériens au niveau de l’aéroport de Francfort». «Devant le caractère répétitif des mesures vexatoires prises à l’encontre de certains ressortissants algériens au niveau de l’aéroport de Francfort, l’ambassadrice (d’Allemagne à Alger) a été convoquée au ministère des Affaires étrangères, où le ministre (Mourad Medelci) lui a fait part de la très vive préoccupation du Gouvernement algérien face à la multiplication de traitements inconvenants et inacceptables réservés à certains voyageurs algériens munis de visas Schengen et qui empruntent, le plus souvent, cet aéroport international dans le cadre de transit sur d’autres destinations», indique M. Belani.
En outre, le ministre des affaires étrangères a attiré l’attention de l’Ambassadrice sur «la nécessité absolue de préserver, en toutes circonstances, la dignité des ressortissants algériens et a fait observer que la persistance de ce genre d’incidents inadmissibles au niveau de l’aéroport de Francfort, n’est pas en phase avec l’esprit amical et positif qui caractérise les relations entre l’Algérie et l’Allemagne». «Au terme de l’entretien, il a été convenu de convoquer une réunion conjointe pour procéder à une évaluation minutieuse de tous les volets de cette question sur le plan (politique, juridique, et humain), afin de lui trouver une solution acceptable et définitive qui soit conforme aux bonnes relations qui existent entre les deux pays», a encore précisé le porte-parole du ministère. En fait, il s’agit de la seconde fois que des autorités diplomatiques allemandes en Algérie sont convoquées au ministère des affaires étrangères pour maltraitance de ressortissants algériens par la police des frontières allemande à l’aéroport de Francfort. Le 16 mai dernier, le chargé d’affaires de l’ambassade d’Allemagne avait été déjà convoqué au ministère des Affaires étrangères, où des explications lui ont été demandées suite aux informations faisant état de mauvais traitement, infligé par les autorités de l’aéroport de Frankfurt à des ressortissants algériens détenteurs pourtant de visas Schengen. ‘
‘Le diplomate allemand a fait montre de compréhension à l’égard de la réaction de la partie algérienne, et s’est engagé à saisir immédiatement sa tutelle à ce sujet », a affirmé par ailleurs M. Amar Belani, qui avait alors précisé que ‘’l'ambassadeur d’Allemagne en Algérie sera reçu au ministère des Affaires étrangères dès son retour à Alger ».
CE QUI A ETE FAIT HIER SAMEDI
L’affaire porte principalement sur le cas de deux cadres de l’entreprise nationale des arts graphiques (ENAG), invités par une entreprise allemande dans le cadre d’accords. Mais, à l’aéroport de Francfort, ils vont vivre l’enfer. Détenteurs du visa Schengen, les deux cadres Algériens ont été humiliés et rabaissés par des policiers allemands des frontières. Ils subiront surtout plusieurs interrogatoires durant plus de huit heures, dés leur descente de l’avion, le 11 mai à 15h30. Ils ont subi un interrogatoire en règle, jusqu’à 23h30 notamment sur les raisons de leur voyage. Selon leur témoignage rapporté par la presse nationale, les deux algériens détenaient le visa et l’invitation «d’une entreprise allemande, KBA» qui les attendait à la Foire des arts graphiques de Francfort. En dépit de ces deux documents, ils vont être expulsés.
Motif: ils ont refusé de payer les 400 euros nécessaires selon la police allemande au déclenchement d’une procédure administrative qui permettra de trancher sur leur cas. Les deux cadres algériens refusent cette procédure, car ils avaient déjà payé auparavant 300 euros ‘’afin de défrayer la procédure engagée à notre encontre», ont-ils expliqué. Leur expulsion vers l’Algérie a été par la suite prononcée, et ils ont été placés sous contrôle judiciaire pendant plus de 37 heures. De tels désagréments auraient été vécus par d’autres algériens. La réaction du MAE doit être accompagnée par l’arrêt de ces pratiques vexatoires à l’encontre des algériens. Il ne s’agit pas d’un vœu ou d’une intention, mais bien plus du respect de la dignité des algériens et de l’Etat libre et indépendant que symbolise le passeport qu’ils détiennent.



Jonas Savimbi : Déjà dix ans !



Le 22 février 2012 est le dixième anniversaire de la mort du chef de la rébellion angolaise Jonas Savimbi, fondateur et dirigeant de l’Union nationale pour l’indépendance totale de l’Angola (UNITA) abattu en 2002 par les forces gouvernementales angolaises.
Jonas Malheiro Savimbi, fondateur et leader charismatique de l'Union nationale pour l'indépendance totale de l'Angola (UNITA) a été tué par l'armée angolaise en 2002
Jonas Savimbi, leader charismatique de l’União Nacional para a Independência Total de Angola, a été tué le 22 février 2002 par l’armée régulière angolaise.
Sa mort avait mis fin à la guerre civile angolaise opposant le gouvernement marxiste-léniniste de la République populaire d’Angola et son parti dirigeant le Mouvement populaire de libération de l’Angola (MPLA) à la puissante guérilla de l’UNITA soutenue par les Etats-Unis d’Amérique. Cette guerre civile a fait près d’un million de morts en 17 ans de conflit.
Dix ans après sa mort, Jonas Savimbi continue de hanter l’Angola. La mémoire de ce seigneur de guerre qui finançait son armée avec les « diamants du sang » est restée une question épineuse dans le pays.
David Zoumenou, chercheur à l’Institut d’études de sécurité de Pretoria,estime que le déclin du leadership de Jonas Savimbi a commencé en 1992, lorsqu’il a refusé de reconnaître les résultats des élections en Angola.

Football Prépa Can 2013 : La Cote d’Ivoire affrontera l’Égypte, La Liste de tous Les Matchs ICI...



La CAN 2013 c’est dans 26 jours et les matchs de préparations ont débutés depuis le 22 décembre afin de permettre aux équipes nationales qualifiées de se préparer avant ce rendez-vous du 19 janvier en Afrique du Sud.

En marge des stages de préparations qu’ effectuent les sélections nationales pour se mettre dans les conditions physiques il y a, les matchs amicaux qui permettent aux différents qualifiés de se mesurer à d’autres équipes. Déjà ce samedi 22 décembre, l’Afrique du Sud, pays hôte de la compétition édition 2013 affrontait le Malawi, les Bafana-Bafana l’ont emporté par une victoire de 3 à 1, ce même jour il y a eu 2 autres matchs. La Tanzanie qui rencontrait la Zambie, s’est imposée par le score de 1 but à 0 et enfin le Rwanda a été battu par l’Angola, sur le score de 1 à 0.Parmi les prochains matchs amicaux, il y aura le 29 décembre prochain entre Oman –Togo et le très attendu match des meilleurs ennemis : Cote d’Ivoire-Égypte, même si l’Égypte ne s’est pas qualifié pour la CAN.

Programme des matchs amicaux :
29 décembre
Oman - Togo
30 décembre
Tunisie - Irak
5 janvier
Niger - Togo
Zambie - Swaziland
8 janvier
Maroc - Zambie
Afrique du Sud - Norvège
10 janvier
Ghana - Egypte
Tunisie - Gabon
12 janvier
Ethiopie - Maroc
Afrique du Sud - Algérie
13 janvier
Ghana - Tunisie
14 janvier
Côte d’Ivoire - Egypte
15 janvier
Zambie - Namibie

mercredi 12 décembre 2012

HABEMUS TWITTER – La première bulle 2.0 de Benoît XVI



La première bulle 2.0 du pape Benoît XVI a pris la forme d'un gazouillis, mercredi 12 décembre 2012 à 11 h 28. Les numérologues fétichistes du 12 y verront peut-être un signe mystique ; les twittos y voient plutôt une occasion de se moquer (plutôt gentiment) du pape.

Le compte officiel, @Pontifex, rédigé en anglais (et décliné en sept langues) n'avait pas encore twitté qu'il rassemblait déjà près de 700 000 followers. Depuis une semaine, le hashtag #faiunadomandaalpapa ("pose une question au pape") permettait aux internautes d'adresser des questions en vue de cette première numérique. Une occasion unique d'évoquer des problématiques eschatologiques... qui a tourné à la blague.
Selon une étude portant sur 20 000 tweets et publiée sur le Vatican Insider, les questions posées à @Pontifex sont "pour la plupart peu pertinentes, ironiques et parfois offensantes". Parmi les tweets plus sérieux, l'étude révèle que le mot "pape" vient avant "Jésus", "Dieu", "Vierge", "Église", "Vatican", "or", "sainteté", "dimanche".
Quand la question des enfants était le thème des demandes, les termes les plus cités se sont référés à la pauvreté ("Afrique", "manger", "affamés", "or", "Tiers-Monde") mais aussi à la pédophilie ("violer", "frapper", "violenter"). Quant à l'homosexualité, les termes qui revenaient le plus étaient "accepter", "ne pas accepter", "discriminer", "prêtres", "pédophile", "se marier".
TWEET-CLASH
Sur Twitter, les réactions aux premiers tweets papaux ne se sont pas fait attendre. Beaucoup de blagues sur le français approximatif publié sur la version française @Pontifex_fr, mais aussi sur son utilisation d'un iPad, ou l'heure précise de son deuxième tweet (12 h 12).



Mais, comme le font remarquer certains twittos, le pape avait déjà twitté en juin 2011, via le compte de Vatican News.

Le tir du missile nord-coréen "constitue une menace directe pour ses voisins"


Le tir du missile nord-coréen "constitue une menace directe pour ses voisins"

Capture d'image d'une vidéo de KRT montrant le numéro un nord-coréen Kim Jong-Un (au centre), lors d'une cérémonie pour l'inauguration des statues de son père et de son grand-père, quelques heures seulement après l'échec du lancement de la fusée Unha-3, à Pyongyang.

L'intégralité du débat avec Valérie Niquet, responsable du pôle Asie à la Fondation pour la recherche stratégique, mercredi 12 décembre 2012

Paoli : Cela n'est pas la première fois que la Corée du Nord effectue un tir de fusée. Le tir de ce mercredi est-il différent des précédents ?

Valérie Niquet La grosse différence du tir nord-coréen d'aujourd'hui, c'est qu'il est réussi. Les Nord-Coréens avaient procédé à des tirs en 2006, en 2009 et au mois d'avril 2012. Mais c'est la première fois que le tir est réussi et que, comme le revendiquent les Nord-Coréens, ils ont apparemment réussi à placer un objet en orbite. C'est cette différence qui apparaît comme une surprise et une nouveauté.
Visiteur : Cela fait des années que les Nord-Coréens multiplient les provocations, sans jamais recevoir de réelles sanctions. Qu'est-ce que ce tir de missile va changer ?
Des sanctions ont été adoptées à l'ONU à la suite des premiers essais. Ces sanctions sont appliquées par la communauté internationale, mais la Corée du Nord est toujours soutenue par la Chine. Et l'aide chinoise lui a permis de ne pas trop souffrir des sanctions internationales. Cette fois-ci, une nouvelle réunion de l'ONU va avoir lieu ce mercredi 12 décembre, il est possible que de nouvelles sanctions soient adoptées, mais, encore une fois, sans coopération active de la part de Pékin, les résultats seront très limités.
Visiteur : Jusqu'à quand la Chine peut-elle rester passive envers son voisin nord-coréen ?
Pékin a fait des déclarations à la suite du tir, comme à son habitude, très ambiguës. D'un côté, la Chine déclare regretter cet essai, mais d'un autre côté, Pékin rappelle que Pyongyang a le droit de procéder à un usage pacifique de l'espace. Par ailleurs, la Chine appelle toutes les parties à faire preuve de calme, ce qui signifie qu'elle met sur le même plan la Corée du Nord, le Japon ou les Etats-Unis.
Visiteur : Est-ce-que la Chine peut lâcher son allié nord-coréen après ce tir ?
Pékin ne souhaite pas perdre la Corée du Nord, qui constitue, selon l'analyse chinoise, un atout stratégique qu'elle ne veut pas abandonner. Il y a eu un changement de direction récemment en Chine, mais, pour le moment, on ne voit pas d'évolution stratégique. Depuis quelques années, la Chine a adopté une attitude plus agressive en Asie. Elle dénonce notamment le retour des Etats-Unis en Asie. Et, dans ce contexte, la perte de la Corée du Nord serait considérée comme un échec. Donc, même si Pékin aimerait une Corée du Nord plus "normale", elle n'est pas prête à prendre les mesures qui aboutiraient à un effondrement du régime nord-coréen.
Visiteur : Quels sont les objectifs nord-coréens de ce lancement de fusée ?
Le nouvel essai de lancement de satellite ou de missile nord-coréen répond à plusieurs objectifs. Le plus important est sans doute d'affirmer le pouvoir du nouveau dirigeant Kim Jong-un un an après la mort de son père, Kim Jong-il, qui a eu lieu le 17 décembre 2011. Son pouvoir est encore fragile, il suscite beaucoup d'interrogations et, symboliquement, le tir réussi du satellite est un très important facteur de légitimité pour lui. On peut rapprocher ce tir du limogeage du chef d'état-major des armées qui s'est produit il y a quelques jours et qui tendrait à confirmer la volonté de Kim Jong-un d'imposer son autorité, notamment sur les militaires.
La deuxième raison, c'est la volonté de remettre la Corée du Nord au premier plan des enjeux stratégiques en Asie. Depuis plusieurs mois, on n'entendait plus beaucoup parler de la question coréenne. Avec ce tir, cela relance la balle dans le camp, notamment, des Américains.
Tom18 : L'élection présidentielle du 19 décembre en Corée du Sud a-t-elle motivé le timing du lancement de la fusée par la Corée du Nord ?
On peut penser que les élections en Corée du Sud n'ont pas eu une influence sur le choix de la date du lancement de la fusée. Mais, à l'inverse, le tir de la fusée aura sans doute une influence sur le résultat des élections en Corée du Sud, mais aussi au Japon, où elles auront lieu dimanche 16 décembre. Dans les deux cas, la provocation nord-coréenne pourrait peser en faveur des partis conservateurs.
Lolotte : Les Etats-Unis ont-ils la possibilité de détruire ou de saboter le satellite mis en orbite ?
Les Etats-Unis ont peut-être les capacités techniques de nuire au satellite nord-coréen. Cette solution paraît toutefois peu envisageable, elle n'apporterait pas d'avantage particulier. Et, pour l'instant, la stratégie des Etats-Unis consiste plutôt à renforcer les sanctions, à attendre une évolution du régime nord-coréen sans reprendre les négociations tant qu'il n'y a pas d'évolution, et à jouer la carte de la pourriture du problème. Cette stratégie ne devrait pas évoluer après le nouveau tir d'essai. En tout cas, pas fondamentalement.
Visiteur : En quoi ce lancement de fusée représente t-il une menace pour les puissances européennes ?
Le lancement de fusée en lui-même ne représente pas une menace directe pour les puissances européennes. Il représente une menace directe pour les voisins de la Corée du Nord en Asie, à commencer par le Japon, où se trouvent des bases américaines. Il représente aussi une menace, potentiellement, pour les territoires de l'Ouest américain. En revanche, pour les pays européens, le développement des capacités balistiques de la Corée du Nord constitue une menace indirecte de prolifération en direction de pays tels que l'Iran, dont on sait qu'il y a eu des coopérations dans le passé entre Pyongyang et Téhéran.
Pierrick : Y a-t-il encore des liens entre la Corée du Nord et l'Iran ?
On n'a pas d'information très ouverte sur le sujet. On peut le supposer. Il y a des rumeurs toutefois qui indiqueraient qu'une coopération au moins technologique se poursuivrait entre la Corée du Nord et l'Iran.
Ippopo Tamino : Quelle est la position de la Russie au lancement du satellite ?
La Russie a condamné le lancement du satellite en rappelant les résolutions de l'ONU et elle déplore officiellement tout ce qui contribue à la déstabilisation stratégique en Asie du Nord-Est. Et nous verrons quelle attitude la Russie adoptera en ce qui concerne de possibles nouvelles sanctions.
Visiteur : Après ce tir réussi, quelle est la prochaine étape pour le régime nord-coréen ?
Il est difficile de prévoir les choix futurs du régime nord-coréen. Mais on voit que la stratégie de la tension et du chantage continue de l'emporter auprès des dirigeants plutôt que la politique d'ouverture sur l'extérieur. Dans ces circonstances, le risque, après ce tir d'essai de fusée réussi, est que la Corée du Nord choisisse à nouveau de faire monter la pression en procédant éventuellement à un nouvel essai nucléaire.
Christophe : Le risque d'attaque du régime nord-coréen contre ses voisins est-il important ?
Il y a eu en 2006 deux offensives lancées contre la Corée du Sud. Un bateau sud-coréen a été coulé par la Corée du Nord et des îlots ont été bombardés. Mais la Corée du Nord est aussi consciente de la faiblesse de ses capacités face à la Corée du Sud et aux Etats-Unis. Une offensive contre la Corée du Sud pourrait entraîner la disparition du régime nord-coréen. L'objectif du régime étant d'abord de survivre, de se perpétuer, on peut imaginer que la Corée du Nord, tout en poursuivant ses provocations, ne franchira pas certaines limites. Le risque d'"invasion", par exemple, est donc très limité. Par ailleurs, même si Pékin ne veut pas abandonner son alliée, on peut supposer que la Chine s'opposerait fermement à toute tentation d'aventurisme de la part de Pyongyang.

Franck22 : Un rapprochement entre la Corée du Nord et la Corée du Sud est-il encore envisageable ou faudra-t-il une chute du régime nord-coréen ?
Pour le moment, les choix effectués par la Corée du Nord ne plaident pas en faveur d'un scénario de rapprochement avec le Sud. D'autant plus que le tir d'essai nord-coréen aura pour conséquence, peut-être, l'arrivée au pouvoir des partis conservateurs en Corée du Sud, partisans d'une attitude de fermeté vis-à-vis du régime nord-coréen.
Visiteur : L'amélioration des relations diplomatiques avec la Corée du Nord ne serait-elle pas préférable pour limiter les risques d'escalade dans la région ?
C'est la théorie défendue par certains, et notamment la Chine, qui considèrent qu'il faut commencer par le dialogue sans précondition pour regagner la confiance de la Corée du Nord. En réalité, cette stratégie du dialogue a été suivie pendant de longues années au travers notamment du dialogue à six sur la Corée du Nord, mais cela n'a abouti qu'à donner à Pyongyang plus de temps et de liberté pour développer ses capacités balistiques et nucléaires.


BATIFOLAGE – Le poisson homosexuel qui voulait attirer les femelles





On se souvient de l'histoire des deux manchots homosexuels ayant adopté un œuf, peut-être même de celle du canard homosexuel nécrophile. Place au poisson qui feint l'homosexualité pour attirer les femelles. Il s'appelle le Poecilia mexicana, et pour faire face aux exigences de femelles favorisant les mâles reproducteurs les plus gros et les plus colorés, les petits mâles ont trouvé une parade : batifoler avec les autres mâles pour montrer leur santé sexuelle.
Cette découverte nous vient de chercheurs allemand ayant publié leur étude dans la revue scientifique Biology Letters. "Nous avons été très surpris de constater que des relations homosexuelles avaient la même influence sur les préférences des femelles que des relations hétérosexuelles", explique le chercheur David Bierbach, de l'université de Francfort.
L'HOMOSEXUALITÉ CONCERNE 450 ESPÈCES ANIMALES
Concrètement, les petits mâles se mordillent entre eux autour de l'orifice génital, signifiant ainsi aux femelles qu'ils sont prêts pour l'accouplement. "Cela implique que l’activité sexuelle en tant que telle est un indice utilisé par les femelles pour évaluer la qualité des mâles et cela pourrait être vrai dans d’autres espèces", souligne le chercheur, cité par la BBC.
L'homosexualité a en effet été remarquée chez près de 450 espèces animales. L'exemple le plus célèbre est celui des bonobos, ces singes qui utilisent les relations sexuelles pour tisser des liens entre les individus d'un même groupe.

Une fillette leucémique traitée en faisant appel au virus du sida

"Même dans les examens les plus pointus, son corps n'a plus trace de leucémie", assure le le docteur Grupp qui a traité la jeune fille.

Un traitement expérimental, qui fait appel à une version inoffensive du virus du sida, pourrait avoir sauvé une petite Américaine de 7 ans condamnée par une leucémie aiguë, qui se trouve aujourd'hui en totale rémission, selon ses médecins.

Emily Whitehead est aujourd'hui "sans trace de cancer", a précisé mardi une porte-parole de l'hôpital pour enfants de Philadelphie (nord-est), où l'enfant a été prise en charge. Le traitement, démarré en avril dernier, n'avait jamais auparavant été tenté sur une enfant. Mais la petite fille souffrait depuis deux ans d'une leucémie lymphoblastique aiguë qui avait résisté à deux chimiothérapies, et selon ses médecins, c'était sa dernière chance.
Le traitement CTL019 a utilisé une forme désactivée du VIH pour modifier génétiquement en laboratoire les lymphocytes T (ou cellules T) de la petite fille, afin qu'ils tuent les cellules cancéreuses.

LE TRAITEMENT N'A ÉTÉ EXPÉRIMENTÉ QUE SUR DOUZE MALADES
Dans le cadre de ce traitement, des millions de ces lymphocytes T, qui jouent un grand rôle dans la réponse immunitaire, ont ainsi été modifiées, puis réintroduites dans son organisme. "Afin que les lymphocytes T attaquent le cancer, nous devons ajouter un nouveau gène. Ce gène permet aux cellules T de produire une protéine qui les conduit à attaquer le cancer. Pour que ce nouveau gène pénètre les cellules T, nous utilisons un virus, développé à partir du VIH. Mais tous les éléments du VIH qui peuvent provoquer une maladie sont retirés", a expliqué mardi dans un courriel à l'AFP Stephan Grupp, pédiatre spécialisé dans le cancer à l'hôpital de Philadelphie, qui a supervisé le traitement.

"Il est impossible d'attraper le VIH ou une autre infection. Ce qui reste, c'est la capacité du VIH qui lui permet d'ajouter de nouveaux gènes dans des cellules", a-t-il insisté. "Les cellules ont été extraites du patient et traitées pour y insérer le nouveau gène", a-t-il ajouté. Le traitement, qui à ce jour n'a été expérimenté que sur douze malades, dont deux enfants, a failli être fatal à la petite fille.
Elle est tombée gravement malade en raison de l'augmentation d'une protéine – résultat direct de l'implantation des cellules modifiées – et hospitalisée en soins intensifs. Un médicament a permis de stopper la production de cette protéine, et Emily s'est ensuite rétablie très rapidement.

"SON CORPS N'A PLUS DE TRACE DE LEUCÉMIE"
"Trois semaines après le traitement, elle était en rémission", selon le docteur Grupp. "Nous avons vérifié sa moelle osseuse pour voir si la maladie était revenue, trois mois et six mois après le traitement, et elle n'a aucune trace de maladie. Les cellules T qui luttent contre le cancer sont toujours dans son organisme", ce qui devrait la protéger d'une rechute. Ces cellules ont la capacité de s'y développer en nombre important.
La petite fille est depuis rentrée chez elle et a repris le chemin de l'école. Un autre enfant, qui avait subi le même traitement a cependant rechuté, selon l'hôpital. Et le docteur Grupp reste prudent quand il parle d'Emily. "Même dans les examens les plus pointus, son corps n'a plus trace de leucémie. Mais nous allons attendre que la rémission dure deux ans avant de nous poser la question de savoir si elle est guérie ou non", a-t-il déclaré à la chaîne de télévision ABC."Il est trop tôt pour le dire."
Des douze malades traités, neuf ont bien réagi au traitement. "Bien que les premiers résultats de ce traitement sont encourageants, l'expérience n'en est qu'à ses débuts", a tenu à souligner l'hôpital. Il a également précisé que ce traitement expérimental était à ce stade une option uniquement pour les malades souffrant d'une forme avancée de leucémie, qui ne réagit pas à la chimiothérapie.

mardi 11 décembre 2012

Shakira enceinte, l'échographie du bébé dévoilée... Gerard Piqué...



Deux ans d'amour entre le footballeur et la chanteuse

Shakira enceinte, l'échographie du bébé dévoilée... Gerard Piqué Bientot Papa.

Insolite à Abidjan : Il Couche Avec Une Folle En Plein Port-Bouet...



Un jeune homme a été surpris en pleins ébats sexuels avec une folle à Port-Bouet, le week-end dernier. Les faits  se déroulent à l’avenue Océan, dans le kiosque à café situé près du dernier arrêt de bus en allant au 43è BIMA, près de la clôture du lycée moderne. Les dimanches, le vendeur de café se repose. Ce couple occasionnel et exceptionnel a donc trouvé comme chambre, cet endroit. Ce dimanche à 14 heures, il soufflait en cet endroit un vent bienfaisant, à cause des nombreux arbres qui jonchent l’avenue.
C’est donc bénéficiant de ce beau temps que ce jeune homme au goût peu ordinaire est venu posséder la folle répondant au nom de E. Il croyait être à l‘abri des regards indiscrets des passants. C’était mal connaître les voyeurs de la cité balnéaire. L’un deux les ayant aperçu, a alerté des habitants du quartier. Certains gardent encore les images de leurs ébats dans leurs téléphones portables. On y voit des postures acrobatiques qui traduisent la joie des deux amoureux. La folle était heureuse de se voir désirée, malgré son état. Ce sont d’ailleurs ses gémissements qui ont attiré l’attention des passants. Surpris en plein coït, le jeune homme a très vite pris la poudre d’escampette. Quant à sa partenaire, elle a tout simplement réajusté sa robe et a quitté les lieux pour échapper aux regards. « Qui n’aime pas plaisir», semblait-elle dire. Dans la vidéo qui circule, on entend la folle demander au jeune homme : « tu as payé ?». C’est à croire que cette jeune fille pratique la prostitution.
Ce que n’infirment pas certaines personnes interrogées. Car depuis toujours, les populations la suspectaient sans toutefois avoir de preuves tangibles. Maintenant c’est chose faite. Folle et prostituée ! C’est vraiment le monde à l’envers


Photo : Un Professeur surpris, pantalon baissé en train de faire l’amour avec son élève !

 Photo : Un Professeur surpris, pantalon baissé en train de faire l’amour avec son élève !



Mbathio Ndiaye Montre Son Slip Lors D'une Soirée Au Sénégal...

Mbathio Ndiaye Montre Son Slip Lors D'une Soirée Au Sénégale...



jeudi 6 décembre 2012

Zimbabwe : Voici leur secret pour rendre les hommes fidèles



Les Zimbabwéennes de la province de Bulawayo ,deuxième plus grande ville de ce pays d’Afrique Australe ont trouvé une potion réputée infaillible pour rendre leurs hommes fidèles et les retenir à la maison : l’urine de babouin.

Il est actuellement le produit le plus recherché par les femmes au Zimbabwe, la recette à la mode, la tendance que toutes s’arrachent car il détiendrait le secret de fidélité des hommes, le rêve de toutes femmes. Ce trésor, c’est l’urine de babouin, qui selon la croyance populaire rendrait tous les hommes sans exceptions quelque soit la couleur de la peau ou l’âge, fidèle à leur compagne. Alors dans ce pays d’Afrique australe, on se l’arrache, surtout qu’il est facile de s’en procurer. Il est revendu par les « sangoma » médecin traditionnel local, à environ 10 dollar du Zimbabwe (10 frs cfa) les deux litres, qui l’obtiennent eux même par l’intermédiaire de garde-chasse qui travaillent en majorité au centre touristiques des chutes Victoria, ou vivent de nombreux Babouins. Il est facile pour eux de s’en procurer car l’animal urinerait toujours au même endroit, d’où cette croyance de fidélité qui pousserait l’homme à son contact, à rester avec sa compagne. Pour que l’homme soit en contact avec l’urine, les femmes ont l’habitude de mélanger l’urine avec une écorce et de se mettre la mixture dans le vagin avant le rapport sexuel.

Beaucoup de couples auraient retrouvé leur sérénité grâce à cela, pourtant les médecins mettent en garde, car l’urine du babouin serait très toxique et pourrait provoquer des infections chez les différents partenaires. Au mépris des risques encourus, la course à la potion de fidélité continue comme l’indique Charity, secrétaire au Conseil de la ville de Bulawayo "Je ne vais pas vous mentir, dit-elle, j’ai utilisé la potion d’amour(…) Regardez-moi maintenant, je suis heureuse et mon mari m’aime."


Pour avoir la chance, un brouteur tente de récupérer les ovules de sa sœur !


cybercriminalité est passée à un certains niveau où les tours de prestidigitation et les opérations mensongères ne suffisent plus. A ce niveau, il en faudrait plus pour déjouer les multiples barrières sécuritaires.

Du coup de plus en plus désargentés, certains brouteurs n'hésiteraient plus à consulter les forces occultes pour obtenir quelques recommandations. Et à en croire nos informations, ''Bolingo cfa'' un brouteur dans un quartier de yopougon s'adonnaient à de telles pratiques pour devenir un sacré veinard dans le domaine de la cybercriminalité.

Ainsi ce faisant ce lundi 10 septembre 2012 à Youpougon selon les faits rapportés , Djibo Eric plus connu sur le nom ''Bolingo Cfa'' avait depuis longtemps perdu le goût de l'aventure. Il avait désormais pris l'habitude de s'embourgeoiser. Sa nouvelle vie construite autour des claviers avait même fait de lui une sommité du ''boucan'' ici à Abidjan la capitale économique.

Mais comme tout apogée a droit à un déclin, les affaires ne tournaient presque plus en sa faveur ces jours-ci où la cybercriminalité croise de plus en plus d'adversaires suite aux initiatives des nouvelles autorités et les nombreuses campagnes médiatiques. Pour compenser donc ces manquements, ''Bolingo Cfa '' devait recourir au liquide physiologique reproducteur d'une femme ; les ovules selon les prescriptions de son marabout.

Alors dans une pratique bien connue en Afrique et communement appelée '' chat noir'' le brouteur ne cherche pas loin et tente dans la nuit de récupérer les ovules de sa sœur à son insu pendant son sommeil.

Il effectue plusieurs touchés vaginaux avec ses doigts au point de provoquer l'éjaculation chez sa sœur toujours endormie. Mais c'est au point d'accomplir involontairement cette sale besogne que cette dernière récent véritablement ce plaisir inattendu. Elle se réveille brusquement et surprend son frère avec un flacon à la main. Appui fessier en position assise, ''Bolingo cfa'' attendait impatiemment les premières gouttes du liquide pour s'échapper. Surprise de cet étonnement, il n'en fallait pas plus à cette dernière pour sonner l'alerte avec des cris.

Rattrapé sur les faits, ''Bolingo cfa'' le brouteur n'a pu garder l'incognito dans le quartier. De quoi prouver la détermination des ''brouteurs'' pour atteindre leur fin.

URGENT - Guéï Alain Le Fils Du Général F. Robert Guéï Victime De Racisme Judiciaire à Lille En France... à lire



Urgent - Un Ivoirien Victime de Racisme Judiciaire à Lille En France... à lire

le préfet du nord pas-de-calais monsieur Denis Robert a osé lancer une procédure judiciaire raciste contre Boubacar l'homme a été placé en détention sous la demande de son ex copine car Boubacar refuse d’être avec elle. Il faut bien que le préfet comprenne que l'esclavage est aboli . Ce n'est pas parce que cette dame du nom de Mme Ondic est mal dans sa peau que Mr Boubacar doit subir. Cette dame a reconnu avoir menti et qu'elle dit aussi avoir été manipulée par les officiers de la police de Lille qui lui ont dit, que les noirs étaient des sous hommes. Un système a été mis en place pour condamner monsieur Boubacar.
Il a saisi la cour européenne des droits de l'homme pour dénoncer cette injustice. Nous avons la preuve que le justice française ne protège pas les étrangers sous leur sol, alors la France est mal placée pour montrer du doigt les pays africains.
Pour faire plaisir à l'ex copine de Boubacar, le procès a décider de le faire tuer appelons les choses par leurs noms puisque Boubacar est en danger mort en Cote d'ivoire.
La question que nous nous posons est que sera le sort des enfants de Boubacar dans cette histoire?
Dans une conversation téléphonique entre Mme Ondic et notre frère Boubacar, elle dit que tu te feras tuer dans ton pays " et que les blanc et les noirs ne doivent pas se mélanger "
elle avoue aussi dans cette conversation téléphonique qu'elle aurait demander au préfet de l'aider a expulser Boubacar, un article de journal était porté dans le courrier du picard qui dit :la somme de condamnés africains porte plainte contre une enseignante, en gros un africain n'a pas le droit de porter plainte.
Mme Ondic ment et dément rien n'est fait contre elle, le problème n'est plus celui de Boubacar mais deviens une cause de tous les africains.
Frères, soeurs , voilà ce qui se passe en France actuel "le pays des droit de l'homme "

lundi 26 novembre 2012

Scandale Kolo Touré Vendeur De Voitures...



Pendant deux ans, Kolo Touré a joué les vendeurs de voiture auprès de sa maîtresse



Quand on est footballeur professionnel à Manchester City et qu’on touche 110 000 euros par semaine, séduire n’est pas vraiment un problème. Mais Kolo Touré a lui préféré cacher sa véritable identité au mannequin Kessel Kasuisyo, lui expliquant qu’il était un simple vendeur de voitures. Un mensonge qui a tout de même tenu pendant deux ans…

La jeune femme de 22 ans a découvert le pot aux roses grâce à une amie à elle, qui lui a conseillé de taper « Kolo Touré » sur Google pour découvrir que son amant était en fait une superstar du ballon rond. Qu’il avait deux enfants et qu’il venait tout juste de se marier.

« J’étais dévasté », explique-t-elle au Daily Mirror. « Sur certaines photos de son mariage, il pleure alors que quelques semaines avant, il était dans mon lit. Deux ou trois semaines plus tard, il était encore chez moi. La semaine durant laquelle il s’est marié, il m’avait appelé pour me dire qu’il rentrait en Afrique vendre deux voitures ».



Kessel Kasuisyo, qui possède de nombreuses photographies du joueur des Citizen prises dans sa douche et chez elle, assure que le milieu de terrain lui a même fait une demande en mariage, lui offrant une bague à 1 200 euros.

« J’ai cru tout ce qu’il m’a dit, je souffre et je suis perdu. Peut-être qu’il voulait une deuxième vie, je ne sais pas. Son attitude étrange s’explique désormais ».

lundi 19 novembre 2012

Insolite : J'ai couchée avec le meilleur ami de mon fils...



Je m'appelle Carine, j'ai quarante et un ans. J'ai deux enfants : Emilie, seize ans et Kevin, dix-huit ans. Depuis que j'ai divorcé, je me sens souvent un peu seule, surtout le soir, dans cette grande villa que j'ai la chance d'habiter, sur la Côte d'Azur.

J'avoue que je suis presque jalouse de mon fils, quand il reçoit ses amis. Je les vois depuis qu'ils sont tout petits et je ne m'étais même pas rendue compte qu'ils étaient maintenant devenus de beaux jeunes hommes... Le déclic s'est fait un soir, l'été dernier, quand ils avaient décidé de profiter de la piscine à la fin d'une soirée que mon fils avait organisée dans le sous-sol de la maison. Ma fille était couchée et quand j'ai entendu un premier "plouf", je n'ai pas pu m'empêcher de guetter derrière mon volet entrouvert pour voir si tout allait bien...

Il était tard et ils me croyaient couchée. Le jeu avait évidemment consisté à faire un bain de minuit dans les règles... Ils étaient très agités, sans doute après avoir bu un peu d'alcool malgré mon interdiction. Vu que ma voisine, assez grincheuse, peut voir et surtout entendre ce qu'il se passe depuis chez elle, je m'apprêtais à ouvrir pour à leur dire de faire moins de bruit et de se rhabiller ; mais je me suis dit qu'ils n'avait plus douze ans et qu'ils pouvaient être gênés qu'une femme de mon âge les voie tout nus, sans parler de mon fils qui serait rouge de honte en me voyant alors qu'il devait imaginer que ma grosse dose de somnifère habituelle avait fait l'effet escompté. Il faut dire que je ne l'avais pas prise car j'étais inquiète et je voulais rester éveillée en cas de problème.

Ce qui m'a aussi retenue, c'est que j'ai eu le temps de voir la voisine ouvrant ses volets en robe de chambre, évidemment pour enguirlander les jeunes, puis rester bouche bée, sans doute interloquée de les voir dans la tenue d'Adam, avant d'éteindre précipitamment ! Elle voulait donc guetter ! Sacrée coquine, malgré ses airs revêches ! Je ne pourrai plus jamais la voir de la même façon : guetter ainsi des garçons d'à peine dix huit-ans...

C'est alors que Jordan est passé devant la lumière... Jordan c'est le meilleur ami de mon fils, un jeune blondinet assez petit, tout fin et très réservé. J'ai toujours eu une certaine tendresse pour ce garçon, que toute femme aurait envie de protéger et même de cajoler. Mais là... Ce fut un choc ! Mon Jordan, que je voyais encore comme un petit garçon, sans doute à cause de sa timidité et de sa petite taille, était transfiguré pour moi : ayant perdu toute réserve à cause de l'alcool, il s'était mis en face de la lumière pour agiter son pénis par des mouvements du bassin afin de faire rire les autres garçons. Mon dieu, quel gros sexe ! J'en étais restée au petit zizi qu'il avait quand, vers dix-onze ans, je les avais mis dans la baignoire avec mon fils quand ils étaient tombés dans la boue. Comment était-ce possible que ce petit Jordan soit devenu un tel jeune homme membré comme un cheval ! Je n'en revenais pas et je voyais que les autres garçons étaient mi-amusés mi-jaloux. Quant à moi, je ne me serais jamais douté que l'adolescent timide qui dormait si souvent chez moi avait un pénis deux fois plus gros que celui de mon mari... Il faut dire que ses parents habitent un peu loin depuis qu'ils ont déménagé et qu'il dort dans la chambre d'ami les week-end où il vient voir mon fils.

Je regardais donc de tous mes yeux, entre les volets, avec une curiosité que j'avais de plus en plus de mal à réprimer, sans parler de ma main, quand j'entendis ce fameux Jordan lancer : "bon , je reviens, je vais pisser". Je ne sais ce qui m'est passer par la tête mais je n'ai pu m'empêcher d'enfiler à la hâte ma chemise de nuit la plus transparente pour me diriger vers les toilettes... J'étais comme un robot, incapable de contrôler quoi que ce soit. Je tremblais presque quad, tout à coup, je tombai sur Jordan marchant d'un pas hâtif, le sexe remuant dans tous les sens. J'étais évidemment incapable de détacher mon regard de cette tache claire, dans la semi-pénombre. De façon non moins évidente , il fut pétrifié de me voir là, devant lui, nu comme un ver, et moi les seins gonflés et tendus vers lui. Nous étions tous les deux devant la porte des toilettes, ne sachant que faire : se céder la place ? s'excuser chacun de la tenue peu appropriée ? rire ? faire comme si tout était normal ? L'attente devenait pénible pour tous les deux. Je ne parvenais plus à réprimer un tremblement de tout mon corps : intimidation ? excitation ? Lui aussi tremblait et enfin il mit sa main devant son pénis, précaution inutile car la main ne pouvait tout cacher.

Il voulut parler mais en fut incapable : un bruit incompréhensible sortit de sa gorge serrée. Je posai ma main sur son épaule pour l'inviter à entrer dans les toilettes le premier. J'attendis. En sortant, il était encore plus gêné et me dit bonne nuit. Je le pris alors contre moi pour lui faire une bise sur les deux joues et je lui dis simplement "à demain", vu qu'il devait dormir à la maison. Je sentis alors son sexe gonfler en un instant et pointer contre mon ventre. Il partit en courant...

Je bondis dans ma chambre pour regagner mon poste d'observation. Les autres garçons moquèrent son érection et insinuèrent qu'il était aller se masturber mais Jordan plongea vite pour détourner l'attention. D'ailleurs, mon fils, toujours respectueux de mes demandes, invita bien vite ses amis à rentrer chez eux, vu qu'il était déjà une heure du matin : la limite que je lui avais fixée pour cette fête un peu exceptionnelle. Peu de temps après j'entendis Kevin et Jordan chuchoter dans le couloir : "ouais on a bien rigolé - heureusement que ma mère prend des somnifères - par contre t'as vu la voisine a guetté, j'ai vu la lumière mais elle a rien dit cette salope... - allez bonne nuit gros - ouais à demain, moi j'dors jusqu'à midi".

Ouf, Jordan n'avait donc pas révélé à mon fils qu'il m'avait croisée. Idée idiote, je me dis que je devais aller le remercier. De quoi, je ne sais pas, mais je voulais aller lui dire bonne nuit. A mon fils, c'était impossible sinon il se serait douté que je ne dormais pas pendant leur bain de minuit. Me voilà donc entrouvrant la porte de la chambre d'ami sans frapper...

Jordan était en train de ranger ses vêtements, toujours tout nu, dans une quasi obscurité. Je refermai derrière moi. Il m'entendit enfin et de nouveau cacha son sexe. Cette fois je plaisantai : "tu sais, ça fait longtemps que je l'ai vu..." Je voulais dire que je n'avais pas pu l'ignorer tout à l'heure dans le couloir..." Mais le garçon répondit naïvement : "Ah oui vous l'avez vu quand on était tombés dans la boue et que vous nous aviez mis dans le bain".

S'ensuivit un dialogue de plus en plus ambigu :
- Oui mais tu étais petit à l'époque...
- Oui, ce n'était pas choquant..
- Maintenant tu as changé : tu es devenu un homme...
- Je suis encore jeune vous savez ! Mais c'est vrai que ce soir on a fêté mes dix-huit ans, entre autres choses, donc vous avez raison, je suis un adulte !
- Je veux dire que tu es bâti comme un homme et même plus viril que mon ancien mari...
- Ah bon ? mais pourtant je n'ai même pas un poil sur la poitrine !
- tu sais, pour une femme, ce ne sont pas les poils qui comptent...

Disant cela, je ne pouvais m'empêcher de regarder sa main sur son pénis et comme s'il avait voulu se soumettre en montrant ce dont on parlait, il l'écarta et me regarda avec un petit sourire que je n'avais jamais vu. Il dut se rendre compte de mon étonnement car immédiatement il s'excusa : "Excusez-moi, ça ne se fait pas de se montrer tout nu devant une femme, surtout la mère de son meilleur ami. Vous me promettez que vous ne direz jamais rien à Kevin ?"

S'il avait su à quel point j'avais la même crainte que lui !Je le regardai dans les yeux en souriant pour lui dire : "promis, il ne saura jamais rien sur ce soir". Et il inclina la tête d'un air satisfait et reconnaissant, ce qui amena son regard au niveau de ma poitrine... Je fis semblant de m'en offusquer :
- Que regardes-tu ? ça ne se fait pas !
- Rien, je vous assure ! Je ne me permettrais pas !
- Tu mens ! Ton nez s'allonge !
Est-ce l'effet magique du verbe s'allonger ? Son pénis me donna raison : en quelques instants il devint raide et immense. Le pauvre Kevin faisait ce qu'il pouvait pour le cacher, vainement, ne parvenant qu'à le raidir davantage encore.

- Ne t'inquiète pas, je plaisantais. C'est la nature : tu es simplement une jeune homme en bonne santé. C'est normal d'avoir des érections à tout moment.
- Surtout devant une femme aussi sexy...

C'était la première fois qu'un garçon de son âge me disait que j'étais sexy. Peut-être naïvement, je n'avais jamais imaginé qu'un si jeune homme puisse avoir envie de moi... "N'essaie pas de me flatter", lui dis-je. Là il se mit en colère : "C'est vrai, pourquoi je mentirais ? Ah si je pouvais vous prouver à quel point vous êtes attirante..." Je fis alors allusion à son sexe, dont la raideur me le prouvait autant qu'il était possible de me le prouver ! Il répondit alors : "Non, mais je voulais dire... Euh... Vous le prouver vraiment quoi... mais je vous vois mal avoir envie d'un gamin comme moi"

Je ne sais ce qui se passa dans mon esprit et je lui répondis : "Jordan, je t'autorise à me donner toutes les preuves que tu veux et je t'interdis de supposer qu'une femme ne pourrait pas avoir envie de toi. Toute femme, surtout de mon âge, ne pourrait s'empêcher de te sauter dessus si elle ne supposait pas que tu n'en as sans doute pas envie et si elle n'avait pas une peur panique que ça se sache un jour."

- Vous voulez dire que...
- Oui, Jordan, prends-moi s'il-te-plaît.

Je n'aurais jamais cru cela possible. Le gamin timide que je croyais si bien connaître eut un regard d'une lubricité effrayante. Je crus voir les yeux d'un tigre affamé et j'eux subitement peur. Il me bascula sur sont lit, retroussa ma chemise de nuit avec violence, tira sur mon slip comme un fou au point d'en déchirer la fragile dentelle et d'un coup enfonça son pénis devenu énorme.

Je devais serrer les dents de toutes mes forces pour m'empêcher de crier. De douleur ? De plaisir ? Ce garçon excité comme un fou me donnait des coups de butoir qui auraient défoncé n'importe quelle porte. Dans ma jouissance, je me souvins que cette chambre d'amis avait été aménagée par mon mari pour qu'il puisse jouer de la batterie sans déranger personne, avec une insonorisation poussée. Tout à coup, mes cris se libérèrent et mon désir avec. Moi aussi je devins comme une bête fauve, écartai Jordan de moi pour laisser ma bouche attraper son pénis, que je mordillai tout en le suçant. Plusieurs jets de sperme éclaboussèrent alors ma bouche et mon visage quand il se retira précipitamment.. Il mit alors ses doigts dans mon vagin, me lécha partout et retrouva bien vite une érection que je n'aurais pas cru possible quelques minutes à peine après son éjaculation.

De nouveau il me pénétra de différentes façons pour me faire gémir le plus fort possible. Gémir, crier, pleurer : plus je réagissais, plus il s'excitait et redoublait de vigueur ou de férocité. C'était comme si un instinct sauvage de prédateur se libérait. Il voulait me ravager par son pénis géant.

Il m'avoua que j'étais sa première femme. Je lui avouai que jamais je n'avais éprouvé une telle jouissance.

Ce ne fut pas la dernière fois...


Insolie : Elle couche inutilement avec son voisin pour tomber enceinte




La cour de justice de Stuttgart doit trancher dans une histoire plutôt insolite. Traute Soupolos, une ex-reine de beauté, a couché avec son voisin à 72 reprises dans le but d'avoir un enfant. Son mari étant stérile, tous ces efforts n'auront servi à rien. Explications.
Traute et Demetrius Soupolos filent le parfait amour. Cependant, ce jeune couple allemand, vivant à Stuttgart, tombe de haut quand il apprend que Demetrius est stérile.

Du coup, les deux tourtereaux pensent à Maus, le voisin du coin, pour "faire le travail" contre un chèque de 2500 dollars. Au bout de la 72e reprise, personne ne comprend pourquoi Traute, ex-reine de beauté, ne tombe pas enceinte.

En justice
D'autant plus que Maus est l'heureux papa de deux enfants et qu'il n'a jamais connu de problèmes sexuels auparavant. Mais après avoir demandé des comptes à sa femme, le verdict est sans appel pour Maus: il n'est pas le vrai père de ses enfants.

Logiquement, le couple poursuit Maus en justice et réclame les 2500 dollars en retour. (chds)

Gabon: course-poursuite entre la police et un frère du président Bongo

Une course-poursuite ponctuée par des coups de feu a eu lieu dans la soirée de mardi à mercredi entre un demi-frère du président Ali Bongo Ondimba et des policiers à Libreville. - Issouf Sanogo/AFP


Une course-poursuite ponctuée par des coups de feu a eu lieu dans la soirée de mardi à mercredi entre un demi-frère du président Ali Bongo Ondimba et des policiers à Libreville.
Selon une source proche des services de sécurité, Yusuf Bongo, fils du défunt président Omar Bongo, a été pris en chasse par des policiers mardi soir. Selon les policiers qui n'étaient pas en uniforme, celui-ci a refusé d'obtempérer après une infraction au code de la route et pris la fuite, selon des sources concordantes.
Celui-ci s'est justifié en assurant qu'il croyait être attaqué par des bandits armés.
Après quelques minutes de chasse et des coups de feu tirés en l'air, une deuxième voiture de police a stoppé la voiture de Yusuf Bongo, qui a été malmené par les policiers croyant avoir affaire à un délinquant avant que celui-ci ne décline son identité.
L'affaire a conduit au remplacement du préfet de police de Libreville, de même source.

Urgent : Côte d'Ivoire: Human Rights Watch accuse les FRCI d'atteintes aux droits de l'homme

Des soldats des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) à Abidjan, le 16 avril 2011.


Dans un rapport intitulé « Bien loin de la réconciliation : Répression militaire abusive en réponse aux menaces sécuritaires en Côte d’Ivoire », Human Rights Watch accuse l’armée de Côte d’Ivoire d’atteintes aux droits humains généralisées en août et septembre 2012. Le rapport assure que les menaces sécuritaires auxquelles la Côte d’Ivoire est confrontée sont réelles, mais pointe les abus généralisés perpétrés par les militaires.

« Les menaces sur la sécurité que la Côte d’Ivoire a connues sont réelles. Mais les exactions généralisées, perpétrées par les militaires, c'est-à-dire les Forces républicaines, ne font que les aggraver », a affirmé Matt Wells, l'un des porte-parole de Human Rights Watch.
« En fait, les Forces républicaines n’ont pas de légitimité pour superviser des arrestations, des interrogatoires, des mises en détention. Or ce sont elles, pas la police, pas les gendarmes, qui ont commis des crimes dans la plupart des cas », a poursuivi Matt Wells.
« Pendant le mois d’août, des membres des Forces républicaines ont mené presque chaque jour des arrestations arbitraires massives de partisans présumés pro-Gbagbo, à Yopougon, à Abidjan, a encore rapporté le porte-parole de Human Rights Watch. Sans mandat d’arrêt, les soldats ont forcé une vingtaine, une trentaine, une quarantaine de jeunes hommes supposés pro-Gbagbo, à monter dans un véhicule militaire, et les ont amenés dans des camp militaires, qui ne constituent pas des lieux de détention légaux selon la loi ivoirienne. C’est dans les camps militaires que nous avons documenté les pires exactions commises par les Forces républicaines ».
Des « critiques constructives » pour le gouvernement ivoirien
Le gouvernement ivoirien a mieux reçu ce rapport de Human Rights Watch que celui d'Amnesty International, publié fin octobre. Les autorités ivoiriennes avaient notamment reproché à Amnesty de ne pas les avoir contactées au moment de leur enquête. Cette fois, le ministre ivoirien des Droits de l'homme, Gnénéma Coulibaly, considère la critique comme constructive et affirme que les faits qui sont dénoncés dans le rapport de Human Rights Watch seront vérifiés, et sanctionnés s'ils s'avèrent exacts.
« L’intitulé de ce rapport à paraître de Human Rights Watch indique bien qu’il s’agit d’un objectif à atteindre, celui de la réconciliation. Et il note que sur ce chemin de la réconciliation, il y a encore quelques difficultés en matière de protection des droits de l’homme. Je voudrais simplement faire remarquer que ce rapport, à la différence d’Amnesty International, nous donne des indications précises sur les faits qu’il rapporte, et que cette ONG a pris le temps de recueillir le sentiment, donc, du gouvernement, sur le sujet », a ainsi déclaré Gnénéma Coulibaly.
« Donc, nous ne sommes pas surpris. Nous restons, comme nous l’avons toujours dit, ouverts aux critiques constructives, pourvu que nous puissions, à l’issu des enquêtes qui seront menées, constater la réalité et encourager les poursuites contre les auteurs de ces faits, conformément à la volonté du président de la République de ne tolérer aucune impunité en Côte d’Ivoire », a encore assuré le ministre des Droits de l'homme.

Renforcement des capacités du personnel au ministère du Commerce : La maîtrise de Microsoft Excel au menu de la formation

Activités

A l’initiative de la Direction des Ressources Humaines, la Direction de l’Informatique et du Commerce Electronique a donné une formation sur le logiciel Microsoft Excel, au profit des agents du Ministère, le samedi 17 novembre 2012, à la salle de Conférence du Cabinet du Ministre du Commerce, au 23ème étage de l’Immeuble Alpha 2000. La Direction des Ressources Humaines multiplie la formation du personnel, dans le but de le rendre plus opérationnel et plus efficace pour le bien-être des usagers et avoir les moyens idoines pour lutter contre la vie chère. Signalons que cette formation intervient après celle visant au renforcement des capacités des Directeurs Régionaux et Départementaux, relativement à l’outil informatique. En effet, cette formation participe de la politique de formation continue des agents du Ministère. En outre, elle contribuera, conformément à la vision du Ministre Dagobert BANZIO, à l’édification d’une Administration du Commerce moderne, bien au fait des Technologies de l’Information et de la Communication. En effet, leur maîtrise permettra aux agents, à n’en point douter, d’être plus autonomes et mieux outillés dans la gestion des données numériques (gestion des relevés de prix, gestion des listes et gestion des tableaux) et l’estimation des données par représentation graphique.

Cette formation à Microsoft Excel qui a réuni 100 Agents du Ministère du Commerce s’est achevé ce jour-même à 18 heures.

Le service communication

Après la dissolution du gouvernement : Le groupe parlementaire PDCI marque sa solidarité à Ahoussou


PDCI-RDA

Les députés du groupe parlementaire PDCI-RDA ont affirmé leur soutien au Premier Ministre, Me Jeannot Kouadio-Ahoussou. C’était le samedi 17 novembre, dernier à sa résidence privée à Cocody-Riviera III lors d’une séance d’échanges entre le Chef du gouvernement et 78 sur 80 députés que compte le groupe parlementaire PDCI-RDA. Entouré du secrétaire général du PDCI-RDA, Alphonse Djédjé Mady et du président du groupe parlementaire, Gaston Ouassénan Koné, le premier ministre, lui-même député, s’est entretenu avec les élus du peuple issus de sa formation politique. «Les députés PDCI-RDA sont venus marquer leur solidarité au premier ministre, chef du gouvernement. Qui est lui-même député PDCI, ainsi que les autres membres du gouvernement qui sont également cadres du PDCI-RDA», a soutenu le député de Grand-Lahou, Djaya Jean. Les parlementaires PDCI-RDA ont également marqué leur soutien au gouvernement, aux ministres PDCI et au Chef de l’Etat, Alassane Ouattara. Les ministres, Charles Koffi Diby, Dagobert Banzio, Remy Allah-Kouadio, Thérèse N’Dri Yoman, Raymonde Coffie Goudou et Paul Koffi Koffi ont pris part à cette rencontre. Sauf, le ministre d’Etat, ministre des affaires étrangères. «Le Premier ministre, nous a demandé de venir pour qu’on se concerte en tant que tous militants du PDCI-RDA. Le groupe parlementaire PDCI-RDA est venu en grand nombre. Nous avons échangé et nous nous sommes compris. Nous avons pris certaines résolutions notamment de nous retrouver régulièrement entre membres du gouvernement envoyés par le PDCI-RDA et les députés du groupe parlementaire», a précisé le président du groupe parlementaire PDCI-RDA, Gaston Ouassenan Koné. Quant au Premier ministre, Me Jeannot Kouadio-Ahoussou, il a lancé un appel à la cohésion des Ivoiriens. Au moment où ses détracteurs souhaitent son départ de la primature, pour le député Jeannot Kouadio- Ahoussou l’essentiel n’est pas sa reconduction mais la cohésion des ivoiriens. «Reconduit ou pas, ce n’est pas ça l’essentiel. L’essentiel, que les Ivoiriens se retrouvent qu’ils soient dans la cohésion », a déclaré le samedi 17 novembre le Premier ministre au terme d’une rencontre avec les députés du groupe parlementaire PDCI-RDA. «Les Ivoiriens ont besoin d’humilité. Soyons humbles. Ayons le triomphe modeste, ayons des propos modestes. Considérons l’autre, l’adversaire même le plus haineux», a ajouté Jeannot Kouadio-Ahoussou, invitant au passage ses compatriotes à se mettre résolument derrière le président de la République, Alassane Ouattara, qui a selon lui des grandes choses pour la Côte d’Ivoire. Le Premier ministre a estimé que l’Ivoirien doit tourner définitivement les pages sombres de son histoire. « Je voudrais attirer l’attention des uns et des autres, surtout vous les journalistes, afin que vous mettiez le doigt sur la nécessité de la cohésion entre tous les fils de ce pays quels que soient leurs bords politiques. Nous nous sommes suffisamment offerts en spectacle pour la communauté internationale. Tous le temps les Ivoiriens se présentent sous un mauvais angle. Il est temps qu’on dise qu’il y a la paix en Côte d’Ivoire, la cohésion sociale en Côte d’Ivoire et l’entente parfaite en Côte d’Ivoire» , a-t-il soutenu. Le chef du gouvernement a envisagé aussi de rencontrer les députés des autres groupes parlementaires. «Je vais me faire fort avec l’autorisation du président de l’Assemblée nationale de rencontrer les autres groupes parlementaires dans le cadre de nos bonnes relations en espérant qu’on sera reconduit pour continuer cette œuvre que nous avons commencé ensemble», a déclaré Jeannot Kouadio-Ahoussou, rappelant que l’entretien avec ses collègues députés du PDCI s’est déroulé dans une bonne ambiance. «Il a fallu échanger avec eux. Ils ont fait des recommandations des propositions, nous allons en tenir compte au niveau du gouvernement et au niveau des bonnes relations entre le parlement et gouvernement» , a-t-il conclu.

lundi 22 octobre 2012

Guinée-Bissau: tentative de contre coup d'Etat, sept morts

Guinée-Bissau: tentative de contre coup d'Etat, sept morts

Six mois après un coup d'Etat ayant renversé en Guinée-Bissau le gouvernement de Carlos Gomes Junior, le nouveau régime de ce pays instable miné par le trafic de drogue a accusé dimanche le Portugal d'être derrière une tentative de contre coup d'Etat qui a fait sept morts.
Dimanche à l'aube, un groupe d'hommes armés a tenté de prendre d'assaut la caserne d'une d'élite de l'armée de terre, les "Bérets rouges", près de l'aéroport de la capitale Bissau. Ils ont pris la fuite après une heure d'échanges de tirs meurtriers.
Les assaillants étaient dirigés par le capitaine Pansau N'Tchama, considéré comme proche de l'ex-Premier ministre Carlos Gomes Junior, renversé le 12 avril. Le capitaine N'Tchama, membre lui-même des "Bérets rouges", était à la tête du commando ayant assassiné en 2009 le président Joao Bernardo Vieira.
"Le gouvernement considère le Portugal, la Communauté des pays de langue portugaise (CPLP) et Carlos Gomes Junior comme les promoteurs de cette tentative de déstabilisation dont le but et la stratégie" étaient "de renverser le gouvernement de transition", selon un communiqué du gouvernement.
Le texte ajoute que l'objectif était aussi "de mettre en cause tout le processus politique en cours avec, un seul but, faire revenir Carlos Gomes Junior au pouvoir, et également de justifier la présence d'une force internationale" de stabilisation en Guinée-Bissau.
 Le gouvernement de Carlos Gomes Junior, qui vit en exil au Portugal, a été renversé le 12 avril par un putsch intervenu entre les deux tours de la présidentielle, alors que M. Gomes Junior était arrivé en tête du premier tour.
Les putschistes, dirigés par le chef d'état-major des armées, le général Antonio Indjai, ont rendu le pouvoir à des hommes politiques avec lesquels ils ont signé un accord pour la mise en place d'autorités de transition, dirigées par le président Manuel Serifo Nhamadjo.
Au moins sept personnes, dont six assaillants, selon un bilan établi par l'AFP, ont été tuées lors de l'attaque de la caserne des "Bérets rouges". Le gouvernement parle dans son communiqué de six morts, d'un blessé grave et de quatre arrestations.
 Le capitaine N'Tchama est récemment rentré du Portugal où il était en formation militaire depuis juillet 2009, selon des sources sécuritaires.
Il était déjà le chef d'un commando qui avait assassiné le président Vieira en mars 2009 quelques heures après l'assassinat du chef d'état-major des forces armées Batista Tagmé Na Waie.
 Pays "sous surveillance"
La Guinée Bissau est un petit Etat ouest-africain dont l'histoire est jalonnée par la violence politico-militaire et les coups d'Etat depuis son indépendance du Portugal en 1974 après une guerre de libération.
Son instabilité a transformé ce pays en plaque tournante du trafic de drogue entre l'Amérique du Sud et l'Europe ces dernières années. Des militaires de haut rang sont soupçonnés d'être impliqués dans ce narco-trafic.
 La Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao), à laquelle appartient la Guinée-Bissau, avait condamné le coup d'Etat du 12 avril, avant d'entériner l'accord entre militaires putschistes et politiques.
La Cédéao a levé ses sanctions imposées après le putsch, mais le pays, où des élections doivent être organisées en 2013, reste "sous surveillance" de ses voisins.
Les dirigeants renversés du Parti africain pour l'indépendance de la Guinée et du Cap-Vert ont refusé de reconnaître le nouveau régime et nombre d'entre eux, vivent en exil.
Après ce putsch, l'Union européenne, principal partenaire de Bissau, avait suspendu son aide et imposé des sanctions contre plusieurs personnalités militaires, dont le général Indjai.
En dépit de cet isolement, le président Nhamadjo a appelé fin septembre la communauté internationale à le soutenir dans la lutte contre le trafic de drogue et pour organiser des élections en 2013.
© AFP
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Elections USA 2012 : dernier face-à-face entre Obama et Romney

Elections USA 2012 : dernier face-à-face entre Obama et Romney
Les deux candidats à l'élection américaine se retrouvent ce soir en Floride pour leur dernier duel, consacré à la politique étrangère. Chacun a l'espoir de faire bouger les sondages qui les donnent au coude à coude, à 15 jours du scrutin.
Les deux hommes se retrouvent lundi soir dans une université de Boca Raton (Floride) pour leur troisième affrontement télévisé du mois. Le président Barack Obama avait raté sa première prestation le 3 octobre avant de se rattraper mardi dernier lors de la deuxième face à Mitt Romney.
Un nouveau sondage publié dimanche par le Wall Street Journal et la chaîne NBC News montre que les deux rivaux recueillent 47% des intentions de vote auprès des électeurs les plus susceptibles de voter, alors que le candidat du parti démocrate bénéficiait d'une avance de trois points (49 contre 46) sur M. Romney avant les débats. Sur un échantillon plus large des électeurs inscrits, le président Obama l'emporterait avec 49% des voix contre 44% à son adversaire.
Obama va défendre son bilan
La politique étrangère, contrairement à l'économie, n'est pas considérée comme un facteur décisif dans le choix des électeurs américains, sauf situation grave, comme l'avait appris à ses dépens Jimmy Carter en 1980, lors de la longue crise des otages en Iran. George W. Bush, en 2004, avait au contraire profité de l'effet de rassemblement en période de guerre en Irak.
Le locataire de la Maison-Blanche devrait faire valoir qu'il a tenu des promesses emblématiques comme le retrait d'Irak et l'engagement de la transition en Afghanistan, et a engrangé des succès contre Al-Qaïda. La mort d'Oussama ben Laden en mai 2011 a en grande partie tué dans l'oeuf les reproches traditionnels que les républicains font aux démocrates : leur prétendue passivité en matière de sécurité.
Romney va critiquer Obama sur l'attentat de Benghazi
Depuis le début de la campagne, M. Romney cherche à mettre en cause la stratégie de l'administration démocrate notamment dans le dossier iranien. Un développement de dernière minute pourrait s'inviter dans ce débat avec un accord de l'Iran pour des négociations directes avec les Etats-Unis sur son programme nucléaire, comme l'a affirmé samedi le New York Times. Des informations démenties par Washington et Téhéran.
Mitt Romney, qui accuse M. Obama d'avoir "laissé tomber" Israël, lui reproche également son inaction en Syrie, entre autres développements violents du "printemps arabe". La stratégie de M. Obama au Moyen-Orient "est en train de s'effondrer sous nos yeux", a-t-il lancé le 16 octobre. M. Romney tente surtout de mettre en difficulté le président sortant sur la gestion de l'attaque du 11 septembre à Benghazi (Libye) qui a coûté la vie à quatre Américains, dont l'ambassadeur américain. Le candidat du parti républicain devrait revenir à la charge après avoir accusé M. Obama d'avoir tardé à qualifier cet attentat de "terroriste".