lundi 26 novembre 2012

Scandale Kolo Touré Vendeur De Voitures...



Pendant deux ans, Kolo Touré a joué les vendeurs de voiture auprès de sa maîtresse



Quand on est footballeur professionnel à Manchester City et qu’on touche 110 000 euros par semaine, séduire n’est pas vraiment un problème. Mais Kolo Touré a lui préféré cacher sa véritable identité au mannequin Kessel Kasuisyo, lui expliquant qu’il était un simple vendeur de voitures. Un mensonge qui a tout de même tenu pendant deux ans…

La jeune femme de 22 ans a découvert le pot aux roses grâce à une amie à elle, qui lui a conseillé de taper « Kolo Touré » sur Google pour découvrir que son amant était en fait une superstar du ballon rond. Qu’il avait deux enfants et qu’il venait tout juste de se marier.

« J’étais dévasté », explique-t-elle au Daily Mirror. « Sur certaines photos de son mariage, il pleure alors que quelques semaines avant, il était dans mon lit. Deux ou trois semaines plus tard, il était encore chez moi. La semaine durant laquelle il s’est marié, il m’avait appelé pour me dire qu’il rentrait en Afrique vendre deux voitures ».



Kessel Kasuisyo, qui possède de nombreuses photographies du joueur des Citizen prises dans sa douche et chez elle, assure que le milieu de terrain lui a même fait une demande en mariage, lui offrant une bague à 1 200 euros.

« J’ai cru tout ce qu’il m’a dit, je souffre et je suis perdu. Peut-être qu’il voulait une deuxième vie, je ne sais pas. Son attitude étrange s’explique désormais ».

lundi 19 novembre 2012

Insolite : J'ai couchée avec le meilleur ami de mon fils...



Je m'appelle Carine, j'ai quarante et un ans. J'ai deux enfants : Emilie, seize ans et Kevin, dix-huit ans. Depuis que j'ai divorcé, je me sens souvent un peu seule, surtout le soir, dans cette grande villa que j'ai la chance d'habiter, sur la Côte d'Azur.

J'avoue que je suis presque jalouse de mon fils, quand il reçoit ses amis. Je les vois depuis qu'ils sont tout petits et je ne m'étais même pas rendue compte qu'ils étaient maintenant devenus de beaux jeunes hommes... Le déclic s'est fait un soir, l'été dernier, quand ils avaient décidé de profiter de la piscine à la fin d'une soirée que mon fils avait organisée dans le sous-sol de la maison. Ma fille était couchée et quand j'ai entendu un premier "plouf", je n'ai pas pu m'empêcher de guetter derrière mon volet entrouvert pour voir si tout allait bien...

Il était tard et ils me croyaient couchée. Le jeu avait évidemment consisté à faire un bain de minuit dans les règles... Ils étaient très agités, sans doute après avoir bu un peu d'alcool malgré mon interdiction. Vu que ma voisine, assez grincheuse, peut voir et surtout entendre ce qu'il se passe depuis chez elle, je m'apprêtais à ouvrir pour à leur dire de faire moins de bruit et de se rhabiller ; mais je me suis dit qu'ils n'avait plus douze ans et qu'ils pouvaient être gênés qu'une femme de mon âge les voie tout nus, sans parler de mon fils qui serait rouge de honte en me voyant alors qu'il devait imaginer que ma grosse dose de somnifère habituelle avait fait l'effet escompté. Il faut dire que je ne l'avais pas prise car j'étais inquiète et je voulais rester éveillée en cas de problème.

Ce qui m'a aussi retenue, c'est que j'ai eu le temps de voir la voisine ouvrant ses volets en robe de chambre, évidemment pour enguirlander les jeunes, puis rester bouche bée, sans doute interloquée de les voir dans la tenue d'Adam, avant d'éteindre précipitamment ! Elle voulait donc guetter ! Sacrée coquine, malgré ses airs revêches ! Je ne pourrai plus jamais la voir de la même façon : guetter ainsi des garçons d'à peine dix huit-ans...

C'est alors que Jordan est passé devant la lumière... Jordan c'est le meilleur ami de mon fils, un jeune blondinet assez petit, tout fin et très réservé. J'ai toujours eu une certaine tendresse pour ce garçon, que toute femme aurait envie de protéger et même de cajoler. Mais là... Ce fut un choc ! Mon Jordan, que je voyais encore comme un petit garçon, sans doute à cause de sa timidité et de sa petite taille, était transfiguré pour moi : ayant perdu toute réserve à cause de l'alcool, il s'était mis en face de la lumière pour agiter son pénis par des mouvements du bassin afin de faire rire les autres garçons. Mon dieu, quel gros sexe ! J'en étais restée au petit zizi qu'il avait quand, vers dix-onze ans, je les avais mis dans la baignoire avec mon fils quand ils étaient tombés dans la boue. Comment était-ce possible que ce petit Jordan soit devenu un tel jeune homme membré comme un cheval ! Je n'en revenais pas et je voyais que les autres garçons étaient mi-amusés mi-jaloux. Quant à moi, je ne me serais jamais douté que l'adolescent timide qui dormait si souvent chez moi avait un pénis deux fois plus gros que celui de mon mari... Il faut dire que ses parents habitent un peu loin depuis qu'ils ont déménagé et qu'il dort dans la chambre d'ami les week-end où il vient voir mon fils.

Je regardais donc de tous mes yeux, entre les volets, avec une curiosité que j'avais de plus en plus de mal à réprimer, sans parler de ma main, quand j'entendis ce fameux Jordan lancer : "bon , je reviens, je vais pisser". Je ne sais ce qui m'est passer par la tête mais je n'ai pu m'empêcher d'enfiler à la hâte ma chemise de nuit la plus transparente pour me diriger vers les toilettes... J'étais comme un robot, incapable de contrôler quoi que ce soit. Je tremblais presque quad, tout à coup, je tombai sur Jordan marchant d'un pas hâtif, le sexe remuant dans tous les sens. J'étais évidemment incapable de détacher mon regard de cette tache claire, dans la semi-pénombre. De façon non moins évidente , il fut pétrifié de me voir là, devant lui, nu comme un ver, et moi les seins gonflés et tendus vers lui. Nous étions tous les deux devant la porte des toilettes, ne sachant que faire : se céder la place ? s'excuser chacun de la tenue peu appropriée ? rire ? faire comme si tout était normal ? L'attente devenait pénible pour tous les deux. Je ne parvenais plus à réprimer un tremblement de tout mon corps : intimidation ? excitation ? Lui aussi tremblait et enfin il mit sa main devant son pénis, précaution inutile car la main ne pouvait tout cacher.

Il voulut parler mais en fut incapable : un bruit incompréhensible sortit de sa gorge serrée. Je posai ma main sur son épaule pour l'inviter à entrer dans les toilettes le premier. J'attendis. En sortant, il était encore plus gêné et me dit bonne nuit. Je le pris alors contre moi pour lui faire une bise sur les deux joues et je lui dis simplement "à demain", vu qu'il devait dormir à la maison. Je sentis alors son sexe gonfler en un instant et pointer contre mon ventre. Il partit en courant...

Je bondis dans ma chambre pour regagner mon poste d'observation. Les autres garçons moquèrent son érection et insinuèrent qu'il était aller se masturber mais Jordan plongea vite pour détourner l'attention. D'ailleurs, mon fils, toujours respectueux de mes demandes, invita bien vite ses amis à rentrer chez eux, vu qu'il était déjà une heure du matin : la limite que je lui avais fixée pour cette fête un peu exceptionnelle. Peu de temps après j'entendis Kevin et Jordan chuchoter dans le couloir : "ouais on a bien rigolé - heureusement que ma mère prend des somnifères - par contre t'as vu la voisine a guetté, j'ai vu la lumière mais elle a rien dit cette salope... - allez bonne nuit gros - ouais à demain, moi j'dors jusqu'à midi".

Ouf, Jordan n'avait donc pas révélé à mon fils qu'il m'avait croisée. Idée idiote, je me dis que je devais aller le remercier. De quoi, je ne sais pas, mais je voulais aller lui dire bonne nuit. A mon fils, c'était impossible sinon il se serait douté que je ne dormais pas pendant leur bain de minuit. Me voilà donc entrouvrant la porte de la chambre d'ami sans frapper...

Jordan était en train de ranger ses vêtements, toujours tout nu, dans une quasi obscurité. Je refermai derrière moi. Il m'entendit enfin et de nouveau cacha son sexe. Cette fois je plaisantai : "tu sais, ça fait longtemps que je l'ai vu..." Je voulais dire que je n'avais pas pu l'ignorer tout à l'heure dans le couloir..." Mais le garçon répondit naïvement : "Ah oui vous l'avez vu quand on était tombés dans la boue et que vous nous aviez mis dans le bain".

S'ensuivit un dialogue de plus en plus ambigu :
- Oui mais tu étais petit à l'époque...
- Oui, ce n'était pas choquant..
- Maintenant tu as changé : tu es devenu un homme...
- Je suis encore jeune vous savez ! Mais c'est vrai que ce soir on a fêté mes dix-huit ans, entre autres choses, donc vous avez raison, je suis un adulte !
- Je veux dire que tu es bâti comme un homme et même plus viril que mon ancien mari...
- Ah bon ? mais pourtant je n'ai même pas un poil sur la poitrine !
- tu sais, pour une femme, ce ne sont pas les poils qui comptent...

Disant cela, je ne pouvais m'empêcher de regarder sa main sur son pénis et comme s'il avait voulu se soumettre en montrant ce dont on parlait, il l'écarta et me regarda avec un petit sourire que je n'avais jamais vu. Il dut se rendre compte de mon étonnement car immédiatement il s'excusa : "Excusez-moi, ça ne se fait pas de se montrer tout nu devant une femme, surtout la mère de son meilleur ami. Vous me promettez que vous ne direz jamais rien à Kevin ?"

S'il avait su à quel point j'avais la même crainte que lui !Je le regardai dans les yeux en souriant pour lui dire : "promis, il ne saura jamais rien sur ce soir". Et il inclina la tête d'un air satisfait et reconnaissant, ce qui amena son regard au niveau de ma poitrine... Je fis semblant de m'en offusquer :
- Que regardes-tu ? ça ne se fait pas !
- Rien, je vous assure ! Je ne me permettrais pas !
- Tu mens ! Ton nez s'allonge !
Est-ce l'effet magique du verbe s'allonger ? Son pénis me donna raison : en quelques instants il devint raide et immense. Le pauvre Kevin faisait ce qu'il pouvait pour le cacher, vainement, ne parvenant qu'à le raidir davantage encore.

- Ne t'inquiète pas, je plaisantais. C'est la nature : tu es simplement une jeune homme en bonne santé. C'est normal d'avoir des érections à tout moment.
- Surtout devant une femme aussi sexy...

C'était la première fois qu'un garçon de son âge me disait que j'étais sexy. Peut-être naïvement, je n'avais jamais imaginé qu'un si jeune homme puisse avoir envie de moi... "N'essaie pas de me flatter", lui dis-je. Là il se mit en colère : "C'est vrai, pourquoi je mentirais ? Ah si je pouvais vous prouver à quel point vous êtes attirante..." Je fis alors allusion à son sexe, dont la raideur me le prouvait autant qu'il était possible de me le prouver ! Il répondit alors : "Non, mais je voulais dire... Euh... Vous le prouver vraiment quoi... mais je vous vois mal avoir envie d'un gamin comme moi"

Je ne sais ce qui se passa dans mon esprit et je lui répondis : "Jordan, je t'autorise à me donner toutes les preuves que tu veux et je t'interdis de supposer qu'une femme ne pourrait pas avoir envie de toi. Toute femme, surtout de mon âge, ne pourrait s'empêcher de te sauter dessus si elle ne supposait pas que tu n'en as sans doute pas envie et si elle n'avait pas une peur panique que ça se sache un jour."

- Vous voulez dire que...
- Oui, Jordan, prends-moi s'il-te-plaît.

Je n'aurais jamais cru cela possible. Le gamin timide que je croyais si bien connaître eut un regard d'une lubricité effrayante. Je crus voir les yeux d'un tigre affamé et j'eux subitement peur. Il me bascula sur sont lit, retroussa ma chemise de nuit avec violence, tira sur mon slip comme un fou au point d'en déchirer la fragile dentelle et d'un coup enfonça son pénis devenu énorme.

Je devais serrer les dents de toutes mes forces pour m'empêcher de crier. De douleur ? De plaisir ? Ce garçon excité comme un fou me donnait des coups de butoir qui auraient défoncé n'importe quelle porte. Dans ma jouissance, je me souvins que cette chambre d'amis avait été aménagée par mon mari pour qu'il puisse jouer de la batterie sans déranger personne, avec une insonorisation poussée. Tout à coup, mes cris se libérèrent et mon désir avec. Moi aussi je devins comme une bête fauve, écartai Jordan de moi pour laisser ma bouche attraper son pénis, que je mordillai tout en le suçant. Plusieurs jets de sperme éclaboussèrent alors ma bouche et mon visage quand il se retira précipitamment.. Il mit alors ses doigts dans mon vagin, me lécha partout et retrouva bien vite une érection que je n'aurais pas cru possible quelques minutes à peine après son éjaculation.

De nouveau il me pénétra de différentes façons pour me faire gémir le plus fort possible. Gémir, crier, pleurer : plus je réagissais, plus il s'excitait et redoublait de vigueur ou de férocité. C'était comme si un instinct sauvage de prédateur se libérait. Il voulait me ravager par son pénis géant.

Il m'avoua que j'étais sa première femme. Je lui avouai que jamais je n'avais éprouvé une telle jouissance.

Ce ne fut pas la dernière fois...


Insolie : Elle couche inutilement avec son voisin pour tomber enceinte




La cour de justice de Stuttgart doit trancher dans une histoire plutôt insolite. Traute Soupolos, une ex-reine de beauté, a couché avec son voisin à 72 reprises dans le but d'avoir un enfant. Son mari étant stérile, tous ces efforts n'auront servi à rien. Explications.
Traute et Demetrius Soupolos filent le parfait amour. Cependant, ce jeune couple allemand, vivant à Stuttgart, tombe de haut quand il apprend que Demetrius est stérile.

Du coup, les deux tourtereaux pensent à Maus, le voisin du coin, pour "faire le travail" contre un chèque de 2500 dollars. Au bout de la 72e reprise, personne ne comprend pourquoi Traute, ex-reine de beauté, ne tombe pas enceinte.

En justice
D'autant plus que Maus est l'heureux papa de deux enfants et qu'il n'a jamais connu de problèmes sexuels auparavant. Mais après avoir demandé des comptes à sa femme, le verdict est sans appel pour Maus: il n'est pas le vrai père de ses enfants.

Logiquement, le couple poursuit Maus en justice et réclame les 2500 dollars en retour. (chds)

Gabon: course-poursuite entre la police et un frère du président Bongo

Une course-poursuite ponctuée par des coups de feu a eu lieu dans la soirée de mardi à mercredi entre un demi-frère du président Ali Bongo Ondimba et des policiers à Libreville. - Issouf Sanogo/AFP


Une course-poursuite ponctuée par des coups de feu a eu lieu dans la soirée de mardi à mercredi entre un demi-frère du président Ali Bongo Ondimba et des policiers à Libreville.
Selon une source proche des services de sécurité, Yusuf Bongo, fils du défunt président Omar Bongo, a été pris en chasse par des policiers mardi soir. Selon les policiers qui n'étaient pas en uniforme, celui-ci a refusé d'obtempérer après une infraction au code de la route et pris la fuite, selon des sources concordantes.
Celui-ci s'est justifié en assurant qu'il croyait être attaqué par des bandits armés.
Après quelques minutes de chasse et des coups de feu tirés en l'air, une deuxième voiture de police a stoppé la voiture de Yusuf Bongo, qui a été malmené par les policiers croyant avoir affaire à un délinquant avant que celui-ci ne décline son identité.
L'affaire a conduit au remplacement du préfet de police de Libreville, de même source.

Urgent : Côte d'Ivoire: Human Rights Watch accuse les FRCI d'atteintes aux droits de l'homme

Des soldats des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) à Abidjan, le 16 avril 2011.


Dans un rapport intitulé « Bien loin de la réconciliation : Répression militaire abusive en réponse aux menaces sécuritaires en Côte d’Ivoire », Human Rights Watch accuse l’armée de Côte d’Ivoire d’atteintes aux droits humains généralisées en août et septembre 2012. Le rapport assure que les menaces sécuritaires auxquelles la Côte d’Ivoire est confrontée sont réelles, mais pointe les abus généralisés perpétrés par les militaires.

« Les menaces sur la sécurité que la Côte d’Ivoire a connues sont réelles. Mais les exactions généralisées, perpétrées par les militaires, c'est-à-dire les Forces républicaines, ne font que les aggraver », a affirmé Matt Wells, l'un des porte-parole de Human Rights Watch.
« En fait, les Forces républicaines n’ont pas de légitimité pour superviser des arrestations, des interrogatoires, des mises en détention. Or ce sont elles, pas la police, pas les gendarmes, qui ont commis des crimes dans la plupart des cas », a poursuivi Matt Wells.
« Pendant le mois d’août, des membres des Forces républicaines ont mené presque chaque jour des arrestations arbitraires massives de partisans présumés pro-Gbagbo, à Yopougon, à Abidjan, a encore rapporté le porte-parole de Human Rights Watch. Sans mandat d’arrêt, les soldats ont forcé une vingtaine, une trentaine, une quarantaine de jeunes hommes supposés pro-Gbagbo, à monter dans un véhicule militaire, et les ont amenés dans des camp militaires, qui ne constituent pas des lieux de détention légaux selon la loi ivoirienne. C’est dans les camps militaires que nous avons documenté les pires exactions commises par les Forces républicaines ».
Des « critiques constructives » pour le gouvernement ivoirien
Le gouvernement ivoirien a mieux reçu ce rapport de Human Rights Watch que celui d'Amnesty International, publié fin octobre. Les autorités ivoiriennes avaient notamment reproché à Amnesty de ne pas les avoir contactées au moment de leur enquête. Cette fois, le ministre ivoirien des Droits de l'homme, Gnénéma Coulibaly, considère la critique comme constructive et affirme que les faits qui sont dénoncés dans le rapport de Human Rights Watch seront vérifiés, et sanctionnés s'ils s'avèrent exacts.
« L’intitulé de ce rapport à paraître de Human Rights Watch indique bien qu’il s’agit d’un objectif à atteindre, celui de la réconciliation. Et il note que sur ce chemin de la réconciliation, il y a encore quelques difficultés en matière de protection des droits de l’homme. Je voudrais simplement faire remarquer que ce rapport, à la différence d’Amnesty International, nous donne des indications précises sur les faits qu’il rapporte, et que cette ONG a pris le temps de recueillir le sentiment, donc, du gouvernement, sur le sujet », a ainsi déclaré Gnénéma Coulibaly.
« Donc, nous ne sommes pas surpris. Nous restons, comme nous l’avons toujours dit, ouverts aux critiques constructives, pourvu que nous puissions, à l’issu des enquêtes qui seront menées, constater la réalité et encourager les poursuites contre les auteurs de ces faits, conformément à la volonté du président de la République de ne tolérer aucune impunité en Côte d’Ivoire », a encore assuré le ministre des Droits de l'homme.

Renforcement des capacités du personnel au ministère du Commerce : La maîtrise de Microsoft Excel au menu de la formation

Activités

A l’initiative de la Direction des Ressources Humaines, la Direction de l’Informatique et du Commerce Electronique a donné une formation sur le logiciel Microsoft Excel, au profit des agents du Ministère, le samedi 17 novembre 2012, à la salle de Conférence du Cabinet du Ministre du Commerce, au 23ème étage de l’Immeuble Alpha 2000. La Direction des Ressources Humaines multiplie la formation du personnel, dans le but de le rendre plus opérationnel et plus efficace pour le bien-être des usagers et avoir les moyens idoines pour lutter contre la vie chère. Signalons que cette formation intervient après celle visant au renforcement des capacités des Directeurs Régionaux et Départementaux, relativement à l’outil informatique. En effet, cette formation participe de la politique de formation continue des agents du Ministère. En outre, elle contribuera, conformément à la vision du Ministre Dagobert BANZIO, à l’édification d’une Administration du Commerce moderne, bien au fait des Technologies de l’Information et de la Communication. En effet, leur maîtrise permettra aux agents, à n’en point douter, d’être plus autonomes et mieux outillés dans la gestion des données numériques (gestion des relevés de prix, gestion des listes et gestion des tableaux) et l’estimation des données par représentation graphique.

Cette formation à Microsoft Excel qui a réuni 100 Agents du Ministère du Commerce s’est achevé ce jour-même à 18 heures.

Le service communication

Après la dissolution du gouvernement : Le groupe parlementaire PDCI marque sa solidarité à Ahoussou


PDCI-RDA

Les députés du groupe parlementaire PDCI-RDA ont affirmé leur soutien au Premier Ministre, Me Jeannot Kouadio-Ahoussou. C’était le samedi 17 novembre, dernier à sa résidence privée à Cocody-Riviera III lors d’une séance d’échanges entre le Chef du gouvernement et 78 sur 80 députés que compte le groupe parlementaire PDCI-RDA. Entouré du secrétaire général du PDCI-RDA, Alphonse Djédjé Mady et du président du groupe parlementaire, Gaston Ouassénan Koné, le premier ministre, lui-même député, s’est entretenu avec les élus du peuple issus de sa formation politique. «Les députés PDCI-RDA sont venus marquer leur solidarité au premier ministre, chef du gouvernement. Qui est lui-même député PDCI, ainsi que les autres membres du gouvernement qui sont également cadres du PDCI-RDA», a soutenu le député de Grand-Lahou, Djaya Jean. Les parlementaires PDCI-RDA ont également marqué leur soutien au gouvernement, aux ministres PDCI et au Chef de l’Etat, Alassane Ouattara. Les ministres, Charles Koffi Diby, Dagobert Banzio, Remy Allah-Kouadio, Thérèse N’Dri Yoman, Raymonde Coffie Goudou et Paul Koffi Koffi ont pris part à cette rencontre. Sauf, le ministre d’Etat, ministre des affaires étrangères. «Le Premier ministre, nous a demandé de venir pour qu’on se concerte en tant que tous militants du PDCI-RDA. Le groupe parlementaire PDCI-RDA est venu en grand nombre. Nous avons échangé et nous nous sommes compris. Nous avons pris certaines résolutions notamment de nous retrouver régulièrement entre membres du gouvernement envoyés par le PDCI-RDA et les députés du groupe parlementaire», a précisé le président du groupe parlementaire PDCI-RDA, Gaston Ouassenan Koné. Quant au Premier ministre, Me Jeannot Kouadio-Ahoussou, il a lancé un appel à la cohésion des Ivoiriens. Au moment où ses détracteurs souhaitent son départ de la primature, pour le député Jeannot Kouadio- Ahoussou l’essentiel n’est pas sa reconduction mais la cohésion des ivoiriens. «Reconduit ou pas, ce n’est pas ça l’essentiel. L’essentiel, que les Ivoiriens se retrouvent qu’ils soient dans la cohésion », a déclaré le samedi 17 novembre le Premier ministre au terme d’une rencontre avec les députés du groupe parlementaire PDCI-RDA. «Les Ivoiriens ont besoin d’humilité. Soyons humbles. Ayons le triomphe modeste, ayons des propos modestes. Considérons l’autre, l’adversaire même le plus haineux», a ajouté Jeannot Kouadio-Ahoussou, invitant au passage ses compatriotes à se mettre résolument derrière le président de la République, Alassane Ouattara, qui a selon lui des grandes choses pour la Côte d’Ivoire. Le Premier ministre a estimé que l’Ivoirien doit tourner définitivement les pages sombres de son histoire. « Je voudrais attirer l’attention des uns et des autres, surtout vous les journalistes, afin que vous mettiez le doigt sur la nécessité de la cohésion entre tous les fils de ce pays quels que soient leurs bords politiques. Nous nous sommes suffisamment offerts en spectacle pour la communauté internationale. Tous le temps les Ivoiriens se présentent sous un mauvais angle. Il est temps qu’on dise qu’il y a la paix en Côte d’Ivoire, la cohésion sociale en Côte d’Ivoire et l’entente parfaite en Côte d’Ivoire» , a-t-il soutenu. Le chef du gouvernement a envisagé aussi de rencontrer les députés des autres groupes parlementaires. «Je vais me faire fort avec l’autorisation du président de l’Assemblée nationale de rencontrer les autres groupes parlementaires dans le cadre de nos bonnes relations en espérant qu’on sera reconduit pour continuer cette œuvre que nous avons commencé ensemble», a déclaré Jeannot Kouadio-Ahoussou, rappelant que l’entretien avec ses collègues députés du PDCI s’est déroulé dans une bonne ambiance. «Il a fallu échanger avec eux. Ils ont fait des recommandations des propositions, nous allons en tenir compte au niveau du gouvernement et au niveau des bonnes relations entre le parlement et gouvernement» , a-t-il conclu.