Je m'appelle Carine, j'ai quarante et un ans. J'ai deux enfants :
Emilie, seize ans et Kevin, dix-huit ans. Depuis que j'ai divorcé, je me
sens souvent un peu seule, surtout le soir, dans cette grande villa que
j'ai la chance d'habiter, sur la Côte d'Azur.
J'avoue que je suis presque jalouse de mon fils, quand il reçoit ses
amis. Je les vois depuis qu'ils sont tout petits et je ne m'étais même
pas rendue compte qu'ils étaient maintenant devenus de beaux jeunes
hommes... Le déclic s'est fait un soir, l'été dernier, quand ils avaient
décidé de profiter de la piscine à la fin d'une soirée que mon fils
avait organisée dans le sous-sol de la maison. Ma fille était couchée et
quand j'ai entendu un premier "plouf", je n'ai pas pu m'empêcher de
guetter derrière mon volet entrouvert pour voir si tout allait bien...
Il était tard et ils me croyaient couchée. Le jeu avait évidemment
consisté à faire un bain de minuit dans les règles... Ils étaient très
agités, sans doute après avoir bu un peu d'alcool malgré mon
interdiction. Vu que ma voisine, assez grincheuse, peut voir et surtout
entendre ce qu'il se passe depuis chez elle, je m'apprêtais à ouvrir
pour à leur dire de faire moins de bruit et de se rhabiller ; mais je me
suis dit qu'ils n'avait plus douze ans et qu'ils pouvaient être gênés
qu'une femme de mon âge les voie tout nus, sans parler de mon fils qui
serait rouge de honte en me voyant alors qu'il devait imaginer que ma
grosse dose de somnifère habituelle avait fait l'effet escompté. Il faut
dire que je ne l'avais pas prise car j'étais inquiète et je voulais
rester éveillée en cas de problème.
Ce qui m'a aussi retenue, c'est que j'ai eu le temps de voir la voisine
ouvrant ses volets en robe de chambre, évidemment pour enguirlander les
jeunes, puis rester bouche bée, sans doute interloquée de les voir dans
la tenue d'Adam, avant d'éteindre précipitamment ! Elle voulait donc
guetter ! Sacrée coquine, malgré ses airs revêches ! Je ne pourrai plus
jamais la voir de la même façon : guetter ainsi des garçons d'à peine
dix huit-ans...
C'est alors que Jordan est passé devant la lumière... Jordan c'est le
meilleur ami de mon fils, un jeune blondinet assez petit, tout fin et
très réservé. J'ai toujours eu une certaine tendresse pour ce garçon,
que toute femme aurait envie de protéger et même de cajoler. Mais là...
Ce fut un choc ! Mon Jordan, que je voyais encore comme un petit garçon,
sans doute à cause de sa timidité et de sa petite taille, était
transfiguré pour moi : ayant perdu toute réserve à cause de l'alcool, il
s'était mis en face de la lumière pour agiter son pénis par des
mouvements du bassin afin de faire rire les autres garçons. Mon dieu,
quel gros sexe ! J'en étais restée au petit zizi qu'il avait quand, vers
dix-onze ans, je les avais mis dans la baignoire avec mon fils quand
ils étaient tombés dans la boue. Comment était-ce possible que ce petit
Jordan soit devenu un tel jeune homme membré comme un cheval ! Je n'en
revenais pas et je voyais que les autres garçons étaient mi-amusés
mi-jaloux. Quant à moi, je ne me serais jamais douté que l'adolescent
timide qui dormait si souvent chez moi avait un pénis deux fois plus
gros que celui de mon mari... Il faut dire que ses parents habitent un
peu loin depuis qu'ils ont déménagé et qu'il dort dans la chambre d'ami
les week-end où il vient voir mon fils.
Je regardais donc de tous mes yeux, entre les volets, avec une curiosité
que j'avais de plus en plus de mal à réprimer, sans parler de ma main,
quand j'entendis ce fameux Jordan lancer : "bon , je reviens, je vais
pisser". Je ne sais ce qui m'est passer par la tête mais je n'ai pu
m'empêcher d'enfiler à la hâte ma chemise de nuit la plus transparente
pour me diriger vers les toilettes... J'étais comme un robot, incapable
de contrôler quoi que ce soit. Je tremblais presque quad, tout à coup,
je tombai sur Jordan marchant d'un pas hâtif, le sexe remuant dans tous
les sens. J'étais évidemment incapable de détacher mon regard de cette
tache claire, dans la semi-pénombre. De façon non moins évidente , il
fut pétrifié de me voir là, devant lui, nu comme un ver, et moi les
seins gonflés et tendus vers lui. Nous étions tous les deux devant la
porte des toilettes, ne sachant que faire : se céder la place ?
s'excuser chacun de la tenue peu appropriée ? rire ? faire comme si tout
était normal ? L'attente devenait pénible pour tous les deux. Je ne
parvenais plus à réprimer un tremblement de tout mon corps :
intimidation ? excitation ? Lui aussi tremblait et enfin il mit sa main
devant son pénis, précaution inutile car la main ne pouvait tout cacher.
Il voulut parler mais en fut incapable : un bruit incompréhensible
sortit de sa gorge serrée. Je posai ma main sur son épaule pour
l'inviter à entrer dans les toilettes le premier. J'attendis. En
sortant, il était encore plus gêné et me dit bonne nuit. Je le pris
alors contre moi pour lui faire une bise sur les deux joues et je lui
dis simplement "à demain", vu qu'il devait dormir à la maison. Je sentis
alors son sexe gonfler en un instant et pointer contre mon ventre. Il
partit en courant...
Je bondis dans ma chambre pour regagner mon poste d'observation. Les
autres garçons moquèrent son érection et insinuèrent qu'il était aller
se masturber mais Jordan plongea vite pour détourner l'attention.
D'ailleurs, mon fils, toujours respectueux de mes demandes, invita bien
vite ses amis à rentrer chez eux, vu qu'il était déjà une heure du matin
: la limite que je lui avais fixée pour cette fête un peu
exceptionnelle. Peu de temps après j'entendis Kevin et Jordan chuchoter
dans le couloir : "ouais on a bien rigolé - heureusement que ma mère
prend des somnifères - par contre t'as vu la voisine a guetté, j'ai vu
la lumière mais elle a rien dit cette salope... - allez bonne nuit gros -
ouais à demain, moi j'dors jusqu'à midi".
Ouf, Jordan n'avait donc pas révélé à mon fils qu'il m'avait croisée.
Idée idiote, je me dis que je devais aller le remercier. De quoi, je ne
sais pas, mais je voulais aller lui dire bonne nuit. A mon fils,
c'était impossible sinon il se serait douté que je ne dormais pas
pendant leur bain de minuit. Me voilà donc entrouvrant la porte de la
chambre d'ami sans frapper...
Jordan était en train de ranger ses vêtements, toujours tout nu, dans
une quasi obscurité. Je refermai derrière moi. Il m'entendit enfin et de
nouveau cacha son sexe. Cette fois je plaisantai : "tu sais, ça fait
longtemps que je l'ai vu..." Je voulais dire que je n'avais pas pu
l'ignorer tout à l'heure dans le couloir..." Mais le garçon répondit
naïvement : "Ah oui vous l'avez vu quand on était tombés dans la boue et
que vous nous aviez mis dans le bain".
S'ensuivit un dialogue de plus en plus ambigu :
- Oui mais tu étais petit à l'époque...
- Oui, ce n'était pas choquant..
- Maintenant tu as changé : tu es devenu un homme...
- Je suis encore jeune vous savez ! Mais c'est vrai que ce soir on a
fêté mes dix-huit ans, entre autres choses, donc vous avez raison, je
suis un adulte !
- Je veux dire que tu es bâti comme un homme et même plus viril que mon ancien mari...
- Ah bon ? mais pourtant je n'ai même pas un poil sur la poitrine !
- tu sais, pour une femme, ce ne sont pas les poils qui comptent...
Disant cela, je ne pouvais m'empêcher de regarder sa main sur son pénis
et comme s'il avait voulu se soumettre en montrant ce dont on parlait,
il l'écarta et me regarda avec un petit sourire que je n'avais jamais
vu. Il dut se rendre compte de mon étonnement car immédiatement il
s'excusa : "Excusez-moi, ça ne se fait pas de se montrer tout nu devant
une femme, surtout la mère de son meilleur ami. Vous me promettez que
vous ne direz jamais rien à Kevin ?"
S'il avait su à quel point j'avais la même crainte que lui !Je le
regardai dans les yeux en souriant pour lui dire : "promis, il ne saura
jamais rien sur ce soir". Et il inclina la tête d'un air satisfait et
reconnaissant, ce qui amena son regard au niveau de ma poitrine... Je
fis semblant de m'en offusquer :
- Que regardes-tu ? ça ne se fait pas !
- Rien, je vous assure ! Je ne me permettrais pas !
- Tu mens ! Ton nez s'allonge !
Est-ce l'effet magique du verbe s'allonger ? Son pénis me donna raison :
en quelques instants il devint raide et immense. Le pauvre Kevin
faisait ce qu'il pouvait pour le cacher, vainement, ne parvenant qu'à le
raidir davantage encore.
- Ne t'inquiète pas, je plaisantais. C'est la nature : tu es simplement
une jeune homme en bonne santé. C'est normal d'avoir des érections à
tout moment.
- Surtout devant une femme aussi sexy...
C'était la première fois qu'un garçon de son âge me disait que j'étais
sexy. Peut-être naïvement, je n'avais jamais imaginé qu'un si jeune
homme puisse avoir envie de moi... "N'essaie pas de me flatter", lui
dis-je. Là il se mit en colère : "C'est vrai, pourquoi je mentirais ? Ah
si je pouvais vous prouver à quel point vous êtes attirante..." Je fis
alors allusion à son sexe, dont la raideur me le prouvait autant qu'il
était possible de me le prouver ! Il répondit alors : "Non, mais je
voulais dire... Euh... Vous le prouver vraiment quoi... mais je vous
vois mal avoir envie d'un gamin comme moi"
Je ne sais ce qui se passa dans mon esprit et je lui répondis : "Jordan,
je t'autorise à me donner toutes les preuves que tu veux et je
t'interdis de supposer qu'une femme ne pourrait pas avoir envie de toi.
Toute femme, surtout de mon âge, ne pourrait s'empêcher de te sauter
dessus si elle ne supposait pas que tu n'en as sans doute pas envie et
si elle n'avait pas une peur panique que ça se sache un jour."
- Vous voulez dire que...
- Oui, Jordan, prends-moi s'il-te-plaît.
Je n'aurais jamais cru cela possible. Le gamin timide que je croyais si
bien connaître eut un regard d'une lubricité effrayante. Je crus voir
les yeux d'un tigre affamé et j'eux subitement peur. Il me bascula sur
sont lit, retroussa ma chemise de nuit avec violence, tira sur mon slip
comme un fou au point d'en déchirer la fragile dentelle et d'un coup
enfonça son pénis devenu énorme.
Je devais serrer les dents de toutes mes forces pour m'empêcher de
crier. De douleur ? De plaisir ? Ce garçon excité comme un fou me
donnait des coups de butoir qui auraient défoncé n'importe quelle porte.
Dans ma jouissance, je me souvins que cette chambre d'amis avait été
aménagée par mon mari pour qu'il puisse jouer de la batterie sans
déranger personne, avec une insonorisation poussée. Tout à coup, mes
cris se libérèrent et mon désir avec. Moi aussi je devins comme une bête
fauve, écartai Jordan de moi pour laisser ma bouche attraper son pénis,
que je mordillai tout en le suçant. Plusieurs jets de sperme
éclaboussèrent alors ma bouche et mon visage quand il se retira
précipitamment.. Il mit alors ses doigts dans mon vagin, me lécha
partout et retrouva bien vite une érection que je n'aurais pas cru
possible quelques minutes à peine après son éjaculation.
De nouveau il me pénétra de différentes façons pour me faire gémir le
plus fort possible. Gémir, crier, pleurer : plus je réagissais, plus il
s'excitait et redoublait de vigueur ou de férocité. C'était comme si un
instinct sauvage de prédateur se libérait. Il voulait me ravager par son
pénis géant.
Il m'avoua que j'étais sa première femme. Je lui avouai que jamais je n'avais éprouvé une telle jouissance.
Ce ne fut pas la dernière fois...