L'Info Du Malo D'abidjan
jeudi 17 mars 2016
jeudi 20 novembre 2014
Urgent Urgent Urgent – Les soldats mutins à Ouattara : « Nous n’avons pas confiance aux promesses faites par vos ministres. Nous voulons vous rencontrer en personne » (20/11)
Bouaké
- La situation sécuritaire est encore sous tension ce mercredi au
lendemain du soulèvement militaire généralisé contre le régime
d'Alassane Ouattara, a-t-on appris de source proche des militaires
mutins. Mardi nuit, la situation a totalement dégénéré à Bouaké et à
Daloa où les mutins se sont rendus maîtres de ces villes, exigeant
d'être payés immédiatement, à savoir 5 millions de Fcfa par tête promis
par Ouattara pour renverser Laurent Gbagbo en 2011.
A Bouaké, les soldats mutins ont pris le contrôle de la poudrière et attaqué les commissariats de police du 3ème arrondissement de Dar-es-Salam et du 2ème arrondissement de Koko, emportant armes et munitions.
Ils ont également ouvert les portes des prisons pour libérer les prisonniers et instauré un Couvre-feu instauré de 19h30 à 6H00 du matin (locale et GMT).
Même situation à Daloa où les mutins ont pris le contrôle du 2eme Bataillon et bloqué tous les accès de la ville, obligeant les populations à se terrer chez elles.
Malgré les assurances des membres du gouvernement annonçant que le chef de l'Etat avait accédé à toutes leurs revendications, dont la principale est le paiement de 5 millions de Fcfa promis par Alassane Ouattara par combattant en cas de chute du Président Laurent Gbagbo, la situation sur le terrain ne cessait de dégénérer, créant la panique à Abidjan.
Hier après-midi d'ailleurs, le Ministre de la Défense Paul Koffi Koffi, était séquestré pendant une demi-heure par les militaires mutins au camp militaire d'Akouedo, alors qu'il venait leur annoncer que le gouvernement avait accédé à toutes leurs revendications.
Selon nos informations, les soldats affirment n'avoir que faire de nouvelles promesses. Ils veulent que le chef de l'Etat leur annonce lui-même qu'il leur donnera immédiatement leur argent.
Les mutins selon nos sources, n'ont plus confiance en la hiérarchie militaire et aux Ministres de la Défense et de l'Intérieur.
C'est d'ailleurs le Ministre de l'Interieur Hamed Bakayoko qui a pu obtenir la libération de son collègue de la Défense Koffi Koffi Paul, séquestré à Akouedo.
Ce dernier s'est peu après rendu sur les antennes de la télévision publique RTI1 pour annoncer les mesures d'urgences suivantes: "Les arriérés de solde des 476 ex-FDS seront apurés pour moitié en fin novembre 2014 et pour l'autre moitié en fin décembre 2014, les frais de missions des militaires seront apurés pour moitié en fin novembre et pour l'autre moitié fin décembre 2014, le droit au bail des 8400 caporaux leur est accordé à compter du 1er janvier 2015''.
Dans la soirée, ce fut au tour du Ministre de l'Intérieur de rassurer les mutins sur les ondes de la RTI1: "Le Président vous a compris et accède à toutes vos demandes. Sa réponse est claire, nette, et positive. Dès demain, nous rencontrerons les militaires pour aborder avec eux les modalités pratiques d'exécution de la décision du Président", dira le ministre Bakayoko pour qui le calme était revenu à Abidjan et dans toutes les localités.
Alors qu'au même moment France24 annonçait que TV Bouaké était tombée aux mains des soldats grévistes, lesquels y ont fait une déclaration.
Dans cette déclaration non diffusée par la RTI1 à Abidjan, les militaires mutins disent ne pas être concernés et ne pas se reconnaître par le Communiqué du chef de l'Etat lu par le ministre de la Défense. Ils affirment qu'ils ne sont pas reconnus par l'Etat qui leur parle d'arriérés de soldes et de maisons baillées. Toute chose qu'ils prennent pour de la moquerie. Ils exigent ni plus ni moins leurs 5 millions de FCFA par soldat promis par Ouattara en cas de chute de Gbagbo. Nous y reviendrons.
Serge Touré
- See more at: http://ivoirebusiness.net/?q=articles/soul%C3%A8vement-arm%C3%A9-contre-ouattara-la-situation-d%C3%A9g%C3%A9n%C3%A8re-les-militaires-mutins-disent-non-au#sthash.av5d4WNq.dpuf
A Bouaké, les soldats mutins ont pris le contrôle de la poudrière et attaqué les commissariats de police du 3ème arrondissement de Dar-es-Salam et du 2ème arrondissement de Koko, emportant armes et munitions.
Ils ont également ouvert les portes des prisons pour libérer les prisonniers et instauré un Couvre-feu instauré de 19h30 à 6H00 du matin (locale et GMT).
Même situation à Daloa où les mutins ont pris le contrôle du 2eme Bataillon et bloqué tous les accès de la ville, obligeant les populations à se terrer chez elles.
Malgré les assurances des membres du gouvernement annonçant que le chef de l'Etat avait accédé à toutes leurs revendications, dont la principale est le paiement de 5 millions de Fcfa promis par Alassane Ouattara par combattant en cas de chute du Président Laurent Gbagbo, la situation sur le terrain ne cessait de dégénérer, créant la panique à Abidjan.
Hier après-midi d'ailleurs, le Ministre de la Défense Paul Koffi Koffi, était séquestré pendant une demi-heure par les militaires mutins au camp militaire d'Akouedo, alors qu'il venait leur annoncer que le gouvernement avait accédé à toutes leurs revendications.
Selon nos informations, les soldats affirment n'avoir que faire de nouvelles promesses. Ils veulent que le chef de l'Etat leur annonce lui-même qu'il leur donnera immédiatement leur argent.
Les mutins selon nos sources, n'ont plus confiance en la hiérarchie militaire et aux Ministres de la Défense et de l'Intérieur.
C'est d'ailleurs le Ministre de l'Interieur Hamed Bakayoko qui a pu obtenir la libération de son collègue de la Défense Koffi Koffi Paul, séquestré à Akouedo.
Ce dernier s'est peu après rendu sur les antennes de la télévision publique RTI1 pour annoncer les mesures d'urgences suivantes: "Les arriérés de solde des 476 ex-FDS seront apurés pour moitié en fin novembre 2014 et pour l'autre moitié en fin décembre 2014, les frais de missions des militaires seront apurés pour moitié en fin novembre et pour l'autre moitié fin décembre 2014, le droit au bail des 8400 caporaux leur est accordé à compter du 1er janvier 2015''.
Dans la soirée, ce fut au tour du Ministre de l'Intérieur de rassurer les mutins sur les ondes de la RTI1: "Le Président vous a compris et accède à toutes vos demandes. Sa réponse est claire, nette, et positive. Dès demain, nous rencontrerons les militaires pour aborder avec eux les modalités pratiques d'exécution de la décision du Président", dira le ministre Bakayoko pour qui le calme était revenu à Abidjan et dans toutes les localités.
Alors qu'au même moment France24 annonçait que TV Bouaké était tombée aux mains des soldats grévistes, lesquels y ont fait une déclaration.
Dans cette déclaration non diffusée par la RTI1 à Abidjan, les militaires mutins disent ne pas être concernés et ne pas se reconnaître par le Communiqué du chef de l'Etat lu par le ministre de la Défense. Ils affirment qu'ils ne sont pas reconnus par l'Etat qui leur parle d'arriérés de soldes et de maisons baillées. Toute chose qu'ils prennent pour de la moquerie. Ils exigent ni plus ni moins leurs 5 millions de FCFA par soldat promis par Ouattara en cas de chute de Gbagbo. Nous y reviendrons.
Serge Touré
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Bouaké
- La situation sécuritaire est encore sous tension ce mercredi au
lendemain du soulèvement militaire généralisé contre le régime
d'Alassane Ouattara, a-t-on appris de source proche des militaires
mutins. Mardi nuit, la situation a totalement dégénéré à Bouaké et à
Daloa où les mutins se sont rendus maîtres de ces villes, exigeant
d'être payés immédiatement, à savoir 5 millions de Fcfa par tête promis
par Ouattara pour renverser Laurent Gbagbo en 2011.
A Bouaké, les soldats mutins ont pris le contrôle de la poudrière et attaqué les commissariats de police du 3ème arrondissement de Dar-es-Salam et du 2ème arrondissement de Koko, emportant armes et munitions.
Ils ont également ouvert les portes des prisons pour libérer les prisonniers et instauré un Couvre-feu instauré de 19h30 à 6H00 du matin (locale et GMT).
Même situation à Daloa où les mutins ont pris le contrôle du 2eme Bataillon et bloqué tous les accès de la ville, obligeant les populations à se terrer chez elles.
Malgré les assurances des membres du gouvernement annonçant que le chef de l'Etat avait accédé à toutes leurs revendications, dont la principale est le paiement de 5 millions de Fcfa promis par Alassane Ouattara par combattant en cas de chute du Président Laurent Gbagbo, la situation sur le terrain ne cessait de dégénérer, créant la panique à Abidjan.
Hier après-midi d'ailleurs, le Ministre de la Défense Paul Koffi Koffi, était séquestré pendant une demi-heure par les militaires mutins au camp militaire d'Akouedo, alors qu'il venait leur annoncer que le gouvernement avait accédé à toutes leurs revendications.
Selon nos informations, les soldats affirment n'avoir que faire de nouvelles promesses. Ils veulent que le chef de l'Etat leur annonce lui-même qu'il leur donnera immédiatement leur argent.
Les mutins selon nos sources, n'ont plus confiance en la hiérarchie militaire et aux Ministres de la Défense et de l'Intérieur.
C'est d'ailleurs le Ministre de l'Interieur Hamed Bakayoko qui a pu obtenir la libération de son collègue de la Défense Koffi Koffi Paul, séquestré à Akouedo.
Ce dernier s'est peu après rendu sur les antennes de la télévision publique RTI1 pour annoncer les mesures d'urgences suivantes: "Les arriérés de solde des 476 ex-FDS seront apurés pour moitié en fin novembre 2014 et pour l'autre moitié en fin décembre 2014, les frais de missions des militaires seront apurés pour moitié en fin novembre et pour l'autre moitié fin décembre 2014, le droit au bail des 8400 caporaux leur est accordé à compter du 1er janvier 2015''.
Dans la soirée, ce fut au tour du Ministre de l'Intérieur de rassurer les mutins sur les ondes de la RTI1: "Le Président vous a compris et accède à toutes vos demandes. Sa réponse est claire, nette, et positive. Dès demain, nous rencontrerons les militaires pour aborder avec eux les modalités pratiques d'exécution de la décision du Président", dira le ministre Bakayoko pour qui le calme était revenu à Abidjan et dans toutes les localités.
Alors qu'au même moment France24 annonçait que TV Bouaké était tombée aux mains des soldats grévistes, lesquels y ont fait une déclaration.
Dans cette déclaration non diffusée par la RTI1 à Abidjan, les militaires mutins disent ne pas être concernés et ne pas se reconnaître par le Communiqué du chef de l'Etat lu par le ministre de la Défense. Ils affirment qu'ils ne sont pas reconnus par l'Etat qui leur parle d'arriérés de soldes et de maisons baillées. Toute chose qu'ils prennent pour de la moquerie. Ils exigent ni plus ni moins leurs 5 millions de FCFA par soldat promis par Ouattara en cas de chute de Gbagbo. Nous y reviendrons.
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Ils ont également ouvert les portes des prisons pour libérer les prisonniers et instauré un Couvre-feu instauré de 19h30 à 6H00 du matin (locale et GMT).
Même situation à Daloa où les mutins ont pris le contrôle du 2eme Bataillon et bloqué tous les accès de la ville, obligeant les populations à se terrer chez elles.
Malgré les assurances des membres du gouvernement annonçant que le chef de l'Etat avait accédé à toutes leurs revendications, dont la principale est le paiement de 5 millions de Fcfa promis par Alassane Ouattara par combattant en cas de chute du Président Laurent Gbagbo, la situation sur le terrain ne cessait de dégénérer, créant la panique à Abidjan.
Hier après-midi d'ailleurs, le Ministre de la Défense Paul Koffi Koffi, était séquestré pendant une demi-heure par les militaires mutins au camp militaire d'Akouedo, alors qu'il venait leur annoncer que le gouvernement avait accédé à toutes leurs revendications.
Selon nos informations, les soldats affirment n'avoir que faire de nouvelles promesses. Ils veulent que le chef de l'Etat leur annonce lui-même qu'il leur donnera immédiatement leur argent.
Les mutins selon nos sources, n'ont plus confiance en la hiérarchie militaire et aux Ministres de la Défense et de l'Intérieur.
C'est d'ailleurs le Ministre de l'Interieur Hamed Bakayoko qui a pu obtenir la libération de son collègue de la Défense Koffi Koffi Paul, séquestré à Akouedo.
Ce dernier s'est peu après rendu sur les antennes de la télévision publique RTI1 pour annoncer les mesures d'urgences suivantes: "Les arriérés de solde des 476 ex-FDS seront apurés pour moitié en fin novembre 2014 et pour l'autre moitié en fin décembre 2014, les frais de missions des militaires seront apurés pour moitié en fin novembre et pour l'autre moitié fin décembre 2014, le droit au bail des 8400 caporaux leur est accordé à compter du 1er janvier 2015''.
Dans la soirée, ce fut au tour du Ministre de l'Intérieur de rassurer les mutins sur les ondes de la RTI1: "Le Président vous a compris et accède à toutes vos demandes. Sa réponse est claire, nette, et positive. Dès demain, nous rencontrerons les militaires pour aborder avec eux les modalités pratiques d'exécution de la décision du Président", dira le ministre Bakayoko pour qui le calme était revenu à Abidjan et dans toutes les localités.
Alors qu'au même moment France24 annonçait que TV Bouaké était tombée aux mains des soldats grévistes, lesquels y ont fait une déclaration.
Dans cette déclaration non diffusée par la RTI1 à Abidjan, les militaires mutins disent ne pas être concernés et ne pas se reconnaître par le Communiqué du chef de l'Etat lu par le ministre de la Défense. Ils affirment qu'ils ne sont pas reconnus par l'Etat qui leur parle d'arriérés de soldes et de maisons baillées. Toute chose qu'ils prennent pour de la moquerie. Ils exigent ni plus ni moins leurs 5 millions de FCFA par soldat promis par Ouattara en cas de chute de Gbagbo. Nous y reviendrons.
Serge Touré
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Bouaké
- La situation sécuritaire est encore sous tension ce mercredi au
lendemain du soulèvement militaire généralisé contre le régime
d'Alassane Ouattara, a-t-on appris de source proche des militaires
mutins. Mardi nuit, la situation a totalement dégénéré à Bouaké et à
Daloa où les mutins se sont rendus maîtres de ces villes, exigeant
d'être payés immédiatement, à savoir 5 millions de Fcfa par tête promis
par Ouattara pour renverser Laurent Gbagbo en 2011.
A Bouaké, les soldats mutins ont pris le contrôle de la poudrière et attaqué les commissariats de police du 3ème arrondissement de Dar-es-Salam et du 2ème arrondissement de Koko, emportant armes et munitions.
Ils ont également ouvert les portes des prisons pour libérer les prisonniers et instauré un Couvre-feu instauré de 19h30 à 6H00 du matin (locale et GMT).
Même situation à Daloa où les mutins ont pris le contrôle du 2eme Bataillon et bloqué tous les accès de la ville, obligeant les populations à se terrer chez elles.
Malgré les assurances des membres du gouvernement annonçant que le chef de l'Etat avait accédé à toutes leurs revendications, dont la principale est le paiement de 5 millions de Fcfa promis par Alassane Ouattara par combattant en cas de chute du Président Laurent Gbagbo, la situation sur le terrain ne cessait de dégénérer, créant la panique à Abidjan.
Hier après-midi d'ailleurs, le Ministre de la Défense Paul Koffi Koffi, était séquestré pendant une demi-heure par les militaires mutins au camp militaire d'Akouedo, alors qu'il venait leur annoncer que le gouvernement avait accédé à toutes leurs revendications.
Selon nos informations, les soldats affirment n'avoir que faire de nouvelles promesses. Ils veulent que le chef de l'Etat leur annonce lui-même qu'il leur donnera immédiatement leur argent.
Les mutins selon nos sources, n'ont plus confiance en la hiérarchie militaire et aux Ministres de la Défense et de l'Intérieur.
C'est d'ailleurs le Ministre de l'Interieur Hamed Bakayoko qui a pu obtenir la libération de son collègue de la Défense Koffi Koffi Paul, séquestré à Akouedo.
Ce dernier s'est peu après rendu sur les antennes de la télévision publique RTI1 pour annoncer les mesures d'urgences suivantes: "Les arriérés de solde des 476 ex-FDS seront apurés pour moitié en fin novembre 2014 et pour l'autre moitié en fin décembre 2014, les frais de missions des militaires seront apurés pour moitié en fin novembre et pour l'autre moitié fin décembre 2014, le droit au bail des 8400 caporaux leur est accordé à compter du 1er janvier 2015''.
Dans la soirée, ce fut au tour du Ministre de l'Intérieur de rassurer les mutins sur les ondes de la RTI1: "Le Président vous a compris et accède à toutes vos demandes. Sa réponse est claire, nette, et positive. Dès demain, nous rencontrerons les militaires pour aborder avec eux les modalités pratiques d'exécution de la décision du Président", dira le ministre Bakayoko pour qui le calme était revenu à Abidjan et dans toutes les localités.
Alors qu'au même moment France24 annonçait que TV Bouaké était tombée aux mains des soldats grévistes, lesquels y ont fait une déclaration.
Dans cette déclaration non diffusée par la RTI1 à Abidjan, les militaires mutins disent ne pas être concernés et ne pas se reconnaître par le Communiqué du chef de l'Etat lu par le ministre de la Défense. Ils affirment qu'ils ne sont pas reconnus par l'Etat qui leur parle d'arriérés de soldes et de maisons baillées. Toute chose qu'ils prennent pour de la moquerie. Ils exigent ni plus ni moins leurs 5 millions de FCFA par soldat promis par Ouattara en cas de chute de Gbagbo. Nous y reviendrons.
Serge Touré
A Bouaké, les soldats mutins ont pris le contrôle de la poudrière et attaqué les commissariats de police du 3ème arrondissement de Dar-es-Salam et du 2ème arrondissement de Koko, emportant armes et munitions.
Ils ont également ouvert les portes des prisons pour libérer les prisonniers et instauré un Couvre-feu instauré de 19h30 à 6H00 du matin (locale et GMT).
Même situation à Daloa où les mutins ont pris le contrôle du 2eme Bataillon et bloqué tous les accès de la ville, obligeant les populations à se terrer chez elles.
Malgré les assurances des membres du gouvernement annonçant que le chef de l'Etat avait accédé à toutes leurs revendications, dont la principale est le paiement de 5 millions de Fcfa promis par Alassane Ouattara par combattant en cas de chute du Président Laurent Gbagbo, la situation sur le terrain ne cessait de dégénérer, créant la panique à Abidjan.
Hier après-midi d'ailleurs, le Ministre de la Défense Paul Koffi Koffi, était séquestré pendant une demi-heure par les militaires mutins au camp militaire d'Akouedo, alors qu'il venait leur annoncer que le gouvernement avait accédé à toutes leurs revendications.
Selon nos informations, les soldats affirment n'avoir que faire de nouvelles promesses. Ils veulent que le chef de l'Etat leur annonce lui-même qu'il leur donnera immédiatement leur argent.
Les mutins selon nos sources, n'ont plus confiance en la hiérarchie militaire et aux Ministres de la Défense et de l'Intérieur.
C'est d'ailleurs le Ministre de l'Interieur Hamed Bakayoko qui a pu obtenir la libération de son collègue de la Défense Koffi Koffi Paul, séquestré à Akouedo.
Ce dernier s'est peu après rendu sur les antennes de la télévision publique RTI1 pour annoncer les mesures d'urgences suivantes: "Les arriérés de solde des 476 ex-FDS seront apurés pour moitié en fin novembre 2014 et pour l'autre moitié en fin décembre 2014, les frais de missions des militaires seront apurés pour moitié en fin novembre et pour l'autre moitié fin décembre 2014, le droit au bail des 8400 caporaux leur est accordé à compter du 1er janvier 2015''.
Dans la soirée, ce fut au tour du Ministre de l'Intérieur de rassurer les mutins sur les ondes de la RTI1: "Le Président vous a compris et accède à toutes vos demandes. Sa réponse est claire, nette, et positive. Dès demain, nous rencontrerons les militaires pour aborder avec eux les modalités pratiques d'exécution de la décision du Président", dira le ministre Bakayoko pour qui le calme était revenu à Abidjan et dans toutes les localités.
Alors qu'au même moment France24 annonçait que TV Bouaké était tombée aux mains des soldats grévistes, lesquels y ont fait une déclaration.
Dans cette déclaration non diffusée par la RTI1 à Abidjan, les militaires mutins disent ne pas être concernés et ne pas se reconnaître par le Communiqué du chef de l'Etat lu par le ministre de la Défense. Ils affirment qu'ils ne sont pas reconnus par l'Etat qui leur parle d'arriérés de soldes et de maisons baillées. Toute chose qu'ils prennent pour de la moquerie. Ils exigent ni plus ni moins leurs 5 millions de FCFA par soldat promis par Ouattara en cas de chute de Gbagbo. Nous y reviendrons.
Serge Touré
samedi 31 mai 2014
La Russie a développé un vaccin contre l’homosexualité
On apprend la nouvelle cette semaine ; un obscur toubib et son équipe – le docteur Dimitri Yusrokov Stalini -viennent de communiquer leur découverte : un vaccin contre l’homosexualité…
Le “bidule” est censé être préventif ; ainsi, plus tôt un enfant est vacciné, moins de chances existeraient pour qu’il soit homosexuel. Ce qui nous indique déjà une information capitale ; pour ce médecin, l’homosexualité est une maladie puisque soignable par vaccination.
Une étude de 1959
Les “scientifiques” russes ont travaillé sur base d’une étude de 1959 publiée sous le titre « Homosexualité: Psychiatrie, maladie ou génétique ? » du docteur H. Schwartz, qui affirmait que l’homosexualité n’est qu’une maladie traitable comme la grippe ou la rubéole.
«Les xénodioestrogènes sont un type de mimétiques oestrogènes trouvé dans les composés chimiques naturels ou synthétiques. Les xénodioestrogènes synthétiques comme les PCB, BPA et phthalates ont prouvé avoir des effets oestrogéniques sur les organismes vivants et perturbent positivement le système endocrinien» explique le Dr. Yuri Krutchev, qui a pris part à l’expérimentation.
Des milliers de vaccins en pré-commande
Certains gouvernements à la politique ferme auraient déjà pré-commandés plusieurs milliers de vaccins, notamment une commande groupée des pays suivants: Afghanistan, Arabie saoudite, Iran, Mauritanie, Soudan et Yémen. Ces 7 pays condamnent encore l’homosexualité à la peine de mort et semblent donc préférer prévenir que guérir. La Chine serait également intéressée par l’acquisition de ces vaccins mais attendrait d’en voir les effets positifs.
Les premières livraisons seront effectuées dès la fin du mois de juillet. Les premiers résultats devraient donc pouvoir être récoltés dans quelques années, selon ces mêmes “scientifiques”…
Est-il besoin de préciser que la communauté scientifique – la vrai… – est plus que sceptique…
(bon, je vous raconte la vérité ; ce billet est paru dans NordPresse ; l’équivalent Belge du Gorafi )
Source: Le kiosque aux canards
Côte d'Ivoire : 50 détenus pro-Gbagbo dont Dibopieu ont recouvré la liberté provisoire
Arrestations après la chute de Laurent Gbagbo ici à Abidjan en avril 2011 etJean Yves Dibopieu Rechercher Jean Yves Dibopieu (ph 2) -
Cliquez pour Agrandir
Abidjan le 31 mai 2014 © koaci.com – Comme annoncé lors de la rencontre entre le Front populaire ivoirien (FPI Rechercher FPI ) et le gouvernement, 50 détenus de la crise post-électorale proches de l'ex-chef d'Etat ivoirien ont recouvré la liberté provisoire ce samedi, a appris Koaci.com d'une source proche de la Maison d'arrêt et de correction d'Abidjan (MACA).
Les 50 personnes qui ont recouvré la liberté font partis des 150 pro-Gbagbo que les autorités ont décidé de libérer suite à la rencontre qu'Ahoussou Jeannot a eu le 22 mai dernier avec l'opposition en particulier leFPI Rechercher FPI (voir article).
Koaci.com apprend enfin de la même source que les 50 premiers détenus ont quitté laMACA Rechercher MACA tôt ce matin sous forte escorte policière.
Au nombre de ces personnes figurent selon nos informations, l'ex fesciste et camarade de cellule à la DST de Charles Blé Goudé,Jean Yves Dibopieu Rechercher Jean Yves Dibopieu (voir article), un certain Youan Bi et deux dames dont nous ignorons encore les identités.
Pour finir, notons, au registre des libérations que dans une autre affaire, Romaric Assi, étudiant récemment arrêté par la DST (voir article), a également été libéré ce vendredi soir aux alentours de 23h, apprend koaci.com de sources familiales. A en croire ces dernières, le jeune homme qui aurait été soupçonné de préparer une attaque contre un commissariat, serait, après 6 jours passés à la DST, sorti amaigri et très fatigué.
Côte d'Ivoire : Un corps abandonné à la morgue d'un CHU pour facture exorbitante
A lamorgue Rechercher morgue du Chu deYopougon Rechercher Yopougon ce samedi (ph DK-koaci.com) – Documents (ph 2, 3) -
Cliquez pour Agrandir
Une famille arrivée pour la levée de corps de leur proche a trouvé exorbitante lafacture Rechercher facture de sa conservation jusqu'à abandonner le corps en question àIvosep Rechercher Ivosep comme constaté sur place koaci.com à lamorgue Rechercher morgueduCHU Rechercher CHU de Yopougon.
En effet, selon les informations recueillies auprès de cette famille, Adelaïde Nina Kpan âgée de 26 ans est décédée naturellement le vendredi 23 mai dernier sans observer de contagion comme indiqué par le certificat de décès signé du Docteur Say Ehouman.
Ce samedi 31 mai soit, 8 jours après son décès, il était prévu sa levée de corps en vue de son inhumation au cimetière municipal de Yopougon.
Mais grande sera la surprise de la famille, quand la société en charge de la conservation des corps, « IVOSEP », lui tendra unefacture Rechercher facture de 209 000 de FCFA (300 euros), pour une semaine passée au sein de la morgue.
Une somme que les parents jugeront excessive n'étant en mesure de la solder, préférant, de fait, abandonner le corps à lamorgue Rechercher morgue afin que les autorités compétentes puissent procéder à son inhumation.
« Jamais de mémoire je n’ai vu cela. Le corps a été transféré ici le 23 mai, je viens pour la levée en vue de l’inhumation, pas plus d’une semaine je dois payer 209 000 FCFA. Alors que, le corbillard et le cercueil ont été achetés hors morgue. J’ai tous les documents pour la procédure de la levée du corps et de l’enterrement. Le permis d’inhumé dont la taxe m’a coûté à 15 000 FCFA pour 5 ans de location de la sépulture au District d’Abidjan. Je dois encore payer certaines choses au lieu d’enterrement. Et on me demande de payer une telle somme avec unefacture Rechercher facture exorbitante comme ça. Moi je leur ai proposé 100 000 FCFA, ils disent non. Je n’ai pas ses moyens là. J’ai décidé de leur abandonné le corps de toutes les façons, le procureur sera saisi et autorisera l’enterrement », a expliqué le père de la défunte, Mr Kpan qui s’arrachait presque les cheveux dans la cour de lamorgue Rechercher morgue et laissait à qui voulait l’entendre qu’il était victime d’une escroquerie de la part d’Ivosep.
Au moment de notre départ des lieux, aux environs de 12 h 30, la famille s’organisait pour également les quitter laissant le corps de leur progéniture à lamorgue Rechercher morgue faute de conciliation entre les deux parties.
Si funéraille est bien souvent synonyme d’endettement en Côte d'Ivoire et si le cas révélé est à l'image de nombreux autres constituant les réalités sociales du pays, reste désormais à savoir si Mr Kpan fera exception.
Affaire à suivre…
Donatien Kautcha
mercredi 9 avril 2014
VIDEO : La Congolaise danse nue dans un bar (dedja by la congolaise)
La Congolaise danse nue dans un bar (dedja by la congolaise)
vendredi 28 mars 2014
Côte d'Ivoire : Le ministre de la Construction annonce une baisse du coût des loyers
Abidjan le 27 mars 2014 © koaci.com – Croiront qui voudront croire mais le coût des loyers pourraient connaître une baisse considérable a annoncé ce jeudi, le ministre ivoirien de la Construction, du logement, de l'assainissement et de l'urbanisme, Mamadou Sanogo SearchMamadou Sanogo a l'occasion d'une rencontre avec la presse initiée par le Centre d'information et de communication gouvernementale (CICG SearchCICG).
Il menace déja, à l'en croire, de poursuivre les propriétaires des maisons qui ne respecteront pas les dispositions qui devraient être prises à cet effet.
« Nous ferons en sorte pour faire baisser le coût du logement en Côte d'Ivoire. Les textes sont en gestation au niveau du secrétariat du gouvernement, » a déclaré le ministre.
« Avec les textes que nous sommes entrain d'élaborer, la caution ne devra pas dépasser deux mois et l'occasion sera donné aux locataires de poursuivre les propriétaires de maisons qui ne respecteront pas les dispositions arrêtées », a-t-il ajouté.
Avouant qu'il n'est pas normal que les prix des studios oscillent entre 100 et 200 mille FCFA vu qu'ils n'offrent pas les commodités de base, le ministre ivoirien de la Construction reconnaît néanmoins que, l'absence de textes régulant le secteur est à l'origine des abus organisés par les promoteurs.
Cela doit prendre fin, a précisé Mamadou Sanogo SearchMamadou Sanogo, insistant au passage sur les nouvelles dispositions en vigueur dans la construction des bâtiments.
Selon le ministre ivoirien de la Construction a prévenu que les projets de construction R+2 doivent désormais faire l'objet d'une étude du sol.
C'est pourquoi, il invite les promoteurs à s'équiper puisqu'ils seront très bientôt sollicités vu les avantages qu'ils auront des avantages.
Le sujet relatif à l'occupation anarchique de certains espaces a été évoqué par Mamadou Sanogo SearchMamadou Sanogo. Il a mis en garde les contrevenants.
"Tant que j'occuperai ce département, je mettrai fin aux occupations des espaces verts. Je suis contre ces pratiques, » a-t-il martelé, menaçant par la suite de détruire les constructions ou arrêter d'éventuels travaux sur un des espaces.
Enfin, le ministre d'un secteur encore dominé par la corruption jusqu'à cette heure, a annoncé qu'une opération de révision des schémas directeurs des villes et la régularisation des lotissements qui n'ont pas été approuvés a été lancé par le gouvernement en vue de mettre fin progressivement au lotissement villageois.
Wassimagnon
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