lundi 19 novembre 2012

Insolite : J'ai couchée avec le meilleur ami de mon fils...



Je m'appelle Carine, j'ai quarante et un ans. J'ai deux enfants : Emilie, seize ans et Kevin, dix-huit ans. Depuis que j'ai divorcé, je me sens souvent un peu seule, surtout le soir, dans cette grande villa que j'ai la chance d'habiter, sur la Côte d'Azur.

J'avoue que je suis presque jalouse de mon fils, quand il reçoit ses amis. Je les vois depuis qu'ils sont tout petits et je ne m'étais même pas rendue compte qu'ils étaient maintenant devenus de beaux jeunes hommes... Le déclic s'est fait un soir, l'été dernier, quand ils avaient décidé de profiter de la piscine à la fin d'une soirée que mon fils avait organisée dans le sous-sol de la maison. Ma fille était couchée et quand j'ai entendu un premier "plouf", je n'ai pas pu m'empêcher de guetter derrière mon volet entrouvert pour voir si tout allait bien...

Il était tard et ils me croyaient couchée. Le jeu avait évidemment consisté à faire un bain de minuit dans les règles... Ils étaient très agités, sans doute après avoir bu un peu d'alcool malgré mon interdiction. Vu que ma voisine, assez grincheuse, peut voir et surtout entendre ce qu'il se passe depuis chez elle, je m'apprêtais à ouvrir pour à leur dire de faire moins de bruit et de se rhabiller ; mais je me suis dit qu'ils n'avait plus douze ans et qu'ils pouvaient être gênés qu'une femme de mon âge les voie tout nus, sans parler de mon fils qui serait rouge de honte en me voyant alors qu'il devait imaginer que ma grosse dose de somnifère habituelle avait fait l'effet escompté. Il faut dire que je ne l'avais pas prise car j'étais inquiète et je voulais rester éveillée en cas de problème.

Ce qui m'a aussi retenue, c'est que j'ai eu le temps de voir la voisine ouvrant ses volets en robe de chambre, évidemment pour enguirlander les jeunes, puis rester bouche bée, sans doute interloquée de les voir dans la tenue d'Adam, avant d'éteindre précipitamment ! Elle voulait donc guetter ! Sacrée coquine, malgré ses airs revêches ! Je ne pourrai plus jamais la voir de la même façon : guetter ainsi des garçons d'à peine dix huit-ans...

C'est alors que Jordan est passé devant la lumière... Jordan c'est le meilleur ami de mon fils, un jeune blondinet assez petit, tout fin et très réservé. J'ai toujours eu une certaine tendresse pour ce garçon, que toute femme aurait envie de protéger et même de cajoler. Mais là... Ce fut un choc ! Mon Jordan, que je voyais encore comme un petit garçon, sans doute à cause de sa timidité et de sa petite taille, était transfiguré pour moi : ayant perdu toute réserve à cause de l'alcool, il s'était mis en face de la lumière pour agiter son pénis par des mouvements du bassin afin de faire rire les autres garçons. Mon dieu, quel gros sexe ! J'en étais restée au petit zizi qu'il avait quand, vers dix-onze ans, je les avais mis dans la baignoire avec mon fils quand ils étaient tombés dans la boue. Comment était-ce possible que ce petit Jordan soit devenu un tel jeune homme membré comme un cheval ! Je n'en revenais pas et je voyais que les autres garçons étaient mi-amusés mi-jaloux. Quant à moi, je ne me serais jamais douté que l'adolescent timide qui dormait si souvent chez moi avait un pénis deux fois plus gros que celui de mon mari... Il faut dire que ses parents habitent un peu loin depuis qu'ils ont déménagé et qu'il dort dans la chambre d'ami les week-end où il vient voir mon fils.

Je regardais donc de tous mes yeux, entre les volets, avec une curiosité que j'avais de plus en plus de mal à réprimer, sans parler de ma main, quand j'entendis ce fameux Jordan lancer : "bon , je reviens, je vais pisser". Je ne sais ce qui m'est passer par la tête mais je n'ai pu m'empêcher d'enfiler à la hâte ma chemise de nuit la plus transparente pour me diriger vers les toilettes... J'étais comme un robot, incapable de contrôler quoi que ce soit. Je tremblais presque quad, tout à coup, je tombai sur Jordan marchant d'un pas hâtif, le sexe remuant dans tous les sens. J'étais évidemment incapable de détacher mon regard de cette tache claire, dans la semi-pénombre. De façon non moins évidente , il fut pétrifié de me voir là, devant lui, nu comme un ver, et moi les seins gonflés et tendus vers lui. Nous étions tous les deux devant la porte des toilettes, ne sachant que faire : se céder la place ? s'excuser chacun de la tenue peu appropriée ? rire ? faire comme si tout était normal ? L'attente devenait pénible pour tous les deux. Je ne parvenais plus à réprimer un tremblement de tout mon corps : intimidation ? excitation ? Lui aussi tremblait et enfin il mit sa main devant son pénis, précaution inutile car la main ne pouvait tout cacher.

Il voulut parler mais en fut incapable : un bruit incompréhensible sortit de sa gorge serrée. Je posai ma main sur son épaule pour l'inviter à entrer dans les toilettes le premier. J'attendis. En sortant, il était encore plus gêné et me dit bonne nuit. Je le pris alors contre moi pour lui faire une bise sur les deux joues et je lui dis simplement "à demain", vu qu'il devait dormir à la maison. Je sentis alors son sexe gonfler en un instant et pointer contre mon ventre. Il partit en courant...

Je bondis dans ma chambre pour regagner mon poste d'observation. Les autres garçons moquèrent son érection et insinuèrent qu'il était aller se masturber mais Jordan plongea vite pour détourner l'attention. D'ailleurs, mon fils, toujours respectueux de mes demandes, invita bien vite ses amis à rentrer chez eux, vu qu'il était déjà une heure du matin : la limite que je lui avais fixée pour cette fête un peu exceptionnelle. Peu de temps après j'entendis Kevin et Jordan chuchoter dans le couloir : "ouais on a bien rigolé - heureusement que ma mère prend des somnifères - par contre t'as vu la voisine a guetté, j'ai vu la lumière mais elle a rien dit cette salope... - allez bonne nuit gros - ouais à demain, moi j'dors jusqu'à midi".

Ouf, Jordan n'avait donc pas révélé à mon fils qu'il m'avait croisée. Idée idiote, je me dis que je devais aller le remercier. De quoi, je ne sais pas, mais je voulais aller lui dire bonne nuit. A mon fils, c'était impossible sinon il se serait douté que je ne dormais pas pendant leur bain de minuit. Me voilà donc entrouvrant la porte de la chambre d'ami sans frapper...

Jordan était en train de ranger ses vêtements, toujours tout nu, dans une quasi obscurité. Je refermai derrière moi. Il m'entendit enfin et de nouveau cacha son sexe. Cette fois je plaisantai : "tu sais, ça fait longtemps que je l'ai vu..." Je voulais dire que je n'avais pas pu l'ignorer tout à l'heure dans le couloir..." Mais le garçon répondit naïvement : "Ah oui vous l'avez vu quand on était tombés dans la boue et que vous nous aviez mis dans le bain".

S'ensuivit un dialogue de plus en plus ambigu :
- Oui mais tu étais petit à l'époque...
- Oui, ce n'était pas choquant..
- Maintenant tu as changé : tu es devenu un homme...
- Je suis encore jeune vous savez ! Mais c'est vrai que ce soir on a fêté mes dix-huit ans, entre autres choses, donc vous avez raison, je suis un adulte !
- Je veux dire que tu es bâti comme un homme et même plus viril que mon ancien mari...
- Ah bon ? mais pourtant je n'ai même pas un poil sur la poitrine !
- tu sais, pour une femme, ce ne sont pas les poils qui comptent...

Disant cela, je ne pouvais m'empêcher de regarder sa main sur son pénis et comme s'il avait voulu se soumettre en montrant ce dont on parlait, il l'écarta et me regarda avec un petit sourire que je n'avais jamais vu. Il dut se rendre compte de mon étonnement car immédiatement il s'excusa : "Excusez-moi, ça ne se fait pas de se montrer tout nu devant une femme, surtout la mère de son meilleur ami. Vous me promettez que vous ne direz jamais rien à Kevin ?"

S'il avait su à quel point j'avais la même crainte que lui !Je le regardai dans les yeux en souriant pour lui dire : "promis, il ne saura jamais rien sur ce soir". Et il inclina la tête d'un air satisfait et reconnaissant, ce qui amena son regard au niveau de ma poitrine... Je fis semblant de m'en offusquer :
- Que regardes-tu ? ça ne se fait pas !
- Rien, je vous assure ! Je ne me permettrais pas !
- Tu mens ! Ton nez s'allonge !
Est-ce l'effet magique du verbe s'allonger ? Son pénis me donna raison : en quelques instants il devint raide et immense. Le pauvre Kevin faisait ce qu'il pouvait pour le cacher, vainement, ne parvenant qu'à le raidir davantage encore.

- Ne t'inquiète pas, je plaisantais. C'est la nature : tu es simplement une jeune homme en bonne santé. C'est normal d'avoir des érections à tout moment.
- Surtout devant une femme aussi sexy...

C'était la première fois qu'un garçon de son âge me disait que j'étais sexy. Peut-être naïvement, je n'avais jamais imaginé qu'un si jeune homme puisse avoir envie de moi... "N'essaie pas de me flatter", lui dis-je. Là il se mit en colère : "C'est vrai, pourquoi je mentirais ? Ah si je pouvais vous prouver à quel point vous êtes attirante..." Je fis alors allusion à son sexe, dont la raideur me le prouvait autant qu'il était possible de me le prouver ! Il répondit alors : "Non, mais je voulais dire... Euh... Vous le prouver vraiment quoi... mais je vous vois mal avoir envie d'un gamin comme moi"

Je ne sais ce qui se passa dans mon esprit et je lui répondis : "Jordan, je t'autorise à me donner toutes les preuves que tu veux et je t'interdis de supposer qu'une femme ne pourrait pas avoir envie de toi. Toute femme, surtout de mon âge, ne pourrait s'empêcher de te sauter dessus si elle ne supposait pas que tu n'en as sans doute pas envie et si elle n'avait pas une peur panique que ça se sache un jour."

- Vous voulez dire que...
- Oui, Jordan, prends-moi s'il-te-plaît.

Je n'aurais jamais cru cela possible. Le gamin timide que je croyais si bien connaître eut un regard d'une lubricité effrayante. Je crus voir les yeux d'un tigre affamé et j'eux subitement peur. Il me bascula sur sont lit, retroussa ma chemise de nuit avec violence, tira sur mon slip comme un fou au point d'en déchirer la fragile dentelle et d'un coup enfonça son pénis devenu énorme.

Je devais serrer les dents de toutes mes forces pour m'empêcher de crier. De douleur ? De plaisir ? Ce garçon excité comme un fou me donnait des coups de butoir qui auraient défoncé n'importe quelle porte. Dans ma jouissance, je me souvins que cette chambre d'amis avait été aménagée par mon mari pour qu'il puisse jouer de la batterie sans déranger personne, avec une insonorisation poussée. Tout à coup, mes cris se libérèrent et mon désir avec. Moi aussi je devins comme une bête fauve, écartai Jordan de moi pour laisser ma bouche attraper son pénis, que je mordillai tout en le suçant. Plusieurs jets de sperme éclaboussèrent alors ma bouche et mon visage quand il se retira précipitamment.. Il mit alors ses doigts dans mon vagin, me lécha partout et retrouva bien vite une érection que je n'aurais pas cru possible quelques minutes à peine après son éjaculation.

De nouveau il me pénétra de différentes façons pour me faire gémir le plus fort possible. Gémir, crier, pleurer : plus je réagissais, plus il s'excitait et redoublait de vigueur ou de férocité. C'était comme si un instinct sauvage de prédateur se libérait. Il voulait me ravager par son pénis géant.

Il m'avoua que j'étais sa première femme. Je lui avouai que jamais je n'avais éprouvé une telle jouissance.

Ce ne fut pas la dernière fois...


1 commentaire:

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    Quand j'étais enceinte de six mois de mon deuxième enfant, j'ai divorcé de mon mari. Depuis la conception de notre premier enfant, nous nous disputions et nous disputions sans arrêt, elle n'aimait plus aucun amour ni aucune confiance de sa part, alors il a divorcé de moi. Et pendant tout ce temps, j'ai essayé tous les différents moyens pour le récupérer, j'ai également essayé quelques roues magiques différentes dans mon pays de résidence, mais aucune d'entre elles n'a pu me ramener Tom. Seul le Dr Sunny a garanti un sort urgent de 48 heures et m'a assuré que mon mari serait de nouveau avec moi. Je vous écris pour vous remercier et vous remercier d'avoir tenu vos promesses et d'avoir utilisé votre grande et douée force pour le ramener à la maison. J'étais ravi de savoir que vous vous spécialisez dans la fusion des amoureux. Merci, monsieur, de m'avoir aidé dans les pires moments de ma vie que j'étais un si grand magicien de la magie et qu'il m'a donné la magie de l'amour qui m'a apporté tant de joie dans mon mariage. Mon mari est de retour et je promets de ne plus jamais me quitter. Si vous doutez de sa capacité, croyez-moi. Vous devriez avoir une chance. Cela rapporte d'une manière que vous ne pouvez même pas imaginer. Si vous êtes plus fort en ce moment et avez besoin d'un sort d'amour fort et urgent pour ramener votre aimable contact avec le Dr Sunny, c'est maintenant la seule réponse pour restaurer votre relation ou votre mariage rompu. drsunnydsolution1@gmail.com ou Whatsapp lui au +2348082943805. Merci.

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