vendredi 31 août 2012

Revirement : Le Fpi veut entrer au gouvernement




Il a souffert de sa politique de la chaise vide. Le Fpi, l’ancien parti au pouvoir se ravise. Non seulement il jette l’éponge mais il se dit disposé à travailler avec le régime, dans le gouvernement. Surprise ! Hier, lors de la conférence de presse animée par le numéro un dudit parti, il a tenu un discours conciliant à ce sujet.
Morceau choisi du propos de Sylvain Miaka Ouretto : «Si Ouattara pense qu’il y a des compétences en notre sein pour gérer les affaires qu’il nous approche, mais bien sûr, dans le cadre d’une discussion franche.» Mieux, il pense que la discussion est le meilleur moyen de formaliser leur engagement, à collaborer avec Alassane Ouattara. «Il faut qu’on s’asseye pour discuter et créer les conditions d’un dialogue inter-ivoirien véritable pour que notre pays la Côte d’Ivoire soit un pays émergent… Et c’est dans les échanges qu’on peut s’enrichir et que le pays peut avancer», a-t-il plaidé. Pour montrer sa bonne disposition à faire la paix, l’ancien député de Soubré annonce des rencontres avec les forces vives ivoiriennes, notamment la société civile, les religieux en vue de la création d’un environnement apaisé en Côte d’Ivoire. «Le dialogue est une chance pour la Côte d’Ivoire, pour notre pays», a-t-il indiqué.
TBO

jeudi 30 août 2012

Côte d’Ivoire : Charles Konan Banny demande au pouvoir de dialoguer avec l’opposition




Pour mettre fin aux tensions actuelles en Côté d’Ivoire, le président de la Commission réconciliation ivoirienne, Charles Konan Banny, estime que le président Alassane Ouattara doit renouer le dialogue avec l’opposition. « La nation ivoirienne est en danger », affirme l’ancien Premier ministre. Les pro-Gbagbo, « qui ont perdu le jeu démocratique », ainsi que « les autres partenaires sociopolitiques, doivent accepter aussi de venir à la table du dialogue en toute honnêteté, liberté et sincérité », plaide (...)

Déstabilisation / Implication de certains éléments FRCI dans les attaques : Les précisions du général Bakayoko





Face aux tentatives de déstabilisation qui se traduisent par des attaques perpétrées contre les positions des Forces Républicaines de Côte d’Ivoire (Armées et gendarmerie nationale), de même que celles de la Police nationale, le Général de Corps d’Armée SOUMAÏLA BAKAYOKO, Chef d’Etat-Major Général des FRCI a évoqué la complicité de certains éléments de l’Armée, de la Gendarmerie et de la Police nationale. Malheureusement, dans le but de discréditer les FRCI et pour mettre à mal la cohésion et la fraternité d’armes, certains journaux interprètent de façon tendancieuse les propos du CEMG lors de sa tournée de sensibilisation des troupes et pendant l’interview accordée à la Radio France Internationale (RFI), le vendredi 24 août 2012. Cependant, il est avéré que des militaires parfois déserteurs de nos rangs, policiers et gendarmes agissent avec la complicité de certaines personnes issues de nos populations. C’est pourquoi, le quotidien FRATERNITE MATIN N°14319 du 21 août 2012 à la page 4, sous la plume d’ELVIS, s’interroge sur le comportement des hommes en armes, à savoir : « l’armée, le ver est-il dans le fruit ? ». C’est le lieu d’affirmer qu’il existe malheureusement une complicité interne de certaines brebis galeuses, éléments de l’Armée, de la Gendarmerie nationale et de la Police nationale dans ces différentes attaques. Enfin, le CEMG rassure que les FRCI (militaires, gendarmes) ainsi que leurs frères d’armes de la Police nationale, s’inscrivent parfaitement dans la dynamique de la réconciliation nationale, restent unis, solidaires et mobilisés face à toutes les formes d’agression.

Fait à Abidjan,
le mercredi 29 août 2012.
Le Porte parole du CEMG/FRCI

Tina Spencer Tente un suicide (hier)...




Hier soir nous avons appris par une source proche que l'artiste chanteuse ivoirienne Tina Spencer ( Tina Glamour) à Tenter Un Suicide.
Les Dieu N'ont pas Voulu cela parce qu'elle à été sauver de justesse par l'un de ses danseurs.
Sous Prétexte que sa devenait de plus en plus dur qu'elle n'arrivait pas à subvenir a ses besoins et qu'elle
etait à la rue et qu'elle se sentait seule et abandonner de tous alors elle a voulu en finir avec sa vie... Vous aurez plus d'infos plu-tard mais c'est un SOS lancer
si vous pouvez AIDER la Star Faite Le SVP merci.

....DIXIT TINA SPENCER GLAMOUR

Qui ne connaît pas Tina Spencer, l'égérie du "sexicisme", selon ses propres termes, la créatrice de la sexymoulance, l'ex femme de Won Pierre, la mère de DJ ARAFAT?
Dans l'univers audio visuel ivoirien dominé par la crise, les marches, les condamnations, les ultimatums, les "raisons d'Etat",  Issa Sangaré Yeresso n'a pas vraiment eu une mauvaise idée, en invitant Tina Glamour à son émission "EN TOUTE FRANCHISE", ce Mercredi.
S'il est réputé pour ne pas mâcher ses mots dans cette émission et pour agresser pratiquement ses invités, il a trouvé à qui parler en rencontrant cette dame qui n'a pas sa langue dans sa poche....et qui dit ce qu'elle pense... parfois de manière  crue... Après sept ans d'absence, elle compte sortir très bientôt un nouvel album.
Morceaux choisis.......

mardi 28 août 2012

DRAME : Autoroute du nord : un commissaire retrouvé mort, égorgé




Après le lieutenant de police Koné Yacouba, c’est le commissaire Alain Amané qui a été enlevé et assassiné dans des conditions mystérieuses dignes d’un film policier. Et qui témoignent de l’insécurité totale dans laquelle est plongée la Côte d’Ivoire sous Alassane Ouattara. Avec des forces armées composites et dont certaines branches sont criminalisées.
Alerte. Des tueurs de flics sont dans la cité. Avec ces meurtres en série,  la Côte d’Ivoire plonge dangereusement dans une insécurité chronique et risque de sombrer dans le chaos si l’on n’y prend garde. Alors que les attaques contre les positions des FRCI restent encore un mystère, le régime Ouattara se refusant d’ouvrir de sérieuses enquêtes, un autre phénomène – plus pernicieux –  prend forme. Il s’agit du rapt suivi de l’assassinat d’officiers de police qui tend à se généraliser. En l’espace d’une semaine, la police enregistre une deuxième victime dans ses rangs. Après le sous-lieutenant de police Koné Yacouba, tué de plusieurs balles la semaine dernière, après avoir été enlevé par «un commando inconnu», c’est le commissaire du 29ème arrondissement de police sis au quartier Biafrais, à Treichville, qui a trouvé la mort hier dans des conditions tout aussi mystérieuses.
Selon les informations, c’est hier en cours de journée que la rumeur de l’enlèvement du commissaire Alain Amané a envahi les réseaux de la police nationale. La nouvelle est prise aux sérieux. Des recherches entreprises avec célérité permettront de retrouver, hélas, son corps sans vie, sur l’autoroute du nord, précisément dans les environs de la localité d’Elibou, poste kilométrique 75, dans la circonscription administrative  de Sikensi. Des sources indiquent que l’officier de police a été égorgé et qu’il avait déjà perdu la vie quand ses ravisseurs se séparaient de lui sur l’autoroute du nord.
Sa dépouille a été transportée, selon nos informateurs, à l’Hôpital Militaire d’Abidjan (HMA). Une autopsie permettra d’en savoir un peu plus sur les circonstances exactes de ce meurtre crapuleux en série. L’indignation est grande au sein de la police nationale où les différents corps prennent le pari de ne pas laisser impunis les meurtres en série au sein de la corporation. En l’espace d’une semaine, ce sont ainsi deux officiers de police qui ont perdu la vie, après avoir été enlevés par des hommes en tenues militaires et circulant à bord de véhicules 4X4. En poste au commissariat  du 33ème arrondissement de police, à Port-Bouët Gonzagueville, le sous-lieutenant Koné Yacouba avait été enlevé par des inconnus lourdement armés  qui l’avaient conduit à une destination inconnue avant de l’exécuter de plusieurs balles. En dépit de l’intervention de deux commissaires de police qui avaient réussi à entrer en contact avec les ravisseurs. Les regards s’étaient alors tournés vers les Frci basées au centre pilote de Port-Bouët. Ce qui laisse penser à des tueurs en série ou à des règlements de compte dont les auteurs sont tapis au sein de l’armée.
Emmanuel Akani
Nouveau Courrier 

Côte d'Ivoire: le numéro 2 du parti de Gbagbo poursuivi pour trouble à l'ordre public




Laurent Akoun, secrétaire général du Front populaire ivoirien (FPI), parti de l'ex-président Laurent Gbagbo, va être jugé vendredi pour trouble à l'ordre public après avoir été arrêté le week-end dernier, a-t-on appris mardi auprès de son avocat.

Laurent Akoun, secrétaire général du Front populaire ivoirien (FPI), parti de l'ex-président Laurent Gbagbo, va être jugé vendredi pour trouble à l'ordre public après avoir été arrêté le week-end dernier, a-t-on appris mardi auprès de son avocat.
M. Akoun "a été placé sous mandat de dépôt et doit être jugé pour trouble à l'ordre public, selon la procédure des flagrants délits, le vendredi 31 août", a déclaré à l'AFP Me Toussaint Zahui Dako.
Il a expliqué que ce responsable du FPI est poursuivi pour des déclarations faites la semaine dernière lors d'une conférence de presse.
M. Akoun avait accusé le pouvoir du président Alassane Ouattara d'imposer un "modèle totalitaire" et d'avoir commandité des attaques d'hommes en armes contre le siège du FPI et un groupe de presse pro-Gbagbo.
Son avocat s'est étonné que les propos tenus alors puissent être jugés "de nature à troubler l'ordre public".
Laurent Akoun a été interpellé dimanche à Adzopé (à une centaine de km au nord d'Abidjan).
Au sein du pouvoir, certains le soupçonnaient ces derniers jours d'implication dans la vague d'attaques meurtrières qui ont visé depuis début août les Forces républicaines (FRCI), l'armée ivoirienne, mais cette accusation n'a pas été retenue par la justice.
Avant lui, le secrétaire général adjoint du FPI, l'ex-ministre Alphonse Douati, a été arrêté le 18 août puis inculpé et incarcéré pour "atteinte à la sûreté de l'Etat" en lien, selon Me Dako, avec ces attaques.
Visé par un mandat d'arrêt international émis par Abidjan pour "crimes économiques" et lui aussi suspecté par le pouvoir ivoirien d'être lié aux attaques, le porte-parole en exil de M. Gbagbo, Justin Koné Katinan, a été arrêté vendredi au Ghana.
La Côte d'Ivoire connaît actuellement son plus sérieux regain de tension depuis la crise postélectorale de décembre 2010-avril 2011 qui a fait quelque 3.000 morts.

Insolite : ...'Angelina Jolie viole un chauffeur de taxi





On a tous déjà entendu dire qu'un homme, ça ne se viole pas, et pourtant… Un chauffeur de taxi roumain a accusé une jeune femme ressemblant à Angelina Jolie de l'avoir menacé, violé et poignardé parce qu'il refusait de la satisfaire pour la troisième fois.
Nicolae Stan a raconté à la police comment Luminita Perijoc, âgée de 30 ans, l'avait déjà forcé en pointant un couteau contre lui à lui faire l'amour puis un cunnilingus. Il a expliqué que la jeune femme lui avait demandé de l'aider à rentrer ses sacs dans son appartement mais qu'une fois sur place, elle avait exigé des relations sexuelles.
Quand il a refusé, elle a alors sorti un couteau et l'a forcé à se déshabiller. Selon la police, le comportement de Luminita Perijoc pourrait être explicable par un traitement médical qu'elle subissait à ce moment. Nicolae Stan affirme être devenu depuis un sujet de raillerie parmi ses amis et collègues qui se moquent de lui pour avoir refusé de faire l'amour avec une femme étant quasiment le sosie d'Angelina Jolie.
"C'est terrible. Maintenant je suis une célébrité locale, tout le monde parle de moi. Ils ne comprennent pas pourquoi je me suis refusé à elle, mais ils ne savent pas ce que c'est d'être face à une femme tarée qui vous crie dessus en pointant un couteau vers vous. Ils la regardent, me regardent et rigolent. Mais je pense que n'importe qui trouverait impossible de faire l'amour avec un couteau sur la gorge, même si c'était avec Miss Roumanie", a expliqué Nicolae Stan au "Daily Mail".
"Elle m'a demandé de l'aider avec ses sacs mais une fois qu'on est arrivés en haut elle m'a entraîné dans la cuisine et m'a dit qu'elle devait faire l'amour avec moi", a continué ce père marié de trois enfants. "Je pense qu'elle n'a pas l'habitude qu'on lui dise non car elle s'est mise dans une rage folle quand j'ai décliné. Elle a pris un couteau et m'a forcé à me déshabiller et à coucher avec elle. Mais elle n'était pas satisfaite et elle voulait plus de sexe.
"Quand j'ai refusé elle m'a attaqué avec un couteau et m'a forcé à lui faire un cunnilingus mais elle m'a quand même poignardé", a-t-il ajouté. Des amis ont avoué aux médias locaux que Luminita Perojic est une énorme fan d'Angelina Jolie et qu'elle fait tout pour ressembler à la star de "Tomb Raider".
Nicolae Stan a expliqué qu'il avait seulement pu s'échapper quand il a réussi à se barricader dans la chambre pour appeler les secours. La police affirme que lorsqu'il a été admis à l'hôpital il avait reçu plus d'une demi-douzaine de coups de couteau.
 

SCANDALE DE PHOTOS NUES : Prince Harry se déconnecte de Facebook






d’une semaine après le scandale de photos nues du prince Harry, qui a créé tout un tourbillon à travers le Web, le jeune homme de 27 ans de la famille royale a fermé sa page Facebook qu’il gardait sous un nom anonyme, rapporte Us Weekly.
Une source a confié : «En raison de tout le drame entourant Vegas, il a gelé son compte. Plus de Facebook pour Harry pour un moment. Il reviendra probablement en ligne dans le futur, mais pour le moment, on lui a conseillé de rester hors ligne. Il est mieux pour lui de se faire discret en ce moment».
Le prince devra tout de même sortir publiquement aujourd’hui, alors qu’il doit se rapporter à la base Royal Air Force Wattisham.

Le jeune pilote d’hélicoptère devra s’expliquer auprès du lieutenant-colonel Thomas de La Rue et du général Sir Peter Wall, qui décideront de la manière dont Harry devra être réprimandé pour ce scandale.
Une source militaire a confié : «C’est plutôt sérieux. Le Général Wall est un homme à qui il est difficile de s’excuser. Il ne laissera pas Harry s’en tirer avec une petite punition».

L’UE préoccupée par la situation sécuritaire en Côte d’Ivoire





(Xinhua) — Le chef de la délégation de l’Union européenne (UE), Thierry de Saint Maurice, s’est entretenu lundi à Abidjan avec le Premier ministre ivoirien, Jeannot Kouadio- Ahoussou sur la situation sécuritaire dans le pays marquée par un regain de tension après la vague d’attaques meurtrières contre l’armée ivoirienne et les arrestations qui ont suivi.
“Je voulais faire un point avec le Premier ministre (Jeannot Kouadio-Ahoussou) sur l’actualité de ces dernières semaines en Côte d’Ivoire, échanger sur un certain nombre d’événements d’incidences sécuritaires qui sont autant de sujets de préoccupation pour le gouvernement et pour l’Union européenne”, a déclaré à la presse Thierry de Saint Maurice à l’issue de la rencontre.
Il a indiqué avoir partagé les “préoccupations” du gouvernement et exprimé le “souci” de l’UE.
L’UE insiste sur la nécessité de “rester vigilant pour que les efforts aussi nécessaires que difficiles en matière de réconciliation, de réforme de la sécurité, de justice impartiale soient poursuivis”, a ajouté Thierry de Saint Maurice non sans rassurer sur la disponibilité de l’UE à aider le gouvernement à faire aboutir ces processus.
L’UE finance un projet de soutien à la réconciliation entre les forces de police et la population dans plusieurs communes d’Abidjan, à hauteur de deux millions d’euros.
“Nous allons certainement poursuivre et étendre ce programme dans les mois qui viennent et le long de l’année prochaine”, a-t- il assuré.
Le chef de la délégation de l’UE à Abidjan a également annoncé la disponibilité de son institution à soutenir le processus de démobilisation, de désarmement et de réinsertion des ex combattants ivoiriens.
Des groupes armés non identifiés ont mené depuis début août des attaques contre des postes de contrôle et des camps militaires à Abidjan et dans des localités du pays.
Ces attaques qui ont fait au moins 10 morts au sein de l’armée ivoirienne sont attribuées par le gouvernement aux partisans de l’ex-président Laurent Gbagbo. Plusieurs hauts responsables et des militants du Front populaire ivoirien (FPI, de M. Gbagbo) ont été arrêtés depuis la vague d’attaques, rendant encore plus tendu la situation dans le pays, un an après la crise post-électorale.

dimanche 26 août 2012

Amélioration du cadre sanitaire : Le couple présidentiel épaule Prikro





L’honorable Deby Yao Benjamin s’est rendu récemment à Prikro pour remettre aux populations des médicaments d’une valeur de 20 millions de FCFA de la part du couple présidentiel

C’est avec un « ouf » de soulagement que les populations de Prikro ont accueilli cet important don de médicaments d’une valeur de 20 millions offert par le couple présidentiel. L'Honorable Deby Yao Benjamin qui transportait le colis, a signifié que ce geste d’amour vise à soulager les populations en améliorant leur cadre sanitaire. Ce geste symbolique vient une fois de plus prouver la sollicitude du couple présidentiel à l'endroit des populations. « Dites-leur merci pour leur sollicitude », s’est exclamée la population. Sans toutefois oublier de soumettre à celui qu’elles ont baptisé leur « porte-parole »leur volonté de voir certaines réalisations dans leur localité. A savoir le bitumage de l’axe Ouéllé-Prikro, 1’électrification des villages, le renforcement de la gendarmerie en personnel et la réparation des pompes hydrauliques. A son tour, l’infirmier major Konan Emile a souhaité que le centre de santé soit érigé en hôpital général. Avant d’égrener un chapelet de difficultés au niveau des services d’imagerie, du laboratoire et du bloc opératoire. Selon lui, les malades, en cas d’intervention chirurgicale et d’analyse sont très souvent renvoyés vers l’hôpital général de Daoukro. Il a également déploré l’absence d’un directeur à l’hôpital de Prikro depuis février, période à laquelle l’ancien a été muté.

L’affaire Koné Katinan, un enlèvement illégal ? le récit de ce qui s'est réellement passé...







Koné Katinan Justin, porte-parole du Président Laurent Gbagbo, accompagné de l’avocate Lucie Bourthimieux, a séjourné en Afrique du sud du 19 au 24 août 2012, muni d’un visa régulier. Il y a eu des contacts très fructueux dans le cadre de la mission que lui a confié Laurent Gbagbo. A l’issue de son voyage il est arrivé à l’aéroport International d’Accra Kotoka par un vol régulier de la compagnie  aérienne South African Arways.  C’est à sa sortie de l’aéroport, après toutes les formalités usuelles et dans l’attente de son chauffeur que Koné Katinan a été interpellé par des policiers dont découvrira par la suite qu’ils sont de Interpol Ghana. Ces derniers, notoirement dans un deal avec le pouvoir Ouattara, à l’insu des autorités ghanéennes, ont voulu remettre Katinan dans l’avion pour le livrer à Abidjan comme ce fut le cas du Commandant  Anselme Séka Yapo depuis l’aéroport de Lomé. 
L’avocate Lucie Bourthoumieux s’y est opposée de manière très ferme et a clairement indiqué  aux que la destination finale de son client était Accra et non Abidjan . C’est sur ces discussions que l’affaire atterrit à la police de l’immigration de l’aéroport et ensuite au BNI (Bureau National d’investigation )…DST Ghanéenne. Là- bas ,tout le monde est surpris par ce qui apparait visiblement comme un enlèvement organisé par le pouvoir ivoirien avec la complicité  manifeste de certains policiers du Ghana. On parle même d’une affaire de gros sous. 
L’on comprend pourquoi c’est précisément d’Abidjan qu’on apprendra en «exclusivité» l’arrestation de Katinan et son extradition  imminente sur Abidjan comme le signale Le Patriote, journal porte-voix  du pouvoir dans son édition du Samedi 25 août 2012. On a même signalé une grande effervescence faite de joie, d’affrètement d’avion spécial et de l’avènement du doyen des juges d’instruction du Tribunal d’Abidjan pour finaliser à Accra, les formalités judiciaires pour l’extradition illico presto de Koné Katinan, présenté comme un « activiste pro Gbagbo pour qui sonnait la fin de cavale ». Cette fausse information relevant purement de l’intoxication gouvernementale a malheureusement été reprise par les médias internationaux AFP , BBC , RFI et autres. Aucun avion, aucun juge n’a été aperçu dans la capitale ghanéenne. Le Ghana qui est un pays respectueux du droit et  particulièrement jaloux de son indépendance et de sa souveraineté ne s’est jamais senti ni concerné ni influencé par les agitations du pouvoir Ouattara.
Après le week-end, Koné Katinan sera surement libre de ses mouvements bénéficiant de la protection constitutionnelle de l’Etat ghanéen en sa qualité de réfugié politique. En effet la Constitution ghanéenne, renforcée par des lois pertinentes, interdit formellement  et de manière explicite l’extradition d’un réfugié surtout pour des motifs politiques.
Après le coup foireux de Katinan présenté en son temps par Ouattara himself comme étant au centre d’une négociation avec le président camerounais Paul BIYA en vue d’une extradition, voici  de nouveau une rocambolesque affaire d’enlèvement crapuleux qui échoue  une fois de plus de la manière la plus lamentable.

Adja Diallo l'ex-amante de Drobga révèle: '' Adebayor est nul au lit ''





Pauvre Adé ! Il est une véritable Star sur les terrains de football mais...
Il est indiscutablement,  le joueur Togolais le plus adulé et le plus célèbre  au monde. Il était  Star à Monaco, à  Arsenal, Manchester City et maintenant à Totthenam . Au Togo, il est comparé   à un dieu du ballon rond. Son humanisme a atteint des sommets astronomiques, ce qui fait   qu'on  oublie souvent  ses petites lacunes. S'il en a vraiment. D'autant plus qu'il les compense par sa grandeur d'âme  à travers les actes de générosité qu'il pose. Mais, le bonheur, si Adébayor l'a toujours donné gratuitement aux Togolais et même aux Africains par ses actes de générosité, ses tirs croisés, ses buts qui ne se comptent plus, n'est pas apprécié par tout le monde.
La preuve,  le joueur a été sérieusement brocardé par l'ex- mannequin Sénégalais Adja Diallo qui a eu plusieurs relations amoureuses avec les Stars africaines  du ballon rond dont Didier Drogba. Elle a révélé récemment à la face du Monde, que Adébayor, avec qui elle a eu une  aventure amoureuse, a de sérieux problèmes au lit. Et pour cause, il n’assure pas. Caresses des seins, des fesses, des cuisses, des pieds, exercice de jambes en l’air, coït, tout mis ensemble, ne dépasserait pas 10 mns. Adja Diallo qui a eu des liaisons très "serrées", selon le site Togo.com, avec la Star dit être très déçue d'Adé…Dans le magazine sénégalais  ''En Vogue'' , elle tire sur le joueur, le mettant ainsi dans une situation ''drap'': ‘’Adebayor n’est pas bon au lit, il n'est pas du tout performant.  Il n’a pu me satisfaire...’’ Il y a de quoi rester sans voix.

Le mannequin Adja Diallo s’est mise nue. Les photos circulent chez les footballeurs ivoiriens !


Le mannequin Adja Diallo est devenue depuis quelques jours la risée des footballeurs ivoiriens. En effet, la sénégalaise s'est photographiée nue et a envoyé les images à Gervinho, le talentueux footballeur ivoirien selon facedakar.

En réalité indique le site , Adja Diallo vise aussi Gervinho tout comme elle a des visées sur Kolo Touré. Les photos nues de Adja Diallo sont devenues la principale attraction au sein des footballeurs ivoiriens qui se sont beaucoup branlées avec...
Bientot les images restez avec le Malo



Grand Lahou: tirs à un poste de contrôle de l`armée, quatre morts





Un militaire ivoirien, deux inconnus armés et un civil ont été tués près de Grand-Lahou (140 km à l`ouest d`Abidjan, sud), après que les assaillants ont tiré sur un poste de contrôle de l`armée, a déclaré à l`AFP le ministre de la Défense Paul Koffi Koffi.


"Il y a eu une course-poursuite par nos hommes d`un véhicule ayant à son bord des individus non-identifiés. Arrivés au poste de contrôle d`Irobo (près de Grand-Lahou, ndlr), ces individus ont tiré sur un élément des Forces républicaines (FRCI, armée)", qui a succombé, a indiqué M. Koffi.

"Nos hommes ont riposté, deux assaillants sont morts et deux ont réussi à prendre la fuite, et leur véhicule a été saisi. Un civil a pris une balle perdue et a perdu la vie", a-t-il poursuivi.

Le ministre a affirmé qu`il ne s`agissait pas d`une "attaque" préparée sur le modèle de celles qui ont été menées par des inconnus contre des positions
de l`armée depuis début août, tuant dix FRCI.

Il a estimé que les hommes pris en chasse samedi devaient faire partie des inconnus "planqués" après le ratissage de la région conduit à la suite de l`attaque perpétrée mi-août dans la ville proche de Dabou.

La télévision publique RTI a rapporté samedi soir qu`une opération de ratissage était en cours dans la zone d`Irobo.

Auparavant, une source militaire avait évoqué une "attaque" à Irobo et fait état d`un bilan total de six morts.

"Un poste de contrôle des Forces républicaines a été attaqué en fin de matinée à Irobo par des hommes à bord d`au moins un pick-up. Un FRCI a été tué, un autre a été blessé et transféré à Abidjan. Cinq assaillants ont été tués et un véhicule saisi", avait déclaré à l`AFP cette source.

Une source locale a de son côté parlé de quatre assaillants tués.

La nouvelle de ces violences a rapidement atteint Grand-Lahou, ville située à une trentaine de kilomètres à l`ouest de la localité d`Irobo.

"On a demandé à tout le monde de rentrer. Nous sommes terrés dans nos maisons, la peur au ventre", a raconté un habitant de Grand-Lahou.

La Côte d`Ivoire connaît depuis début août un accès de tension à la suite des attaques contre l`armée. Le pouvoir a accusé des miliciens et militaires fidèles à Laurent Gbagbo, qui bénéficieraient du soutien d`exilés au Ghana, ce que le parti de l`ancien président, le Front populaire ivoirien (FPI), a récusé.

Sur le terrain politico-diplomatique, Justin Koné Katinan, porte-parole en exil de M. Gbagbo visé par un mandat d`arrêt international émis par Abidjan, a été arrêté vendredi à Accra et restait samedi dans l`attente d`une décision ghanéenne sur sa libération ou son extradition

samedi 25 août 2012

Scandale USA : Des clichés de la Mère d’Obama nue sur le net ?




Un tweet posté hier par le compte officiel du collectif Anonymous pose question. Accompagné de ces mots: “Cher Monsieur Barack Obama, voici une photo de votre maman”, une photo d’une femme entièrement nue. Selon plusieurs sources, il s’agirait d’un cliché de la mère du président Barack Obama, entièrement dévêtue, pris dans les années 1950. Cette photo avait déjà fait surface en 2008 mais n’a jamais vraiment pu être authentifiée. Et comme par hasard, 4 ans plus tard, 3 mois avant les élections présidentielles elle refait surface. Comment cette photo s’est-elle initialement retrouvée sur le net relève du mystère. Pourquoi a t-elle été prise? Et surtout, est-ce bien Ann Dunham, la maman du président des Etats-Unis? Même si ces questions restent sans réponse, elles alimentent les conversations et pimentent les critiques émises par les rivaux du président-candidat. Surtout qu’aux Etats-Unis la nudité reste un sujet très tabou, là où le topless est interdit sur les plages et où allaiter son enfant dans un endroit public est  ” so shocking”.

URGENT/GHANA: interpellé hier Koné Katinan ne sera pas extradé sur Abidjan selon...





Koné Katinan Justin, porte-parole du Président Laurent Gbagbo, a été interpellé hier à l’aéroport international d’Accra Kotoka par la police ghanéenne vers 19h locales, alors

qu’il revenait d’un voyage en Afrique du Sud. Il avait répondu à l’invitation d’une haute personnalité sud africaine.
Selon nos sources, il s’agissait de vérifications d’usage par la police de l’air et des frontières ghanéennes quand il s’agit de hautes personnalités, et non d’une arrestation en vue d’une extradition sur Abidjan, comme affirmé par le pouvoir Ouattara à grand renfort de publicité dans les médias d’Etat.
Mais il n’est pas exclu que certains policiers ghanéens, par zèle ou par cupidité, aient voulu envenimer la situation, eu égard à la personnalité du concerné.
Le ministre Katinan voyageait avec son avocate, Me Lucie Bourthoumieux, comme il l’a toujours fait.
Il n’avait donc rien à se reprocher, raison pour laquelle il ne sera pas extradé sur la Côte d’Ivoire.
Le parlement ghanéen, sous la présidence de feu John Atta Mills, a voté en 2011, une loi garantissant le droit d’asile aux exilés ivoiriens.
Le ministre Katinan est en ce moment sous la protection de la DST ghanéenne et pourrait regagner son domicile dans les heures qui viennent.
Si par extraordinaire, il était extradé, ce serait par pur abus, comme ça arrive malheureusement souvent sous les tropiques.
Nous y reviendrons.

Insolite - Il m'a trompé avec sa cousine de 15ans




bientôt trois ans en couple , je découvre en février dernier, qu'il m'a trompé en aout 2010 une fois avec sa cousine de 15 ans. pour elle c'était sa première fois. mon ami a 27 ans . la peste ça fait depuis l'age de 10ans qu'elle en est amoureuse,, grande déclaration qui nous faisait bien rire lui et moi , monsieur était son confident. la miss en a profiter. il se trouve qu'en aout dernier j'ai eu des problèmes de santé qui ne m'ont pas permis d'être à 100% a l'écoute de mon compagnon qui traversait une période professionnel difficile. monsieur n'a rien dit a tout gardé pour lui. sa cousine il ne la voyait pas plus que ça , ils discutait beaucoup sur facebook. un jour qu'elle semblait plus mal que d'habitude avec ses état d’âme d'adolescente,et ses menaces de suicides et que ses parents n'était pas la elle l'a invité a venir se baigner dans leur piscine entre midi et deux ( seul moment dans la journée ou lui et moi ne sommes pas ensemble en dehors du travail) . selon ce qui m'a raconté, elle aurait profiter d'un moment ou se plaignait un peu trop de ses problème dans l'eau, il lui aurait mis ses deux mains que les épaules face a face et c'est la qu'elle se serait précipité pour l'embrasser et mettre ses jambes autour de lui. il m'a dit qu'ils ont échangé deux trois bisous et qu'ils sont sortis de l'eau pour aller dans sa chambre a elle ou ils ont couché ensemble. il me dit que l'acte n'a pas durer très longtemps , en gros elle l'a sucé , il lui a fait un cuni est rentré en elle comme elle ne bougeait pas il s'est dépêche de jouir et fini.
après l'acte monsieur était super mal vis a vis de moi, il s'est cassé de chez elle sans un au-revoir, sur internet il lui as dit que c'était mal ce qu'ils avait fait qu'il regrettait que c'était moi qu'il aimait pas elle. l'autre lui as dit qu'elle comprenait mais qu'elle aurait voulu essayer d'autres positions et lui proposait de remettre ça le lendemain entre midi et deux . mon homme a enfin eu une lumière d'esprit en disant non.

Adjamé: Un élève arrêté avec des armes de guerre




Le ciel est brumeux pour le jeune Ouattara Siaka, qui dit être élève en classe de Terminale dans un établissement scolaire de la ville d’Anyama. Il a été saisi sur lui du matériel très loin d’être didactique. Des choses qui ne sauraient être confondues à des stylos, livres et autres cahiers dont aurait normalement besoin un élève. Ce sont des armes de guerre.

En effet, à en croire les informations dont nous disposons, le vendredi 10 août 2012, aux alentours de midi, des éléments du District 4 de la police, à Adjamé, effectuent des contrôles de routine dans leur zone de compétence. C’est dans cette entreprise qu’ils découvrent, sur l’élève Ouattara Siaka, deux redoutables armes à feu. Ce sont un Pistolet-mitrailleur ( PM) de type Gevarm D4 et une autre arme de marque Mat modèle 1949. Le jeune homme est tout de suite neutralisé et conduit dans les locaux du commissariat de police du 7ème arrondissement, à Adjamé 220 logements.

Interrogé par les forces de l’ordre sur ce qu’il fait avec ces armes à feu, l’élève répond qu'elles ne sont guère sa propriété. A l’en croire, elles appartiennent plutôt à un caporal des Frci, détaché à M’pouto. Selon ses explications, c’est ce militaire qui lui a confié ses armes afin de les faire réparer par un forgeron à Abobo PK 18. Et de préciser que ce forgeron était celui-là même qui remettait en état ses propres armes à feu à lui, lorsqu’il était élément volontaire des Frci, pendant la crise post-électorale.
Pour conclure, Ouattara Siaka note qu’il a déposé, depuis longtemps, les armes et ne se consacre maintenant qu’à ses études. N’empêche, une enquête est immédiatement ouverte. C’est cette enquête qui dira s’il est hors de cause comme il le prétend. Dans le cas contraire, il assumera les conséquences pénales dans cette affaire de détention illégale d’armes à feu.



Madeleine TANOU

Samsung devra payer plus d'un milliard à Apple





Dans le procès retentissant opposant Apple à Samsung en Californie, la marque à la pomme a remporté une bataille. Samsung compte toutefois déposer un recours. Et la guerre judiciaire se poursuit ailleurs dans le monde.
De tous les procès qui opposent, à travers le monde, Apple à Samsung sur le terrain miné des brevets, celui qui se déroulait en Californie était le plus emblématique. Il aura fallu trois semaines d'audiences, durant lesquelles des dizaines de témoignages d'experts et des centaines de pages ont été apportés au dossier, puis trois jours de délibération, avant que les jurés annoncent leur décision. Ils ont finalement donné en bonne partie raison au groupe à la pomme, qui accusait son concurrent sud-coréen d'avoir copié son téléphone iPhone et sa tablette iPad. Samsung a été condamné à lui payer 1,05 milliard de dollars. Le groupe sud-coréen a parallèlement vu rejetées ses propres accusations envers son concurrent. Samsung estimait en effet qu'Apple avait aussi violé plusieurs de ses brevets, en particulier dans les technologies faisant appel au wifi, mais les jurés ne l'ont pas suivi.

Le procès, le plus grand de ce type depuis des années aux Etats-Unis, était particulièrement suivi vu ses conséquences potentielles pour le marché en pleine ébullition des tablettes informatiques et des smartphones. Mais Samsung a immédiatement prévenu que ce n'était "pas le mot de la fin", ni dans cette affaire, ni dans les batailles menées devant d'autres tribunaux à travers le monde et a annoncé qu'il allait déposer une requête pour obtenir le renversement de la décision du tribunal. "Et si nous n'obtenons pas gain de cause, nous ferons appel de cette décision", a indiqué le groupe dans un communiqué.

Un marché surchauffé
Reste que le coup est rude pour Samsung, car au-delà du montant monstrueux des dommages-intérêts imposés au groupe sud-coréen, c'est toute la question de l'utilisation des technologies controversées par les deux groupes qui est en jeu. "Les consommateurs sont les perdants" de ce procès, a d'ailleurs déploré Samsung, selon qui le jugement de vendredi "va conduire à moins de choix, moins d'innovation, et potentiellement des prix plus élevés". Et le groupe de regretter "que la législation sur les brevets soit manipulée pour donner à un groupe un monopole sur les rectangles avec des coins arrondis"...

Jusqu'ici aucun des deux groupes n'avait pu vraiment réclamer la victoire. Plus tôt vendredi, ils avaient encore été renvoyés dos à dos par un tribunal sud-coréen qui les avaient jugés tous les deux coupables. Les sanctions avaient toutefois été symboliques, avec des compensations financières modiques, de quelques dizaines de milliers de dollars, et une interdiction de vente pour des produits depuis longtemps sur le marché. Cette fois-ci, "c'est une victoire énorme, écrasante pour Apple", estime Brian Love, professeur à l'université de Santa Clara. "Tous ses brevets ont été jugés valides, et tous sauf un violés par la plupart des produits de Samsung." Raison supplémentaire de satisfaction pour le groupe américain : les jurés de la Silicon Valley ont estimé que Samsung avait "volontairement" violé la plupart de ses brevets, "ce qui signifie que la juge (Lucy) Koh a maintenant toute discrétion de tripler les indemnités accordées", explique-t-il.

Pour Jeff Kagan, un analyste spécialisé dans les technologies, "la question suivante est de savoir si Samsung sera capable de continuer à utiliser les technologies" incriminées "ou s'il devra retirer ses appareils du marché". "Dans ce type d'affaires dans le passé, généralement le perdant peut continuer à vendre ses appareils, mais doit payer des royalties au gagnant", a-t-il souligné. Mais dans un marché surchauffé comme l'est actuellement celui des tablettes et des téléphones, Samsung a beaucoup à perdre, même d'un simple délai dans la commercialisation de ses produits. Apple est jusqu'ici incontournable pour les tablettes, où il a été le premier à se lancer, avec une part de marché de près de 70%. Sur 25 millions de tablettes vendues au deuxième trimestre, 17 millions étaient des iPad, selon des données du cabinet IDC. Samsung est son premier concurrent, mais loin derrière avec seulement 2,4 millions d'unités. Les positions sont inversées sur le marché des téléphones, où Samsung est clairement numéro un. Le groupe sud-coréen a ainsi écoulé 50,2 millions de téléphones au deuxième trimestre, près de deux fois plus que les 26 millions d'iPhone vendus sur la même période, toujours selon IDC.

Dimbokro tentative d’évasion, Les gendarmes abattent quatre prisonniers




UNE DIZAINE de prisonniers qui regagnaient la prison de Dimbokro après avoir comparu devant le juge de section de Toumodi, ont tenté de distraire les gendarmes commis à leur surveillance pour s’évader. Manque de pôts pour ces durs de la pègre, 4 ont été mis hors d’état de nuire pour toujours et la cavale s’est avérée sans issue pour les cinq autres. La scène s’est déroulée à 18 km de Dimbokro, à l’entrée de la bourgade de Loukou- Yaokro. C’est l’information rapportée par l’AIP (Agence Ivoirienne de presse) hier vendredi 24 Août 2012. Selon le régisseur de la maison d’arrêt qui a relaté la scène, tout est parti d’une tentative de désarmement d’un des gendarmes du convoi par le prisonnier, Djibret Hosseko Privat, militaire en servi- ce au 1er BCP d’Akouédo, classe 2002-1-A. A l’en croire, c’est lui le cerveau de cette tentative d’évasion qui a failli coûté la vie à un des gendarmes au cours des échanges de tirs. «La prison de Toumodi n’étant pas fonctionnelle, nous recevons les détenus de Yamoussoukro et de Toumodi ici à la maison d’arrêt et de correction de Dimbokro. C’est ainsi que hier (jeudi, ndlr), 12 prisonniers ont été convoyés à Toumodi pour être jugés. Après le procès, deux d’entre eux ont été gardés à vue à la brigade de Toumodi. Les dix autres, à mi-chemin entre Dimbokro et Toumodi, ont désarmé l’un des trois gendarmes. Il s’en est suivi des échanges de tirs entre les prisonniers et les gendarmes. Le bilan est de quatre morts parmi les prisonniers et un gendarme blessé», a indiqué le régisseur. Sur la dizaine de prisonniers regagnant Dimbokro, un seul a pu se fondre dans la nature quand les cinq autres ont été conduits dans leur cellule. Quant à Djibret Hissoko, il a été mortellement atteint par balle et trois de ces amis ont rendu l’âme sous les balles. Alors que la battue continue pour retrouver le seul évadé, le régisseur de la maison d’arrêt et de correction de Dimbokro a rassuré les populations en indiquant que les cinq autres prisonniers croupissent en ce moment dans les geôles de Dimbokro. Les transferts de prisonniers sont quelques fois trop précaires à cause de l’utilisation des véhicules de transport en commun ayant quelques fois des passagers à bord.
L’Intelligent d’Abidjan
Par KH

URGENT - Côte d'Ivoire: Koné Katinan le porte-parole de Gbagbo arrêté au Ghana




ABIDJAN - Justin Koné Katinan, porte-parole en exil de l'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, visé par un mandat d'arrêt international émis par Abidjan, a été arrêté au Ghana, a-t-on appris samedi auprès de sa famille.

Il a été arrêté hier (vendredi) à Accra par la police ghanéenne en provenance de Johannesburg, a déclaré à l'AFP un membre de sa famille joint depuis Abidjan par téléphone dans la capitale ghanéenne. M. Katinan a été ministre du Budget de M. Gbagbo durant la crise postélectorale (décembre 2010-avril 2011) qui a fait quelque 3.000 morts et s'est conclue par la chute de son mentor après deux semaines de guerre. Il était en exil depuis lors.

vendredi 24 août 2012

Cote d'Ivoire: redémarrage du processus de démobilisation




En Côte d'Ivoire, l'identification des ex-combattants et démobilisés a commencé ce jeudi 23 août à Bouake. Alassane Ouattara a dissout récemment toutes les agences auparavant chargées de leur recensement et de leur réinsertion pour créer une autorité unique pour le désarmement, la démobilisation et la réintégration.
Le processus était au point mort depuis de longs mois, et les chiffres de ces combattants étaient contestés par les bailleurs de fonds. Cette nouvelle campagne constitue un espoir pour certains qui sont toujours sur le terrain mais n'ont pas encore été intégrés dans l'armée. RFI a recueilli le témoignage de l'un d'eux, qui a préféré garder l'anonymat.
Nous l'appellerons Issa. Il a trente ans et il a pris les armes en 2003 dans le nord avec les Forces Nouvelles, puis a combattu jusqu'à Abidjan. Depuis, il porte l'uniforme des Forces républicaines de Côte d'Ivoire
« Je n'ai pas encore eu ce qu'on appelle dans notre jargon le matricule, le mécano, mais jusqu'à preuve du contraire je continue à me battre, la preuve en est qu'on était à Dabou, pour la libération de Dabou », explique-t-il.
Issa est appelé en opération car sa compétence est reconnue par ses chefs. Pourtant le quota de 2000 ex-combattants qui devaient intégrer l'armée a déjà été atteint. Mais beaucoup de ces jeunes contestent cette sélection.
« Ils disent pourquoi pas nous, qui nous sommes battus depuis 10 ans, pourquoi les nouvelles têtes qui sont venues, qui ne connaissent même pas l'arme, sont dans la république, pourquoi pas nous? C'est ce qu'ils ont toujours tendance à dire. »
Réquisitionnés pour combattre mais pas reconnus officiellement par l'armée, ces jeunes sont frustrés et pourraient un jour constituer une menace. Ils attendent beaucoup de cette nouvelle autorité placée sous la tutelle d'Alassane Ouattara.
« Le président même doit savoir que c'est un danger, estime Issa. J'ai l'impression que ça fait partie de ses soucis majeurs, maintenant qu'il a constaté qu'il y a avait eu des oublis au niveau des combattants, donc maintenant il se ressaisit !
Mais peut-être qu'on doit laisser le temps au temps pour que ça puisse se faire dans les meilleures conditions, pour ne pas que d'autres soient indexés, pour ne pas qu'il y ait d'oublis. »

Drame Riviera-palmeraie : Une jeune fille retrouvée morte nue dans un caniveau




Les populations de la Riviera-Palmeraie et la plupart des personnes allant ou revenant de Bingerville ont fait une découverte macabre, le matin de ce jeudi 23 août 2012. Le corps sans vie d’une jeune fille d’environ 17 ans gisait dans le caniveau dans le sens Bingerville- Abidjan, à une centaine de mètres du feu tricolore situé au rond-point à l’entrée de la Riviera-Palmeraie.
De teint légèrement clair, la pauvre arborait une coiffure nouvellement faite et appelée « Marcoussis » dans le milieu de la gent féminine. Le corps plus ou moins recroquevillé eu égard à l’étroitesse du caniveau, l’infortunée n’est vêtue que d’un tee-shirt vert aux manches jaunes et rouges.

Un tee-shirt relevé laissant découvrir sa poitrine. Sa partie la plus intime est également exposée à l’air libre. Son pantalon velours de couleur noire est rangé dans un sachet déposé juste à côté d’elle. Tout comme un gros carton d’emballage qui, vraisemblablement, a servi à la transporter jusque-là. Une équipe de l’Onuci et des éléments des forces de l’ordre nationales informés étaient sur les lieux à notre passage. Aucune pièce n’ayant été trouvée sur elle, la jeune fille n’a pu être identifiée. Une enquête est ouverte par la police venue procéder au constat d’usage. Et c’est cette investigation qui va faire la lumière sur cette découverte macabre.

M’BRA Konan in Soir info

Capitaine Ouattara Kpolo (Oipr): « Le Mont PÉKO est devenu une véritable poudrière »




Sécurisation de l’Ouest
Doua Gouly Fraternité Matin
Capitaine Ouattara Kpolo ( Oipr) Le chef du secteur du Mont Péko de l’Office ivoirien des parcs et réserves raconte sa première et unique rencontre avec Amadé Ourémi.
Comment va le secteur parc du Mont Péko, aujourd’hui ?
J’ai pris fonction à Duékoué en décembre 2011. En fait, j’étais déjà ici en 2008-2009 et je suis allé en formation. En ce qui concerne la conservation du parc, notre absence sur le terrain depuis 2002 a eu un impact. C’était partout la même chose. Même nos locaux étaient occupés par les militaires. Nous n’existions même plus en ville. Après la crise post-électorale, nous sommes revenus occuper nos locaux qui étaient devenus, entre-temps, les logements de certains éléments des Frci. Nous avons réhabilité partiellement un bâtiment en mars 2012. Malheureusement pour nous, on nous annonce que les Frci reviennent. On nous a dit que c’est provisoire. Mais cela nous inquiète.
Et le parc lui-même ?
Au plan technique, c’est un autre problème. C’était difficile. Le personnel que j’ai trouvé sur place n’allait pas sur le terrain. Les risques d’attaque étaient grands. Surtout qu’au niveau du parc, il y avait beaucoup d’informations qui circulaient.
Que disent ces rumeurs?
Il s’agit principalement de la présence d’hommes armés à l’intérieur du parc. Moi-même, après six mois de présence, je n’y suis entré qu’une seule fois.
Pourquoi avez-vous peur aussi ?
J’avais été averti de la situation dès mon arrivée. Ma méthode a donc été d’approcher les populations riveraines avant de rencontrer ceux qui sont à l’intérieur du parc. Nous sortons d’une crise armée. Je ne peux pas engager, dès mon arrivée, la répression. J’ai eu des instructions fermes de ma hiérarchie dans ce sens. Je suis donc venu en tant qu’agent de développement. Localement, je me suis appuyé sur la population. Parce que les gens pensaient que les Eaux et Forêts n’allaient plus revenir et que la zone avait été déclassée. J’ai pu réussir ma mission en partie parce que les préfets et sous-préfets m’y ont aidé. Les deux tiers du parc sont dans le département de Bangolo et l’autre tiers à Duékoué. Il était question de rencontrer les infiltrés. Je leur ai adressé des convocations avec l’aide des sous-préfets de Guinglo-Taouaké, Bléni-Méhouin. Mais ces derniers ont refusé de me rencontrer.
De quelle nature est la population infiltrée ?
Pour nous, ce sont des paysans. Ceux d’entre eux qui m’ont répondu, m’ont demandé de prendre attache avec Amadé Ouérémi avant de les rencontrer. Or pour moi, il s’agit de personnes individuellement en infraction. C’est là que j’ai compris qu’elles sont organisées. A partir de février 2012, j’ai changé de stratégie en cherchant à rencontrer Amadé Ouérémi, en vain. Je suis passé par ces mêmes sous-préfets, sans plus de succès. Et quand j’ai voulu entrer dans le parc pour le voir directement, on m’en a dissuadé en évoquant le danger auquel je m’exposais.
Avez-vous essayé de joindre Amadé Ouérémi par téléphone ?
Son numéro que j’ai eu marche bien. Mais il ne décroche jamais. J’ai appris, par la suite, qu’il ne répond pas aux appels émanant de numéros qu’il ne connaît pas. J’ai donc changé de méthode encore.
En quoi faisant ?
Je suis passé par des gens qui lui sont proches. Notamment ses compatriotes burkinabè. On ne m’a fait que des promesses. J’ai tenté de le rencontrer par le biais du sous-préfet de Bagohouo qui m’y a envoyé à des réunions pour me présenter à la population, en vain.
Qu’avez-vous donc fait ?
Finalement, j’ai pris mon courage à deux mains pour pénétrer dans le parc.
Pourquoi une telle décision lourde de conséquences ?
J’avais une contrainte de temps du fait de la mission d’évaluation des parcs. Les experts devaient venir voir la dégradation du Péko (faune et flore). Je me suis référé au sous-préfet de Bagohouo qui m’y a encouragé. Quant au chef de ce village, il m’a dit : « Allez-y, mais, je ne peux pas vous accompagner ». Il restait une semaine pour la mission. J’ai pris la voie qui mène au campement d’Amadé Ouérémi. Je suis arrivé à un corridor où des individus m’ont demandé ce que je venais faire en ce lieu.
Ces personnes étaient-elles armées ?
Elles étaient en civil et ne portaient aucune arme. Elles étaient une douzaine. On m’a demandé si j’avais rendez-vous avec Amadé Ouérémi. Quand j’ai répondu par la négative, on m’a demandé d’attendre. Quinze minutes après, Amadé Ouérémi est arrivé. C’était le 25 avril. Il n’était pas content que je sois entré dans la forêt.
Qu’a-t-il donné comme argument pour justifier son mécontentement ?
Il a demandé qui m’a autorisé à entrer dans le parc. Il m’a menacé en disant qu’il n’aime pas les Eaux et Forêts parce que c’est sa forêt. Il m’a même dit que si je suis venu chercher des histoires, il était prêt. Il a proféré des menaces de mort à mon endroit.
Que vous a-t-il dit exactement ?
Il a dit qu’il allait nous tuer.
Combien de personnes ont fait cette mission ?
Nous étions quatre. J’ai répondu à Amadé Ouérémi que j’avais mesuré le danger auquel je m’exposais. Mais, je n’étais pas là pour créer des problèmes. Il est devenu un peu froid. Je lui ai dit : « Depuis cinq mois, je n’arrive pas à vous rencontrer. Je suis le responsable du Mont Péko et je suis venu vous annoncer qu’une mission d’évaluation viendra d’Abidjan dans une semaine pour visiter le parc. C’est dans votre intérêt et le nôtre. Cette mission est diligentée par l’Etat de Côte d’Ivoire. Si vous vous y opposez, c’est comme si vous vous opposiez à l’Etat de Côte d’Ivoire ».
Quelle a été sa réaction ?
Il m’a dit qu’il a investi beaucoup d’argent dans le parc. Si la mission venait le lui arracher, il ne se laisserait pas faire. Qu’il doit être dédommagé.
Qu’entend-il par “ investir de l’argent dans le parc’’ ?
Il a fait des plantations. Je lui ai répondu : « Je suis un simple commis de l’Etat. Il faut montrer aux responsables de la mission vos investissements dans le parc. Seul l’Etat peut décider de votre sort. Si un jour, le parc est déclassé, je serai affecté ailleurs ».
A-t-il autorisé la mission des experts ?
Il n’était pas question d’une autorisation. Mais juste de lui annoncer une mission qui s’impose à nous tous.
Cette mission a-t-elle eu lieu ?
Elle a effectivement eu lieu de février à mars.
Sans accroc ?
Le deuxième jour de la mission, les hommes d’Amadé Ouérémi ont voulu faire de la résistance à la vue des agents en treillis dans le groupe. Ils s’en sont pris à un expert en oiseaux, il faut savoir que la particularité de ce parc est qu’il abrite une espèce rare d’oiseaux. C’est ce qui lui a permis de bénéficier d’un projet. Il fallait s’assurer que cet oiseau était encore là. Il y avait tout de même deux fausses notes.
Lesquelles ?
Quand les sociologues sont venus, ils ont vu les chefs des villages voisins, ils ont demandé à croiser les infiltrés. Ouérémi et ses éléments ont refusé. Vers la fin de la mission, nous étions stressés. Un dernier volet devait faire l’état des pistes qui ceinturent le parc dont l’une des vocations est le développement du tourisme. Dès que la mission est finie, il y a eu le communiqué du gouvernement qui demandait aux infiltrés de sortir des aires protégées. Amadé Ouérémi et ses hommes ont pensé que l’objet de la mission était de connaître leur position et les signaler à Abidjan.
Etiez-vous de la mission ?
Non. J’ai fait partir deux éléments. On me connaissait déjà, il fallait éviter que les esprits s’échauffent. Je faisais la ronde autour du parc pour alerter les autorités en cas de besoin.
La mission a-t-elle pu voir cet oiseau rare ?
C’est ma hiérarchie qui peut vous répondre. Je ne peux pas évoquer les conclusions d’une mission dont je ne suis pas le commanditaire.
Le parc peut-il encore être sauvé ?
La vocation d’un parc, ce n’est pas forcément la forêt. C’est aussi le relief, le paysage, la faune. Si on le laisse tranquille, il peut se reconstituer. Il y a des éléphants et des chimpanzés dans ce parc. Ils sont chassés. L’exploitation agricole est également très intense. Cela met le parc en péril.
Que dites-vous aux populations riveraines qui se plaignent qu’on les empêche de travailler dans le parc, alors qu’Amadé Ouérémi y est en toute tranquillité ?
Elles ont raison. Ce parc est préservé depuis la période coloniale. Il a un rôle très important dans la région. Aujourd’hui, on se rend compte que le fleuve Sassandra est en train de mourir. Une des causes de cette situation est la destruction du Péko qui est un de ses réservoirs. Tous les cours d’eau qui partent du Péko sont à sec. Dans les champs, les populations déforment les lits des cours d’eau.
Comment régler, selon vous, le cas d’Amadé Ouérémi ?
Nous nous référons à notre hiérarchie et au gouvernement. Le dossier est très sensible pour diverses raisons.
Lesquelles ?
Ceux qui sont à l’intérieur du parc sont majoritairement des étrangers. En tant que gestionnaire du Mont Péko, il ne m’appartient pas de mener des actions qui peuvent entraîner des troubles dans la région.
Quel est l’état réel du parc aujourd’hui ?
On ne peut pas vous répondre sans faire une étude du parc. Or, il est impossible de la faire. Parce que, le parc est devenu une poudrière. Chaque semaine, deux à trois cars de transport en commun y déversent les clandestins, augmentant ainsi leur population. Si l’ on part sur la base de deux convois par semaine, on se retrouve facilement avec 600 personnes par mois. Au départ, les nouveaux venus étaient des manœuvres agricoles au service des anciens. Quand ils ont des moyens, après leurs contrats, ils achètent à leur tour des parts de forêt. Ils sont bien organisés sur place.
Pourquoi ne pas passer du côté de Bangolo ?
Partout, on vous renvoie à Amadé Ouérémi. En fait, il y avait deux groupes au départ. A Bangolo, un certain Bakary et Ouérémi dans la zone de Duékoué. Chacun travaillait de son côté. Il y a eu conflit de compétence entre les deux quand les champs des deux groupes se sont touchés autour de 2008-2009. A la suite des affrontements, Amadé Ouérémi a pris le dessus.
Interview réalisée
à Duékoué par
Doua Gouly

jeudi 23 août 2012

Mon mari veut me tromper et me le demande!!!!




Salamo alïkom,
Je suis musulmane et mariée à un musulman depuis 3 ans 1/2... Je ne le connaissais pas avant de l'épouser... Bref, depuis notre mariage, je découvre tous les jours du hram qu'il fait: par exemple, il sort avec plusieurs filles en même temps,il choisit bien des filles faciles qui ne sont pas pratiquantes et qui sont adeptes du hram, il leur promet le mariage leur faisant croire qu'il va se séparer de moi, et ces filles lui donnent de l'argent! Elles sont toutes au courant qu'il est marié avec moi mais elles préfèrent continuer le hram que de me respecter. J'ai ensuite appris par ma belle-famille que mon mari a toujours été dans le hram et qu'il a toujours eu ce vice avec les filles de "profitage" comme il le dit lui-même. Je suis au courant de ce qu'il fait, j'ai tout tenté pour le faire revenir dans le droit chemin dicté par l'ISLAM, mais rien n'y fait, il retombe toujours dans ses travers et ces filles ne veulent pas le lâchee ni nous laisser vivre notre vie. Depuis un certain temps, je constate qu emon mari plonge littéralement dans le hram, il sort tous les soirs, rentre vers 2h du matin alors qu'il travaille à 5h du matin, boit de l'alcool et fréquente les bars mal famés, il se détoune de moi, du hlal ne fait pas ses prières, ne subvient pas aux besoins du foyer bref, il ne se comporte pas en homme musulman, il ne ese comprte pas en homme marié tout court. Je n'ai plus l'impression d'avoir un mari... je fais mes prières, mes doaas, je m'efforce d'avoir un bon comprtement, je me plie à toutes mes obligations d'épouse musulmane, mais cela ne suffit pas. Aujourd'hui, mon mari m'a demandé de m'associer à lui dans le HRAM!!!!!!!!!!!!!!!!!!! IL M'A DEMANDÉ DE LE LAISSER RAMENER UNE DE SES COPINES BISEXUELLES A LA MAISON SOUS MON TOIT DANS NOTRE FOYER POUR FORNIQUER AVEC ELLE ET IL M'A DEMANDÉ DE PARTICIPER!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! J'avoue que je n'y comprends rien, je suis totalement perdue. Pour se justifier, il m'a dit qu'avant de m'épouser il a toujours eu ce genre de pratiques sexuelles et depuis qu'il s'est marié avec moi il avait arrêté mais là i ne tient plus il veut absolument le faire alors que moi je suis sa femme devant ALLAH!!!!!!!!!!!!!!!!! I AIDEZ MOI SVP

GHANA : Un pasteur battu en plein service






Un pasteur (ph) en prédication

GHANA - ACCRA LE 23 AOÛT 2012 © koaci.com - La Police ghanéenne a arrêté un jeune ghanéen spécialiste en lavage auto pour avoir fait une apparition surprise dans une église à Nyinahin, une localité de la région Est du Ghana, et roué le pasteur de coups soit disant au nom de saint esprit.

Cet événement inédit s’est déroulé le dimanche 12 août dernier au moment où le pasteur délivrait un message à ses fideles. Comparu devant la justice, le jeune homme Patrick Nyarko a plaidé coupable avant d’avouer qu’il ne pouvait plus se contenir et entendre le pasteur affirmer que «ce que les hommes peuvent faire, les femmes aussi peuvent le faire» car cela n’est pas biblique.

Pour la mésaventure de ce jeune homme qui s’est retrouvé derrière les barreaux à cause de sa croyance et surtout à cause de la compréhension qu’il a de la bible, les causes de son acte sont bizarres. Nyarko, 33 ans, un habitant du lieu où l’église est implantée, n’a plus laissé le temps au pasteur de terminer sa prédication. Tel un éclair, il est rentré dans l’église et a agressé le pasteur à la surprise générale des chrétiens.

Des raisons de son acte, Nyarko soutient que le pasteur est en entrain d’induire les membres de l'église en erreur par ses enseignements qui n’ont aucune base biblique. Et le point précis qui l’a agacé et qui a motivé sa réaction dans l’église, c’est que le pasteur a donné du crédit au concept de l’égalité des sexes, mieux à l’émancipation des femmes.

Selon l’Inspecteur de Police du district où l’affaire s’est produite, l’accusé a refusé d’accepter la pensée du pasteur selon laquelle les femmes ont la capacité d’exercer les mêmes fonctions que les hommes. Navré, Nyarko selon l’Officier de Police a laissé entendre que cette pensée ne se trouve nulle part ailleurs dans la bible et en s’en prenant au pasteur il a agit sur ordre du Saint esprit pour l’arrêter de continuer par prêcher des faussetés. De ce qui précède, il ressort que pour Nyarko, une femme ne peut jamais égaler un homme et dans son entendement la bible n’a jamais dit le contraire.

Après avoir plaidé coupable lors du jugement de l’affaire, le juge a reporté le prononcé du verdict pour le 29 août prochain. En attendant, Nyarko est resté en détention préventive.

Toulepleu: Des vérités jamais dites sur l’attaque de Pékan-huambly




L’attaque perpétrée contre les positions des Forces Républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI), lundi 13 août dernier dans le village de Pékan-Huambly (Toulepleu) à la frontière entre la Côte d’Ivoire et le Libéria, continue de livrer des secrets.


En effet, lors de notre passage dans cette localité le lendemain de l’attaque, de graves confidences nous ont été faites. Le jour des faits, à en croire notre informateur, un corps habillé qui a requis l’anonymat, des éléments des FRCI, dans leur repli stratégique suite à l’attaque, se sont rendus dans les locaux de la brigade de gendarmerie de Toulepleu. Une fois sur les lieux, rapporte la source, ces éléments qui venaient de subir l’assaut du commando venu du Libéria, ont commencé à tirer dans tous les sens. Ils ont désarmé les gendarmes trouvés sur place et saccagé le secrétariat, ainsi que le bureau du Commandant de brigade. Le motif avancé, c’est que la position des FRCI du village de Pékan-barrage a été attaquée, et les gendarmes sont restés sans réaction. Après la gendarmerie, les éléments FRCI furieux mettent le cap sur le commissariat de police. Là-bas, ils arrachent le véhicule du commissaire de police.
Avant le commissaire, c’est le sous-préfet de Bakoubly, a-t-on appris, qui a été dépouillé de son véhicule de commandement, par d’autres éléments des FRCI. Selon notre interlocuteur, c’est au moment où les gendarmes se préparaient à se rendre sur le théâtre des opérations que ces éléments FRCI sont arrivés pour les désarmer. Les deux responsables militaires que sont le commandant de brigade et le chef du détachement FRCI, ont par la suite rappelé leurs différents éléments au calme pour éviter une mésaventure entre frères d’armes face à l’ennemi tapis dans l’ombre. Le Lieutenant Sangaré Aboubacar, commandant des FRCI de Toulepleu que nous avons joint par téléphone pour en savoir davantage sur l’agissement de ses éléments, s’est montré hésitant au départ. Avant d’indiquer qu’il était au front quand il a aperçu la voiture de la police sur le théâtre des opérations. Renseignement pris, certains de ces éléments disent avoir demandé la voiture à un certain Lieutenant Koua de la police, pour se rendre à Pékan-huambly.
Quant au saccage de la brigade de gendarmerie, le commandant FRCI dit ne pas être au courant. Il a toutefois reconnu que certains éléments sont allés négocier des armes avec les gendarmes à la brigade pour se rendre à Pékan-barrage, où les combats se déroulaient. Aux dernières nouvelles, les véhicules arrachés ont été remis à leurs propriétaires. Les auteurs de ces actes qui fragilisent la cohésion au sein de la grande muette, a indiqué notre source, ont été punis par la hiérarchie militaire.
A Toulepleu, la vie a repris son cours normal. Les commerces ont rouvert, et les populations vaquent à leurs occupations. Les fonctionnaires, qui avaient pour la plupart quitté la ville, sont revenus et l’administration a repris du service. Les Ong (organisations non gouvernementales) internationales ont également repris leurs activités dans la région. Outre la ville de Toulepleu, les villages environnants, qui s’étaient vidés de leurs habitants, ont retrouvé leur ambiance habituelle. Au niveau militaire, notre source fait remarquer que la bonne entente et  la collaboration entre gendarmes, policiers et soldats Frci, est de nouveau de mise. Dans une synergie d’actions, ces forces veillent désormais à la sécurité à la frontière ivoiro-libérienne.
K.K.Théodore



Côte d'ivoire : Frayeur à Tiapoum, hier Des tirs ont été entendus...



Des tirs ont été entendus, mercredi 22 août 2012, en début de soirée, à Tiapoum (à une cinquantaine de Km d’Aboisso), créant la panique et la psychose au sein de la population.


Des sources dans la région indiquent que des éléments des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (Frci) y ont fait une descente. Ils étaient dans cette ville, frontalière du Ghana, à la recherche, a-t-on appris, de caches d’armes. Et les fouilles qu’ils ont faites, précise notre source, au commissariat, au domicile du commissaire de Police du nom de Kakosso ainsi que dans d’autres lieux, n’auraient rien donné. Mais les soldats des Frci auraient arrêté le commissaire ainsi que trois de ses éléments.
Présents aux abords de la lagune, qui fait frontière avec le Ghana, certains soldats n’ont pas hésité à « rafaler » à la vue d’une vedette. Nous n’avons pu savoir s’il y a eu des victimes. Toutefois, ces bruits de fusil ont amené certains à penser à un affrontement. Des sources faisaient cas d’une prise de certains sites de Tiapoum par les assaillants. Finalement, le commissaire Kakosso, qui aurait été blessé au front et à la main, a été libéré. Tout comme ses collaborateurs.
SYLLA A.

mercredi 22 août 2012

Koweït : le jeune marié tué par des tirs de joie






Un jeune koweïtien a été accidentellement tué le soir même de ses noces par son ami qui voulait tirer en l'air en signe de joie, rapporte mercredi le quotidien local Al-Qabas.
Un jeune koweïtien a été accidentellement tué le soir même de ses noces par son ami qui voulait tirer en l'air en signe de joie, rapporte mercredi le quotidien local Al-Qabas.
Selon le journal, "l'ami du marié se préparait à tirer en l'air comme le veut la coutume, mais une balle est partie toute seule et a mortellement atteint le marié au dos".
L'incident s'est produit dans la région désertique de Soulaibiya où les tribus ont l'habitude de tirer en l'air lors des mariages.
Le responsable de la mort du marié "s'est livré à la police, assurant qu'il ne voulait absolument pas tuer son ami", selon le journal.
Al-Qabas indique que les autorités koweïtiennes ont après l'incident "élaboré un plan pour interdire les tirs de joie lors des mariages".

Air Côte d'Ivoire est détenu à 65% par l’Etat, 20 % par Air France et 15% par le groupe Agha Khan.





Crise au Mali, réception tardive des avions fournis par Air France... Malgré les couacs connus par Air Côte d'Ivoire, le transporteur annonce vouloir décoller en octobre et visera également l'Afrique centrale en vol direct.
Malgré un décollage annoncé pour le mois juillet, puis août, la compagnie aérienne Air Côte d'Ivoire n’est toujours pas dans le ciel africain. Les dirigeants du nouvel transporteur ont annoncé aujourd'hui avoir programmé le vol inaugural pour - au plus tard - la fin du mois d'octobre. Selon René Décurey, le directeur général de Air Côte d’Ivoire, le retard dans le démarrage des activités est en partie dû à la contractualisation des deux avions de type Airbus A319 fournis par Air France. « Nous avons été confrontés à deux problèmes : la réception tardive des avions et la crise malienne. Car notre plan d’affaires reposait sur le Mali. Nous avons redessiné notre plan d’affaires. Ces soucis ont eu un impact sur tout le processus notamment administratif et sur la mise en vente des vols au grand public. Maintenant, tout est réglé », précise le patron suisse.
Une classe touristique
Pour le moment, seul 15% du capital a été libéré. Les actionnaires (l’Etat à 65%, Air France à 20% et le groupe Agha Khan via sa filiale Aérienne de Participation, 15%) ont investi 4 milliards de fcfa. Une réunion du conseil d’administration prévue en septembre se penchera sur la question des fonds propres et peaufinera la stratégie de développement. En attendant, la nouvelle compagnie mise sur la mise en place d’un partenariat avec le groupe Celestair pour faire de l’aéroport d'Abidjan un hub régional. « Nous allons créer une plateforme à Abidjan pour pouvoir effectuer des vols vers l’Afrique centrale sans passer par Lomé ou Cotonou comme le font les autres compagnies. L’autre spécificité sera la mise en place de nouvelles catégories de passagers. En plus des classes affaires et économique, nous avons créé une classe touristique », souligne René Décurey. La compagnie a un objectif annuel de 350 000 passagers transportés, dont 100 000 sur Bamako et Ouagadougou. Air Côte d’Ivoire tournera avec un personnel de 100 employés composé de 17 pilotes et copilotes, 33 personnels de cabine et 50 au sol.

Côte d'Ivoire : Le FPI rend le gouvernement responsable des dernières attaques...





Le parti fondé par l’ex-président Laurent Gbagbo a rendu, ce mercredi 22 août, le gouvernement ivoirien responsable des attaques du samedi 18 août visant son siège et un groupe de presse, proche du parti. Le Front populaire ivoirien (FPI) réclame également la libération de son secrétaire général adjoint, Alphonse Douati, placé en détention après avoir été inculpé « d’atteinte à la sûreté de l’Etat ». De leur côté, les journaux dits pro-Gbagbo ont annoncé deux journées « presse morte » pour protester contre des agressions et menaces dont ils se disent victimes.

C’est sous haute protection de l’ONU, de la police et de la gendarmerie ivoiriennes que Laurent Akoun, secrétaire général par intérim du FPI, a tenu une conférence de presse. Ce mercredi à Abidjan, il a dénoncé ce qu’il a qualifié de « harcèlement du régime Ouattara » à l’encontre de son parti. Pour lui, les arrestations d’Alphonse Douati et d’autres militants sont « des mesures de représailles » et il appelle à leur « libération immédiate et sans condition ».
Suite à l’attaque du siège du FPI, le samedi 18 août, Laurent Akoun avait affirmé que les assaillants étaient des « pro-Ouattara ». « On les connaît, il y en a que nous avons reconnus », avait-il déclaré sans donner plus de précisions sur leur identité. De son côté, le parti présidentiel, le Rassemblement des républicains (RDR) avait condamné les violences et démenti toute implication de ses partisans.
Ce mercredi, au micro de RFI, le secrétaire général par intérim du FPI a tenu à préciser ses propos.

FOOTBALL : CAF: les manœuvres d’Hayatou contre Mr Anouma...



En mars 2013, la Confédération africaine de football disposera -peut-être- d’un nouveau président. Mais Issa Hayatou, l’actuel patron de la CAF, ne compte pas lâcher un poste qu’il occupe depuis 1987. Face à l’Ivoirien Jacques Anouma, ancien président de la FIF, le Cameroun a déjà commencé à organiser la résistance.


Ainsi, en dehors des manœuvres politiques et autres conciliabules secrets, le boss de l’instance dirigeante du football africain a décidé de changer les règles du jeu en programmant une Assemblée générale extraordinaire aux îles Seychelles le 3 septembre. Cette AG a pour but d’amender certains articles des statuts et règlement intérieur. « Tout candidat aux élections à la présidence de la CAF, outre les compétences nécessaires, devra être ou avoir été membre du Comité exécutif de la CAF », pourrait affirmer le nouveau règlement. De son côté, le patron du football africain, candidat déclaré à sa propre succession, propose que tout « candidat aux élections à la présidence de la CAF devra avoir le parrainage de la Fédération de son pays d’origine« .
Deux propositions qui excluraient Anouma de la course et qui frisent l’action anti-démocratique puisqu’elles limiteraient la présidence de la CAF aux ronds-de-cuir, la transformant en club de vieux garçons, la Confédération devenant donc l’affaire des seuls 13 membres du comité exécutif. Cette proposition a d’ailleurs suscité de vives réactions. C’est le cas de Joseph-Antoine Bell, selon qui « la proposition de modification des statuts de la CAF, à quelques mois du terme du mandat d’Issa Hayatou, est fallacieuse et fait honte à l’Afrique« . « Elle démontre qu’il n’y a pas que les politiques qui tordent le cou à la démocratie« , a ainsi déploré l’ancien international camerounais. Plusieurs autres réactions plus vives, notamment de pays comme l’Afrique du Sud, n’ont pas tardé. En Côte d’Ivoire, on crie au complot contre Jacques Anouma tandis que, au Sénégal, le président Augustin Senghor parle de « recul démocratique« .
Nicholas Mc Anall