Après le lieutenant de police Koné Yacouba, c’est le commissaire Alain Amané qui a été enlevé et assassiné dans des conditions mystérieuses dignes d’un film policier. Et qui témoignent de l’insécurité totale dans laquelle est plongée la Côte d’Ivoire sous Alassane Ouattara. Avec des forces armées composites et dont certaines branches sont criminalisées.
Alerte. Des tueurs de flics sont dans la cité. Avec ces meurtres en série, la Côte d’Ivoire plonge dangereusement dans une insécurité chronique et risque de sombrer dans le chaos si l’on n’y prend garde. Alors que les attaques contre les positions des FRCI restent encore un mystère, le régime Ouattara se refusant d’ouvrir de sérieuses enquêtes, un autre phénomène – plus pernicieux – prend forme. Il s’agit du rapt suivi de l’assassinat d’officiers de police qui tend à se généraliser. En l’espace d’une semaine, la police enregistre une deuxième victime dans ses rangs. Après le sous-lieutenant de police Koné Yacouba, tué de plusieurs balles la semaine dernière, après avoir été enlevé par «un commando inconnu», c’est le commissaire du 29ème arrondissement de police sis au quartier Biafrais, à Treichville, qui a trouvé la mort hier dans des conditions tout aussi mystérieuses.
Selon les informations, c’est hier en cours de journée que la rumeur de l’enlèvement du commissaire Alain Amané a envahi les réseaux de la police nationale. La nouvelle est prise aux sérieux. Des recherches entreprises avec célérité permettront de retrouver, hélas, son corps sans vie, sur l’autoroute du nord, précisément dans les environs de la localité d’Elibou, poste kilométrique 75, dans la circonscription administrative de Sikensi. Des sources indiquent que l’officier de police a été égorgé et qu’il avait déjà perdu la vie quand ses ravisseurs se séparaient de lui sur l’autoroute du nord.
Sa dépouille a été transportée, selon nos informateurs, à l’Hôpital Militaire d’Abidjan (HMA). Une autopsie permettra d’en savoir un peu plus sur les circonstances exactes de ce meurtre crapuleux en série. L’indignation est grande au sein de la police nationale où les différents corps prennent le pari de ne pas laisser impunis les meurtres en série au sein de la corporation. En l’espace d’une semaine, ce sont ainsi deux officiers de police qui ont perdu la vie, après avoir été enlevés par des hommes en tenues militaires et circulant à bord de véhicules 4X4. En poste au commissariat du 33ème arrondissement de police, à Port-Bouët Gonzagueville, le sous-lieutenant Koné Yacouba avait été enlevé par des inconnus lourdement armés qui l’avaient conduit à une destination inconnue avant de l’exécuter de plusieurs balles. En dépit de l’intervention de deux commissaires de police qui avaient réussi à entrer en contact avec les ravisseurs. Les regards s’étaient alors tournés vers les Frci basées au centre pilote de Port-Bouët. Ce qui laisse penser à des tueurs en série ou à des règlements de compte dont les auteurs sont tapis au sein de l’armée.
Emmanuel AkaniAlerte. Des tueurs de flics sont dans la cité. Avec ces meurtres en série, la Côte d’Ivoire plonge dangereusement dans une insécurité chronique et risque de sombrer dans le chaos si l’on n’y prend garde. Alors que les attaques contre les positions des FRCI restent encore un mystère, le régime Ouattara se refusant d’ouvrir de sérieuses enquêtes, un autre phénomène – plus pernicieux – prend forme. Il s’agit du rapt suivi de l’assassinat d’officiers de police qui tend à se généraliser. En l’espace d’une semaine, la police enregistre une deuxième victime dans ses rangs. Après le sous-lieutenant de police Koné Yacouba, tué de plusieurs balles la semaine dernière, après avoir été enlevé par «un commando inconnu», c’est le commissaire du 29ème arrondissement de police sis au quartier Biafrais, à Treichville, qui a trouvé la mort hier dans des conditions tout aussi mystérieuses.
Selon les informations, c’est hier en cours de journée que la rumeur de l’enlèvement du commissaire Alain Amané a envahi les réseaux de la police nationale. La nouvelle est prise aux sérieux. Des recherches entreprises avec célérité permettront de retrouver, hélas, son corps sans vie, sur l’autoroute du nord, précisément dans les environs de la localité d’Elibou, poste kilométrique 75, dans la circonscription administrative de Sikensi. Des sources indiquent que l’officier de police a été égorgé et qu’il avait déjà perdu la vie quand ses ravisseurs se séparaient de lui sur l’autoroute du nord.
Sa dépouille a été transportée, selon nos informateurs, à l’Hôpital Militaire d’Abidjan (HMA). Une autopsie permettra d’en savoir un peu plus sur les circonstances exactes de ce meurtre crapuleux en série. L’indignation est grande au sein de la police nationale où les différents corps prennent le pari de ne pas laisser impunis les meurtres en série au sein de la corporation. En l’espace d’une semaine, ce sont ainsi deux officiers de police qui ont perdu la vie, après avoir été enlevés par des hommes en tenues militaires et circulant à bord de véhicules 4X4. En poste au commissariat du 33ème arrondissement de police, à Port-Bouët Gonzagueville, le sous-lieutenant Koné Yacouba avait été enlevé par des inconnus lourdement armés qui l’avaient conduit à une destination inconnue avant de l’exécuter de plusieurs balles. En dépit de l’intervention de deux commissaires de police qui avaient réussi à entrer en contact avec les ravisseurs. Les regards s’étaient alors tournés vers les Frci basées au centre pilote de Port-Bouët. Ce qui laisse penser à des tueurs en série ou à des règlements de compte dont les auteurs sont tapis au sein de l’armée.
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