Maladie de Ouattara : Les dernières révélations
Qu’est ce qui s’est réellement passé à Paris entre janvier et février
2014 pour le chef de l’Etat ivoirien ? Au moment où l’actualité se
focalise subitement comme si c’était voulu sur les photos de Blé Goudé à
la DST, Eventnewstv a repéré le chirurgien de Ouattara et peut en dire
un peu plus sur cette affaire…
Presque 1 mois maintenant après l’intervention chirurgicale qu’a subie
Ouattara en France, les choses continuent à se compliquer physiquement
pour le chef d’Etat ivoirien. Entre les rendez-vous politiques à honorer
et l’obligation d’un traitement post-opératoire à suivre à la lettre
pour éviter une rechute rapide, le vrai défi du chef de l’Etat ivoirien
se résume pour lui de façon pathétique à l’exécution des gestes les plus
anodins de l’existence d’un adulte normal. A savoir pouvoir se tenir
tout simplement debout ou même rester assis. Un véritable calvaire, note
une source, que vit Ouattara au quotidien. Manifestement pas bien remis
physiquement, mais obligé d’enchaîner des rendez-vous de travail de
plus en plus fréquents, on découvre chaque jour sur des clichés mêmes
arrangés, un Ouattara qui inspire la pitié.
UNE SOUFFRANCE QUASI-QUOTIDIENNE…
Qu’est ce qui explique que le break suivi d’un repos conséquent
recommandé par son chirurgien français n’est-il pas respecté ? Que cache
la grosse comédie d’un «Ouattara au travail » qu’on s’échine à servir à
l’opinion depuis son domicile privé? Et comment expliquer et comprendre
que le palais présidentiel du plateau, siège d’un pouvoir d’Etat dont a
rêvé Ouattara jusqu’à en avril 2011 soit désormais délaissé pour une
réclusion à la Riviera Golf ? Un doigt accusateur se pointe désormais
vers son épouse Dominique et dénonce : « C’est méchant et hypocrite que
la souffrance du président soit instrumentalisée à des fins politiques
…» A mots à peine voilés, une source crédible et proche du ministère de
l’Intérieur d’Hamed Bakayoko incrimine sous le couvert de l’anonymat,
Dominique Ouattara qui
serait
dit-on, à la manœuvre pour garder son époux à flot. Ici, poursuit notre
informateur très remonté, « Les instructions sont simples. Il faut à
coups de clichés et d’images furtives dont les angles sont soigneusement
choisis, embellir l’image physique du président (…) Mais pendant
combien de temps va durer cette situation? Comment ça va finir si on
n’impose pas dès maintenant le repos complet au président?» s’interroge
notre gorge profonde. Une réponse que eventnewstv ne pourra
malheureusement pas lui fournir.
SON MÉDECIN POURRAIT DESCENDRE SUR ABIDJAN…
Ce que nous savons par contre, c’est qu’avant d’être pris en charge par
le Dr Laville Claude, un ancien interne des hôpitaux de Paris,
assistant-consultant à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière et pratiquant
surtout certaines de ses interventions chirurgicales compliquées à
l’hôpital Américain de Paris et à la clinique Ambroise PARE sise au 25
du bd Victor Hugo 92200 à Neuilly, vraisemblablement le lieu qui aurait
accueilli le président ivoirien, Ouattara avait déjà commencé à éprouver
des grosses difficultés à adopter longtemps la posture débout. Ouattara
l’a reconnu lui-même, les élancements dans son dos et le long de sa
cuisse avaient pris des allures de martyre. C’est même pour cette
raison, qu’après l’échec des infiltrations et autres antalgiques, la
solution de l’intervention chirurgicale s’est imposée comme une issue
certes intermédiaire, mais nécessaire pour atténuer les douleurs
insupportables en attendant que la source du mal ne soit remontée.
On sait aujourd’hui par exemple que le président Ouattara aurait aussi
consulté un urologue lors du bilan général de santé qu’on lui conseillé.
Et de toute vraisemblance, des infimes cellules cancéreuses auraient
été décelées au niveau de sa prostate. Faut-il conclure à un cancer de
la prostate comme les rumeurs de la toile l’annonçaient ? C’est une info
que notre source médicale a refusé de confirmer. En attendant, les
échéances thérapeutiques
post-opératoire qui attendent le chef de l’Etat indiquent qu’au lieu et
place de la frénésie physique que lui impose ses affidés de peur de
perdre les rênes du pouvoir, c’est le repos et la prise de ses
médicaments qui sont ses priorités immédiates : des antalgiques sur 30
jours, de de l’IXPRIM, ainsi que des anti-inflammatoires notamment du
BIPROFENID, pendant 21 jours, des anticoagulants LOVENOX 0,4 pendant
quatre semaines et le tout couronné par un rendez-vous à Paris dans 5
semaines pour un contrôle clinique. Aux dernières nouvelles, le médecin
français de Ouattara pourrait faire le déplacement d’Abidjan pour les
premiers contrôles. Histoire d’éviter un autre voyage difficile en
France mais surtout couper court aux supputations de la presse
pro-Gbagbo./.
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