« FRCI, il y a danger » avertit Soir Info. Il affirme que le ver est
dans le fruit vu que l’on a constaté la participation de policiers
marins et gendarmes dans les attaques de Bonoua et de la centrale
thermique d’Azito. Une présence qui montre que la situation a franchi un
autre cap. « Le simple fait que des militaires en fonction fassent
partie de la guérilla est en soi une conjoncture préoccupante, voire
inquiétante. Il est à craindre que le pouvoir prenne un sacré coup dans
les dents », souligne t-il. Pour Notre Voie, Ouattara est désormais
attaqué par ses propres combattants. Puisque les assaillants ne sont pas
venus des camps de réfugiés. Ils proviendraient du groupe des frustrés
des FRCI vus qu’ils opèrent encagoulés, par peur d’être reconnus par
leurs anciens frères d’armes. Ce qui blanchit, dit-il, l’opposition et
les pro-Gbagbo. Oh que non, pourrait-on dire, à en croire Le Patriote.
Il écrit que les pro-Gbagbo tiennent à brûler le pays. C’est pourquoi,
il faut se dépêcher de séparer l’ivraie du vrai grain. « Il ne faut plus
attendre… Il faut le faire maintenant car les attaques de Bonoua et
surtout de la centrale thermique d’Azito montre que le temps urge ».
Cette opération, L’Expression nous dit comment elle été menée. Selon
lui, les actions étaient coordonnées car les assaillants échangeaient
par sms. Un qu’a reçu un gendarme dit ceci : « tirs nourris à Bonoua. Je
suis sur le terrain ». Un fait qu’il rapproche au gendarme tué dans l’attaque de Noé alors qu’il appartiendrait à l’escadron militaire de Yopougon.
Déguerpissement sous fond de guerre
Le déguerpissement des commerces et de la gare routière dans le sillage de la mairie d’Abobo fait couler de l’encre. Pour les journaux de l’opposition, le pouvoir Ouattara fait face à « son monstre ». Le Temps avance que ce qu’ont vécu les ministres le lundi, dans une commune qui est acquise au régime, est la conséquence logique de l’appel à l’insurrection lancé par Ouattara à une jeunesse instrumentalisée et forgée à la culture de la violence. En effet, rappelle Aujourd’hui, sous le régime de Laurent Gbagbo et surtout lors de la crise post-électorale, la commune d’Abobo a servi d’hérésies et d’apostasies bien ficelées par les cadres du RDR, a hébergé des chefs rebelles qui ont crée le commando invisible qu’avait applaudi le camp Ouattara. Fraternité Matin n’est pas surpris de ces échauffourées à Abobo. « Ce qui se passe actuellement dans la commune d’Abobo était prévisible. C’est la manifestation d’une crise latente qui dure depuis quelque temps ». Mais cela doit s’arrêter estime L’Intelligent d’Abidjan. C’est pourquoi il met à la Une : « Abobo, Bagdad city, ça suffit ». Le quotidien dit que les jeunes d’Abobo ne doivent pas tout se permettre parce qu’ils auraient installé Alassane Ouattara au pouvoir. « C’est la majorité des Ivoiriens qui l’a fait et le Président Ouattara ne leur doit rien ».
Déguerpissement sous fond de guerre
Le déguerpissement des commerces et de la gare routière dans le sillage de la mairie d’Abobo fait couler de l’encre. Pour les journaux de l’opposition, le pouvoir Ouattara fait face à « son monstre ». Le Temps avance que ce qu’ont vécu les ministres le lundi, dans une commune qui est acquise au régime, est la conséquence logique de l’appel à l’insurrection lancé par Ouattara à une jeunesse instrumentalisée et forgée à la culture de la violence. En effet, rappelle Aujourd’hui, sous le régime de Laurent Gbagbo et surtout lors de la crise post-électorale, la commune d’Abobo a servi d’hérésies et d’apostasies bien ficelées par les cadres du RDR, a hébergé des chefs rebelles qui ont crée le commando invisible qu’avait applaudi le camp Ouattara. Fraternité Matin n’est pas surpris de ces échauffourées à Abobo. « Ce qui se passe actuellement dans la commune d’Abobo était prévisible. C’est la manifestation d’une crise latente qui dure depuis quelque temps ». Mais cela doit s’arrêter estime L’Intelligent d’Abidjan. C’est pourquoi il met à la Une : « Abobo, Bagdad city, ça suffit ». Le quotidien dit que les jeunes d’Abobo ne doivent pas tout se permettre parce qu’ils auraient installé Alassane Ouattara au pouvoir. « C’est la majorité des Ivoiriens qui l’a fait et le Président Ouattara ne leur doit rien ».
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